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02.12.2025 à 05:03

Venezuela : Trump réunit son Conseil de sécurité nationale, Maduro rassemble ses partisans

FRANCE 24
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Alors qu'une menace d'intervention américaine place sur le Venezuela, le président Donald Trump a réuni lundi son Conseil de sécurité nationale sur ce sujet. De son côté, le président Nicolas Maduro a rassemblé ses partisans à Caracas et assuré qu'il ne se laisserait pas intimider.
Alors qu'une menace d'intervention américaine place sur le Venezuela, le président Donald Trump a réuni lundi son Conseil de sécurité nationale sur ce sujet. De son côté, le président Nicolas Maduro a rassemblé ses partisans à Caracas et assuré qu'il ne se laisserait pas intimider.

02.12.2025 à 04:07

En plein débat sur sa nationalisation en France, ArcelorMittal met en avant un important investissement à Mardyck

FRANCE24
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ArcelorMittal France le répète sur tous les tons: cette nouvelle unité de production d'aciers électriques, qui a nécessité un financement de 600 millions d'euros, représente "le plus important investissement du groupe en Europe depuis dix ans". A Mardyck, dans le Nord, où "les trois premières lignes" de cette nouvelle filière de production doivent démarrer d'ici la fin de l'année, l'entreprise entend produire chaque année plus de 150.000 tonnes de cet acier enrichi de silicium. Cela lui confère de fortes propriétés magnétiques et le destine à la production de moteurs pour voitures électriques. ArcelorMittal y voit une des preuves qu'elle "ne se désengage pas de la France" mais modernise ses outils et "prépare l'avenir de la production d'acier" dans le pays. Cela peine à convaincre représentants du personnel, experts et élus politiques de gauche, qui ont fait adopter à l'Assemblée nationale fin novembre une proposition de loi visant à nationaliser ArcelorMittal France, au nom de la défense de la filière acier française. L'avenir de ce texte est incertain car il lui sera difficile d'être adopté au Sénat. Et le gouvernement y est opposé, y voyant "une réponse populiste à un problème structurel", dixit le ministre de l'Economie Roland Lescure. La demande d'acier, historiquement portée par l'automobile et la construction, s'émousse en Europe. Et la production locale fait face à la concurrence de la production asiatique et notamment chinoise, vendue moins cher. ArcelorMittal, qui revendique avoir investi 1,7 milliard d'euros en 5 ans en France (dont 30% environ pour la maintenance), a annoncé en début d'année un plan de suppression d'emplois dans ses usines dans le nord et l'est du pays. En mai, Jean-Marc Vecrin, coordinateur CFDT pour l'ensemble du groupe, expliquait à l'AFP craindre que "petit à petit (ArcelorMittal) s'engage de plus en plus hors Europe et qu'il se désengage de l'Europe". Début novembre, un rapport d'experts mandatés par le CSEC du groupe, contesté par l'entreprise, avait jugé l'avenir du géant sidérurgique "incertain" en France, et critiqué le sous-investissement dans l'outil de production et "une forme de précipitation" dans la décision de procéder à des licenciements.
Lire plus (369 mots)
ArcelorMittal France le répète sur tous les tons: cette nouvelle unité de production d'aciers électriques, qui a nécessité un financement de 600 millions d'euros, représente "le plus important investissement du groupe en Europe depuis dix ans". A Mardyck, dans le Nord, où "les trois premières lignes" de cette nouvelle filière de production doivent démarrer d'ici la fin de l'année, l'entreprise entend produire chaque année plus de 150.000 tonnes de cet acier enrichi de silicium. Cela lui confère de fortes propriétés magnétiques et le destine à la production de moteurs pour voitures électriques. ArcelorMittal y voit une des preuves qu'elle "ne se désengage pas de la France" mais modernise ses outils et "prépare l'avenir de la production d'acier" dans le pays. Cela peine à convaincre représentants du personnel, experts et élus politiques de gauche, qui ont fait adopter à l'Assemblée nationale fin novembre une proposition de loi visant à nationaliser ArcelorMittal France, au nom de la défense de la filière acier française. L'avenir de ce texte est incertain car il lui sera difficile d'être adopté au Sénat. Et le gouvernement y est opposé, y voyant "une réponse populiste à un problème structurel", dixit le ministre de l'Economie Roland Lescure. La demande d'acier, historiquement portée par l'automobile et la construction, s'émousse en Europe. Et la production locale fait face à la concurrence de la production asiatique et notamment chinoise, vendue moins cher. ArcelorMittal, qui revendique avoir investi 1,7 milliard d'euros en 5 ans en France (dont 30% environ pour la maintenance), a annoncé en début d'année un plan de suppression d'emplois dans ses usines dans le nord et l'est du pays. En mai, Jean-Marc Vecrin, coordinateur CFDT pour l'ensemble du groupe, expliquait à l'AFP craindre que "petit à petit (ArcelorMittal) s'engage de plus en plus hors Europe et qu'il se désengage de l'Europe". Début novembre, un rapport d'experts mandatés par le CSEC du groupe, contesté par l'entreprise, avait jugé l'avenir du géant sidérurgique "incertain" en France, et critiqué le sous-investissement dans l'outil de production et "une forme de précipitation" dans la décision de procéder à des licenciements.

