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17.12.2025 à 04:47

Le fils du cinéaste Rob Reiner va être inculpé pour l'assassinat de ses parents

FRANCE24
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Nick Reiner, 32 ans, qui a des antécédents d'addictions remontant à l'adolescence, risque la peine de mort s'il est reconnu coupable, a précisé M. Hochman. Il sera inculpé de "deux chefs de meurtre au premier degré", la plus haute qualification, équivalant à celle d'assassinat (meurtre avec préméditation), a-t-il détaillé. Le fait que les meurtres sont "multiples" pèse comme une circonstance aggravante, selon le magistrat. "Il fait également l'objet d'une accusation particulière pour avoir personnellement utilisé une arme dangereuse et mortelle, à savoir un couteau. Ces chefs sont passibles d'une peine maximale d'emprisonnement à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle, ou de la peine de mort", a poursuivi le procureur. Rob Reiner, auteur entre autres du film "Quand Harry rencontre Sally", a été découvert mort dimanche au côté de son épouse, la photographe Michele Singer, dans leur maison de Brentwood, un quartier huppé de la métropole californienne. Leur fils a été interpellé dans la soirée de dimanche et placé en détention. Il sera formellement inculpé dès qu'il sera en état de comparaître pour ce double meurtre, dont le mobile reste à ce stade inconnu. Il a été déclaré médicalement inapte à comparaître mardi. "Chaque détenu doit obtenir une autorisation médicale avant de pouvoir être transféré", a expliqué à la presse son avocat, Alan Jackson. "Les services du shérif évalueront la situation au jour le jour". Selon les médias américain, Rob Reiner, 78 ans, et son épouse de 68 ans ont été poignardés à plusieurs reprises. La veille des meurtres, Nick Reiner avait perturbé une fête de fin d'année où il était invité avec ses parents, selon NBC News. Violente dispute Nick Reiner y "a mis mal à l'aise les autres invités" en raison de son comportement. "Les parents de Reiner étaient bouleversés et gênés par le comportement de leur fils et s'inquiétaient pour sa santé", a rapporté un témoin cité par NBC News. Selon le New York Times, "Rob et Nick Reiner se sont disputés violemment". Nick, un des trois enfants du couple (Rob Reiner avait un autre enfant issu d'un premier mariage), vivait de façon intermittente chez ses parents. Il évoquait ouvertement son expérience en matière de traitement de la toxicomanie, qu'il avait contractée à l'âge de 15 ans. Dans un podcast, il affirmait avoir suivi 18 cures de désintoxication durant son adolescence. Nick Reiner racontait aussi des anecdotes sur son comportement instable. Une fois, a-t-il raconté en 2018 dans un autre podcast, après avoir passé des jours sans dormir sous l'effet de la cocaïne, il s'était mis à "frapper tout ce qui lui tombait sous la main" chez ses parents. Il s'est aussi parfois retrouvé à la rue ou dans des refuges. C'est en s'inspirant de sa propre expérience qu'il avait coécrit un film réalisé par son père, "Being Charlie" (2015), qui raconte le difficile rétablissement d'un fils de célébrités ravagé par les drogues. Cinéaste éclectique et citoyen engagé, Rob Reiner a eu une longue carrière à Hollywood, comme acteur et réalisateur. De la comédie romantique - "Quand Harry rencontre Sally" - au thriller terrifiant - "Misery", adapté d'un roman de Stephen King - en passant par le récit initiatique - "Stand by me" qui a révélé River Phoenix -, Rob Reiner a essayé tous les genres, souvent avec succès. En marge de ses activités à Hollywood, Rob Reiner était un militant de gauche, proche des démocrates. Il défendait le droit au mariage pour tous et était un critique virulent du gouvernement de Donald Trump. Lundi, le président américain a attribué le meurtre du cinéaste à son anti-trumpisme "enragé", un message qui a outré jusque dans le camp conservateur.

17.12.2025 à 04:23

Trump annonce un blocus américain au Venezuela sur les pétroliers sous sanctions

FRANCE24
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"Aujourd'hui, j'ordonne un blocus total et complet de tous les pétroliers sanctionnés entrant et sortant du Venezuela", a écrit M. Trump sur son réseau Truth Social. Le gouvernement du président vénézuélien Nicolas Maduro utilise le pétrole pour financer "le narcoterrorisme, la traite d'êtres humains, les meurtres et les enlèvements", a justifié Donald Trump, reprenant sa rhétorique habituelle. Dans son message, il a aussi affirmé que "le régime vénézuélien avait été désigné comme une organisation terroriste internationale" par son administration. Caracas a répondu en qualifiant de "menace grotesque" cette annonce. "Le président des Etats-Unis tente d'imposer de manière absolument irrationnelle un prétendu blocus naval militaire au Venezuela dans le but de voler les richesses qui appartiennent à notre patrie", a rétorqué le gouvernement vénézuélien dans un communiqué. Soutien de Machado L'administration Trump accuse Nicolas Maduro d'être à la tête d'un vaste réseau de narcotrafic. L'intéressé dément catégoriquement, affirmant que Washington cherche à le renverser pour s'emparer du pétrole vénézuélien, la principale ressource de son pays. Les Etats-Unis ont déployé depuis cet été un important dispositif militaire dans les Caraïbes, et bombardé des embarcations en provenance du Venezuela au nom de la lutte contre le narcotrafic, des opérations à la légalité mise en doute par les experts. "Le Venezuela est entièrement encerclé par la plus grande armada jamais assemblée dans l'histoire de l'Amérique du Sud", a affirmé Donald Trump. Le déploiement américain "ne fera que s'accroître, et le choc qu'ils subiront sera sans précédent - jusqu'à ce qu'ils rendent aux Etats-Unis d'Amérique le pétrole, les terres et les autres actifs qu'ils nous ont précédemment volés", a ajouté le président américain, qui a toujours maintenu le flou sur la possibilité d'une intervention terrestre sur le sol vénézuélien. Donald Trump n'a pas développé ses accusations de vols de pétrole et de terres. Dans les années 1970, le Venezuela a nationalisé son industrie pétrolière, et sous la présidence d'Hugo Chavez (1999-2013), les "majors" étrangères ont été obligées, pour rester dans le pays, d'accepter des coentreprises majoritairement détenues par la compagnie d'Etat PDVSA. La compagnie américaine Chevron, qui continue à travailler au Venezuela au bénéfice d'une dispense de sanctions, a indiqué mardi que ses opérations "continuent sans interruption et dans le plein respect des lois". Le durcissement de la politique américaine contre Caracas a été salué par l'opposante vénézuélienne Maria Corina Machado, prix Nobel de la paix 2025, qui a même appelé ce week-end sur la chaîne américaine CBS à exercer plus de "pression" afin que "Maduro comprenne qu'il doit partir". Soumis à un embargo américain depuis 2019, le pétrole vénézuélien est écoulé sur le marché noir à des prix nettement plus bas, à destination en particulier de la Chine. Pétrolier saisi La semaine dernière, les forces américaines ont saisi en mer des Caraïbes un pétrolier à destination de Cuba, le Skipper. Le navire transportait entre un et deux millions de barils de brut vénézuélien, selon les sources, pour une valeur de 50 à 100 millions de dollars. Selon Washington, le navire était sous sanctions américaines depuis 2022 pour des liens présumés avec le Corps des Gardiens de la Révolution islamique iranienne et le Hezbollah libanais. Selon la Maison Blanche, les Etats-Unis entendent "saisir le pétrole" du Skipper, reconnaissant cependant que cela posait des questions juridiques. L'annonce de blocus Donald Trump survient alors que les ministres américains de la Défense et des Affaires étrangères ont défendu mardi au Congrès les frappes menées contre des embarcations soupçonnées de narcotrafic dans les Caraïbes. Depuis début septembre, le président américain a ordonné des frappes contre au moins 26 navires dans les Caraïbes ou l'est du Pacifique, tuant au moins 95 personnes, sans jamais fournir de preuve de leur implication dans le trafic de drogues. Le sujet a soulevé de vifs débats à Washington, notamment une opération datant de début septembre au cours de laquelle l'armée a tiré deux salves, la seconde achevant les deux survivants d'un bateau déjà en flammes.