02.12.2025 à 04:01

Le pape célèbre une messe en plein air à Beyrouth, moment fort de sa visite

FRANCE24
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Au dernier jour de sa visite dans le pays meurtri par les conflits et une crise multiforme, il doit également se recueillir sur le site de la terrible explosion du port, qui a dévasté la capitale en 2020, faisant plus de 220 morts. Le Liban est la seconde étape du premier déplacement international du pape américain, après une visite en Turquie marquée par le dialogue pour l'unité des chrétiens. Cette visite "nous a rendu le sourire (...) après toutes les difficultés que nous avons traversées", a confié à l'AFP Yasmine Chidiac, qui attendait lundi le passage du convoi papal pour l'acclamer. Plus de 120.000 personnes se sont inscrites pour assister à la messe sur le front de mer et seront acheminées par bus, selon les organisateurs. Dès lundi soir, les autorités ont interdit les accès à de larges parties du centre de Beyrouth, où des barrages de contrôle doivent être installés. "Un avenir meilleur" Le chef de l'église catholique va également tenir une prière silencieuse sur le site de l'explosion du port de Beyrouth, le 4 août 202, une catastrophe qui a profondément meurtri le pays. Il doit saluer certains proches des victimes et des survivants, qui, cinq ans après la catastrophe, continuent de réclamer justice. La déflagration, l'une des plus grandes explosions non nucléaires de l'Histoire, avait été provoquée par un incendie dans un entrepôt où était stocké sans précaution du nitrate d'ammonium malgré des avertissements répétés aux plus hauts responsables. L'enquête n'a toujours pas abouti, des responsables politiques ayant fait obstruction au travail du juge indépendant qui en est chargé. Peu avant, Léon XIV visitera un hôpital tenu par des religieuses dans la capitale. Lundi, le souverain pontife a appelé les chefs des différentes communautés religieuses libanaises, réunis à l'occasion de sa visite, à combattre l'intolérance et la violence. Il s'est également offert un bain de foule géant auprès de 15.000 jeunes du Liban au siège du patriarcat maronite à Bkerké, au nord de Beyrouth, qu'il a appelés à construire "un avenir meilleur". "Vous avez l'enthousiasme nécessaire pour changer le cours de l'histoire!", a lancé Léon aux jeunes qui l'ont accueilli dans une ambiance survoltée.
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Au dernier jour de sa visite dans le pays meurtri par les conflits et une crise multiforme, il doit également se recueillir sur le site de la terrible explosion du port, qui a dévasté la capitale en 2020, faisant plus de 220 morts. Le Liban est la seconde étape du premier déplacement international du pape américain, après une visite en Turquie marquée par le dialogue pour l'unité des chrétiens. Cette visite "nous a rendu le sourire (...) après toutes les difficultés que nous avons traversées", a confié à l'AFP Yasmine Chidiac, qui attendait lundi le passage du convoi papal pour l'acclamer. Plus de 120.000 personnes se sont inscrites pour assister à la messe sur le front de mer et seront acheminées par bus, selon les organisateurs. Dès lundi soir, les autorités ont interdit les accès à de larges parties du centre de Beyrouth, où des barrages de contrôle doivent être installés. "Un avenir meilleur" Le chef de l'église catholique va également tenir une prière silencieuse sur le site de l'explosion du port de Beyrouth, le 4 août 202, une catastrophe qui a profondément meurtri le pays. Il doit saluer certains proches des victimes et des survivants, qui, cinq ans après la catastrophe, continuent de réclamer justice. La déflagration, l'une des plus grandes explosions non nucléaires de l'Histoire, avait été provoquée par un incendie dans un entrepôt où était stocké sans précaution du nitrate d'ammonium malgré des avertissements répétés aux plus hauts responsables. L'enquête n'a toujours pas abouti, des responsables politiques ayant fait obstruction au travail du juge indépendant qui en est chargé. Peu avant, Léon XIV visitera un hôpital tenu par des religieuses dans la capitale. Lundi, le souverain pontife a appelé les chefs des différentes communautés religieuses libanaises, réunis à l'occasion de sa visite, à combattre l'intolérance et la violence. Il s'est également offert un bain de foule géant auprès de 15.000 jeunes du Liban au siège du patriarcat maronite à Bkerké, au nord de Beyrouth, qu'il a appelés à construire "un avenir meilleur". "Vous avez l'enthousiasme nécessaire pour changer le cours de l'histoire!", a lancé Léon aux jeunes qui l'ont accueilli dans une ambiance survoltée.