17.12.2025 à 04:21

États-Unis : l'enquête se poursuit pour retrouver l'auteur des tirs à l'université Brown

FRANCE 24
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L'enquête se poursuit pour identifier et arrêter l'homme qui a tué par balles deux étudiants samedi à l'université américaine Brown. Pour la faire avancer, les forces de l'ordre ont diffusé mardi une vidéo de plusieurs minutes de l'attaquant et appelé les citoyens à y contribuer.
Texte intégral (745 mots)
L'enquête se poursuit pour identifier et arrêter l'homme qui a tué par balles deux étudiants samedi à l'université américaine Brown. Pour la faire avancer, les forces de l'ordre ont diffusé mardi une vidéo de plusieurs minutes de l'attaquant et appelé les citoyens à y contribuer.

17.12.2025 à 04:17

L'Australie commence à enterrer les victimes du massacre de la plage de Sydney

FRANCE24
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Une foule de fidèles en larmes a accueilli à la synagogue Chabad de cette banlieue de Sydney la dépouille du rabbin Eli Schlanger, première des victimes de l'attentat à être inhumée, parmi un important dispositif policier, ont constaté des journalistes de l'AFP. "Cette perte est immense pour tout le peuple juif, mais pour notre communauté ici, pour le Chabad de Bondi, elle est indicible", a souligné le rabbin Levi Wolff. Surnommé "Le Rabbin de Bondi" Eli Schlanger, 41 ans, était aumônier et avait exercé dans des prisons et des hôpitaux. Il était père de cinq enfants. "Tu es mon fils, mon ami et mon confident", a déclaré son beau-père, Yehoram Ulman, lors de la cérémonie. Eli Schlanger compte parmi les victimes de Sajid Akram et de son fils Naveed, qui ont ouvert dimanche le feu sur la plage de Bondi en pleines célébrations de Hanouka. Parmi les victimes figurent également une petite fille de 10 ans, deux survivants de la Shoah et un ressortissant français, Dan Elkayam. Un autre rabbin assassiné dimanche, Yaakov Levitan, 39 ans, père de quatre enfants, doit être également inhumé mercredi à la synagogue Chabad de Bondi. Ce mouvement représente une branche du judaïsme hassidique et avait organisé les festivités de dimanche sur la plage de Bondi. "Aujourd'hui sera une journée particulièrement difficile", a déclaré le premier ministre Anthony Albanese à la radio locale, soulignant être "de tout coeur avec la communauté". Autre rabbin présent aux obsèques, Yossi Friedman a souligné que la communauté était "extrêmement atteinte". "Nous devrions pouvoir être nous-mêmes et ne pas avoir peur", a souligné Danny Gingef, 66 ans, venu à la cérémonie. Panique M. Albanese a souligné mardi que les assaillants étaient "motivés par l'idéologie" du groupe jihadiste Etat islamique, dont deux drapeaux ont été retrouvés dans leur voiture des assaillants. Sajid Akram a été abattu lors de l'attaque et son fils Naveed, grièvement blessé, n'a pas pu être interrogé à ce stade. Armés de plusieurs fusils légalement détenus, les deux hommes avaient criblé la plage de balles pendant dix minutes. Naveed Akram, 24 ans, avait fait l'objet de vérifications des renseignements australiens en 2019, sans paraître constituer à l'époque de menace immédiate. Selon les autorités philippines, les deux hommes se sont rendus dans le pays du 1er au 28 novembre, respectivement avec un passeport indien et australien. Leur destination était la région de Davao, sur l'île de Mindanao, théâtre d'une insurrection islamiste. Héros M. Albanese a rendu hommage mercredi à l'héroïsme d'un couple de sexagénaires tué dans l'attentat, après que des images filmées par une caméra embarquée dans un véhicule les ont montrés en train de se battre contre l'un des tireurs. "Je rends hommage à Boris et Sofia Gurman. Boris a attaqué l'un de ces terroristes alors qu'il sortait de la voiture. Et cela a causé la mort de M. et Mme Gurman", a-t-il déclaré, qualifiant le couple de "héros australiens". M. Albanese, s'était rendu mardi au chevet d'Ahmed Al Ahmed, également qualifié de héros pour avoir réussi à arracher le fusil des mains de Sajid Akram. Son geste, qui avait été filmé est devenu viral sur les réseaux sociaux. Les dirigeants australiens ont convenu de durcir les lois qui avaient permis à Sajid Akram de posséder six armes à feu. Mardi, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a estimé que la décision australienne de reconnaître la Palestine sur fond de guerre à Gaza avait mis de "l'huile sur le feu de l'antisémitisme".
Texte intégral (619 mots)
Une foule de fidèles en larmes a accueilli à la synagogue Chabad de cette banlieue de Sydney la dépouille du rabbin Eli Schlanger, première des victimes de l'attentat à être inhumée, parmi un important dispositif policier, ont constaté des journalistes de l'AFP. "Cette perte est immense pour tout le peuple juif, mais pour notre communauté ici, pour le Chabad de Bondi, elle est indicible", a souligné le rabbin Levi Wolff. Surnommé "Le Rabbin de Bondi" Eli Schlanger, 41 ans, était aumônier et avait exercé dans des prisons et des hôpitaux. Il était père de cinq enfants. "Tu es mon fils, mon ami et mon confident", a déclaré son beau-père, Yehoram Ulman, lors de la cérémonie. Eli Schlanger compte parmi les victimes de Sajid Akram et de son fils Naveed, qui ont ouvert dimanche le feu sur la plage de Bondi en pleines célébrations de Hanouka. Parmi les victimes figurent également une petite fille de 10 ans, deux survivants de la Shoah et un ressortissant français, Dan Elkayam. Un autre rabbin assassiné dimanche, Yaakov Levitan, 39 ans, père de quatre enfants, doit être également inhumé mercredi à la synagogue Chabad de Bondi. Ce mouvement représente une branche du judaïsme hassidique et avait organisé les festivités de dimanche sur la plage de Bondi. "Aujourd'hui sera une journée particulièrement difficile", a déclaré le premier ministre Anthony Albanese à la radio locale, soulignant être "de tout coeur avec la communauté". Autre rabbin présent aux obsèques, Yossi Friedman a souligné que la communauté était "extrêmement atteinte". "Nous devrions pouvoir être nous-mêmes et ne pas avoir peur", a souligné Danny Gingef, 66 ans, venu à la cérémonie. Panique M. Albanese a souligné mardi que les assaillants étaient "motivés par l'idéologie" du groupe jihadiste Etat islamique, dont deux drapeaux ont été retrouvés dans leur voiture des assaillants. Sajid Akram a été abattu lors de l'attaque et son fils Naveed, grièvement blessé, n'a pas pu être interrogé à ce stade. Armés de plusieurs fusils légalement détenus, les deux hommes avaient criblé la plage de balles pendant dix minutes. Naveed Akram, 24 ans, avait fait l'objet de vérifications des renseignements australiens en 2019, sans paraître constituer à l'époque de menace immédiate. Selon les autorités philippines, les deux hommes se sont rendus dans le pays du 1er au 28 novembre, respectivement avec un passeport indien et australien. Leur destination était la région de Davao, sur l'île de Mindanao, théâtre d'une insurrection islamiste. Héros M. Albanese a rendu hommage mercredi à l'héroïsme d'un couple de sexagénaires tué dans l'attentat, après que des images filmées par une caméra embarquée dans un véhicule les ont montrés en train de se battre contre l'un des tireurs. "Je rends hommage à Boris et Sofia Gurman. Boris a attaqué l'un de ces terroristes alors qu'il sortait de la voiture. Et cela a causé la mort de M. et Mme Gurman", a-t-il déclaré, qualifiant le couple de "héros australiens". M. Albanese, s'était rendu mardi au chevet d'Ahmed Al Ahmed, également qualifié de héros pour avoir réussi à arracher le fusil des mains de Sajid Akram. Son geste, qui avait été filmé est devenu viral sur les réseaux sociaux. Les dirigeants australiens ont convenu de durcir les lois qui avaient permis à Sajid Akram de posséder six armes à feu. Mardi, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a estimé que la décision australienne de reconnaître la Palestine sur fond de guerre à Gaza avait mis de "l'huile sur le feu de l'antisémitisme".