02.12.2025 à 04:01

L'Assemblée ouvre une semaine décisive pour le budget de la Sécu

FRANCE24
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Retraites, franchises, déficit à contenir... Les sujets explosifs ne manquent pas, tous facteurs d'une équation difficile pour rassembler des voix de groupes aux positions souvent opposées. Une adoption du texte mardi prochain serait une victoire majeure pour le gouvernement de Sébastien Lecornu, qui, contraint par son absence de majorité, place le Parlement au centre de la construction budgétaire. Des cadres du camp gouvernemental espèrent qu'elle enclenche une dynamique positive pour le budget de l'Etat, encore plus clivant. Mais un rejet serait un désaveu cinglant de la méthode gouvernementale. L'examen du texte devrait commencer en fin d'après-midi, en présence du Premier ministre, par une motion de rejet préalable des Insoumis, a priori vouée à l'échec. Les débats sur les quelque 980 amendements pourront aller jusqu'à dimanche. A mi-parcours, les députés voteront d'abord sur la partie "recettes". Rejetée, elle emporterait l'ensemble du texte. Son adoption de justesse en première lecture avait permis de débattre notamment de la suspension de la réforme des retraites, concédée par le gouvernement contre une non-censure du PS. Les députés n'avaient pas fini l'examen dans les temps, et le Sénat a profondément remanié le texte, annulant la suspension de la réforme. C'est de sa copie que les députés repartent. "Dernier kilomètre" Le moment est crucial car si le dernier mot est donné à l'Assemblée après un nouveau passage au Sénat, la copie finale ne pourra que très peu différer de celle écrite par les députés cette semaine. Pour le rapporteur général Thibault Bazin (LR), "si on évite les irritants, et qu'on n'en crée pas de nouveau (...) on peut avoir un chemin". Mais cela impliquera selon lui un déficit de la Sécu plus important que 20 milliards d'euros, limite fixée par le gouvernement, alors que l'Assemblée en première lecture le portait à 24 milliards. "On a l'impression d'être à la veille d'un match de Ligue des Champions", souligne Jérôme Guedj, député PS. "Sur les 660 milliards du budget de la Sécu, le dernier kilomètre porte" sur quelques milliards, note-t-il. Les députés devraient ré-indexer sur l'inflation les minimas sociaux et pensions de retraites. Et suspendre de nouveau la réforme des retraites. Une bataille aura lieu sur une mesure proposée par la gauche pour engranger des recettes: l'augmentation de la part de CSG sur les revenus du capital. Irritant la droite, elle avait motivé certains députés LR et Horizons à s'abstenir en première lecture. "Ils refusent toute recette supplémentaire", déplore Sandrine Rousseau (groupe écologiste), alors qu'il manque "5 milliards rien que pour que les hôpitaux fonctionnent correctement". Autre point brûlant: les franchises médicales, reste à charge payé par les patients par exemple sur les médicaments, que le gouvernement entend doubler par décret. "Il doit renoncer" à cette "mesure injuste", a martelé le groupe écologiste, dont le vote pourrait être décisif. Sébastien Lecornu le rencontrera mardi. Côté Rassemblement national, Christophe Bentz dénonce à la fois des "dérapages et insincérités budgétaires" et des mesures "injustes socialement et contraignantes économiquement". "Qu'un chemin: le compromis" A l'approche du match, tout le monde semble se renvoyer la balle. Les socialistes estiment que le gouvernement doit convaincre les écologistes. "Le PS doit faire le travail" auprès d'eux, lance en retour un cadre Renaissance, qui appelle parallèlement PS et LR à se "rendre compte qu'ils ont besoin (des concessions) de l'un et l'autre" pour que le texte passe. Le gouvernement, qui alerte sur un déficit de la Sécu approchant "30 milliards" en l'absence de budget, pourrait-il ressusciter le 49.3 pour passer l'obstacle ? Certains députés le souhaitent, estimant plus facile pour les socialistes, voire pour Horizons et LR, de ne pas censurer le gouvernement que de voter ce compromis. Une piste écartée par l'entourage de M. Lecornu: "il n'y a qu'un chemin, le compromis parlementaire".
Texte intégral (681 mots)