17.12.2025 à 02:13

Mondial-2026: la Fifa annonce des billets à 60 dollars pour les supporters

FRANCE24
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Une nouvelle "catégorie +Supporter Entry+" proposera des billets "à 60 dollars américains chacun et disponibles pour les 104 matches", y compris la finale de la Coupe du monde, qui réunira 48 équipes l'été prochain aux Etats-Unis, Mexique et Canada, a précisé la Fifa dans un communiqué. "Cette initiative vise à soutenir davantage les supporters qui suivent leur équipe nationale tout au long du tournoi", a ajouté l'instance dirigeante du football mondial. Mardi soir, le Premier ministre britannique Keir Starmer a salué l'annonce sur son compte X. "Mais en tant que personne qui économisait autrefois pour s'acheter des billets pour l'Angleterre, j'encourage la Fifa à faire davantage pour rendre les billets plus abordables afin que la Coupe du monde ne perde pas le lien avec les véritables supporters qui rendent ce sport si spécial", a-t-il nuancé. Jeudi dernier, l'association Football Supporters Europe (FSE) s'était indignée des "tarifs astronomiques (...) imposés par la Fifa aux supporters les plus fidèles". Selon les informations de FSE qui affirmait avoir vu "les grilles tarifaires publiées progressivement et confidentiellement par la Fifa", suivre son équipe du premier match jusqu'à la finale "coûterait au minimum 6.900 dollars (environ 6.000 euros)" à un supporter, "soit près de cinq fois plus que lors de la Coupe du monde 2022 au Qatar". Mardi soir, FSE a réagi en soulignant que "cela montre que la politique de billetterie de la Fifa n'est pas immuable, qu'elle a été décidée à la hâte et sans consultation appropriée" mais que "les révisions ne vont pas assez loin pour être satisfaisantes". L'association de supporters a également critiqué l'absence de dispositions en faveur des supporters handicapés ou de leurs accompagnateurs. La Fifa a déclaré que si des supporters achetaient des billets pour les matchs des phases à élimination directe et que leur équipe était éliminée avant, "les frais administratifs leur seraient remboursés". Selon l'organisation, "20 millions de demandes de billets ont été reçues à ce jour pendant la phase actuelle de vente par tirage au sort", qui a débuté jeudi dernier.
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Une nouvelle "catégorie +Supporter Entry+" proposera des billets "à 60 dollars américains chacun et disponibles pour les 104 matches", y compris la finale de la Coupe du monde, qui réunira 48 équipes l'été prochain aux Etats-Unis, Mexique et Canada, a précisé la Fifa dans un communiqué. "Cette initiative vise à soutenir davantage les supporters qui suivent leur équipe nationale tout au long du tournoi", a ajouté l'instance dirigeante du football mondial. Mardi soir, le Premier ministre britannique Keir Starmer a salué l'annonce sur son compte X. "Mais en tant que personne qui économisait autrefois pour s'acheter des billets pour l'Angleterre, j'encourage la Fifa à faire davantage pour rendre les billets plus abordables afin que la Coupe du monde ne perde pas le lien avec les véritables supporters qui rendent ce sport si spécial", a-t-il nuancé. Jeudi dernier, l'association Football Supporters Europe (FSE) s'était indignée des "tarifs astronomiques (...) imposés par la Fifa aux supporters les plus fidèles". Selon les informations de FSE qui affirmait avoir vu "les grilles tarifaires publiées progressivement et confidentiellement par la Fifa", suivre son équipe du premier match jusqu'à la finale "coûterait au minimum 6.900 dollars (environ 6.000 euros)" à un supporter, "soit près de cinq fois plus que lors de la Coupe du monde 2022 au Qatar". Mardi soir, FSE a réagi en soulignant que "cela montre que la politique de billetterie de la Fifa n'est pas immuable, qu'elle a été décidée à la hâte et sans consultation appropriée" mais que "les révisions ne vont pas assez loin pour être satisfaisantes". L'association de supporters a également critiqué l'absence de dispositions en faveur des supporters handicapés ou de leurs accompagnateurs. La Fifa a déclaré que si des supporters achetaient des billets pour les matchs des phases à élimination directe et que leur équipe était éliminée avant, "les frais administratifs leur seraient remboursés". Selon l'organisation, "20 millions de demandes de billets ont été reçues à ce jour pendant la phase actuelle de vente par tirage au sort", qui a débuté jeudi dernier.
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