Retraites, franchises, déficit à contenir... Les sujets explosifs ne manquent pas, tous facteurs d'une équation difficile pour rassembler des voix de groupes aux positions souvent opposées. Une adoption du texte mardi prochain serait une victoire majeure pour le gouvernement de Sébastien Lecornu, qui, contraint par son absence de majorité, place le Parlement au centre de la construction budgétaire. Des cadres du camp gouvernemental espèrent qu'elle enclenche une dynamique positive pour le budget de l'Etat, encore plus clivant. Mais un rejet serait un désaveu cinglant de la méthode gouvernementale. L'examen du texte devrait commencer en fin d'après-midi, en présence du Premier ministre, par une motion de rejet préalable des Insoumis, a priori vouée à l'échec. Les débats sur les quelque 980 amendements pourront aller jusqu'à dimanche. A mi-parcours, les députés voteront d'abord sur la partie "recettes". Rejetée, elle emporterait l'ensemble du texte. Son adoption de justesse en première lecture avait permis de débattre notamment de la suspension de la réforme des retraites, concédée par le gouvernement contre une non-censure du PS. Les députés n'avaient pas fini l'examen dans les temps, et le Sénat a profondément remanié le texte, annulant la suspension de la réforme. C'est de sa copie que les députés repartent. "Dernier kilomètre" Le moment est crucial car si le dernier mot est donné à l'Assemblée après un nouveau passage au Sénat, la copie finale ne pourra que très peu différer de celle écrite par les députés cette semaine. Pour le rapporteur général Thibault Bazin (LR), "si on évite les irritants, et qu'on n'en crée pas de nouveau (...) on peut avoir un chemin". Mais cela impliquera selon lui un déficit de la Sécu plus important que 20 milliards d'euros, limite fixée par le gouvernement, alors que l'Assemblée en première lecture le portait à 24 milliards. "On a l'impression d'être à la veille d'un match de Ligue des Champions", souligne Jérôme Guedj, député PS. "Sur les 660 milliards du budget de la Sécu, le dernier kilomètre porte" sur quelques milliards, note-t-il. Les députés devraient ré-indexer sur l'inflation les minimas sociaux et pensions de retraites. Et suspendre de nouveau la réforme des retraites. Une bataille aura lieu sur une mesure proposée par la gauche pour engranger des recettes: l'augmentation de la part de CSG sur les revenus du capital. Irritant la droite, elle avait motivé certains députés LR et Horizons à s'abstenir en première lecture. "Ils refusent toute recette supplémentaire", déplore Sandrine Rousseau (groupe écologiste), alors qu'il manque "5 milliards rien que pour que les hôpitaux fonctionnent correctement". Autre point brûlant: les franchises médicales, reste à charge payé par les patients par exemple sur les médicaments, que le gouvernement entend doubler par décret. "Il doit renoncer" à cette "mesure injuste", a martelé le groupe écologiste, dont le vote pourrait être décisif. Sébastien Lecornu le rencontrera mardi. Côté Rassemblement national, Christophe Bentz dénonce à la fois des "dérapages et insincérités budgétaires" et des mesures "injustes socialement et contraignantes économiquement". "Qu'un chemin: le compromis" A l'approche du match, tout le monde semble se renvoyer la balle. Les socialistes estiment que le gouvernement doit convaincre les écologistes. "Le PS doit faire le travail" auprès d'eux, lance en retour un cadre Renaissance, qui appelle parallèlement PS et LR à se "rendre compte qu'ils ont besoin (des concessions) de l'un et l'autre" pour que le texte passe. Le gouvernement, qui alerte sur un déficit de la Sécu approchant "30 milliards" en l'absence de budget, pourrait-il ressusciter le 49.3 pour passer l'obstacle ? Certains députés le souhaitent, estimant plus facile pour les socialistes, voire pour Horizons et LR, de ne pas censurer le gouvernement que de voter ce compromis. Une piste écartée par l'entourage de M. Lecornu: "il n'y a qu'un chemin, le compromis parlementaire".

02.12.2025 à 03:09

Guerre en Ukraine en direct : l'émissaire américain Steve Witkoff doit rencontrer Vladimir Poutine

FRANCE 24
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Les yeux sont rivés mardi sur Moscou, où l'émissaire américain Steve Witkoff doit rencontrer le président russe Vladimir Poutine pour tenter de trouver un accord mettant fin à la guerre en Ukraine. Suivez notre direct.
Texte intégral (681 mots)
Les yeux sont rivés mardi sur Moscou, où l'émissaire américain Steve Witkoff doit rencontrer le président russe Vladimir Poutine pour tenter de trouver un accord mettant fin à la guerre en Ukraine. Suivez notre direct.
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