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04.11.2025 à 13:43

RD Congo : plusieurs partis politiques d'opposition suspendus

FRANCE24
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En RD Congo, les autorités congolaises ont suspendu une dizaine de partis politiques d’opposition. Tous appartiennent à la plateforme « Sauvons la RDC », lancée à Nairobi par l’ancien président Joseph Kabila. Une réunion que Kinshasa a qualifiée de “messe noire”. Les précisions de notre correspondante à Kinshasa, Aurélie Bazzara Kibangula.
En RD Congo, les autorités congolaises ont suspendu une dizaine de partis politiques d’opposition. Tous appartiennent à la plateforme « Sauvons la RDC », lancée à Nairobi par l’ancien président Joseph Kabila. Une réunion que Kinshasa a qualifiée de “messe noire”. Les précisions de notre correspondante à Kinshasa, Aurélie Bazzara Kibangula.

04.11.2025 à 13:42

Cameroun : l'appel à contester la réélection de Biya partiellement suivi

FRANCE24
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L'appel à contester la réélection du président camerounais Paul Biya, 92 ans, par une opération "villes mortes" lancé par le principal candidat d'opposition a été bien suivi mardi à Douala, mais pas à Yaoundé. Les précisions de Marcel Amoko, correspondant France 24 au Cameroun.
L'appel à contester la réélection du président camerounais Paul Biya, 92 ans, par une opération "villes mortes" lancé par le principal candidat d'opposition a été bien suivi mardi à Douala, mais pas à Yaoundé. Les précisions de Marcel Amoko, correspondant France 24 au Cameroun.

04.11.2025 à 13:41

Le Goncourt attribué à Laurent Mauvignier pour "La maison vide"

FRANCE24
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"Je ressens de la joie", c'est "une récompense énorme parce que c'est un livre qui vient de l'enfance et de plusieurs générations", a réagi l'auteur de 58 ans à son arrivée à Drouant, célèbre restaurant proche de l'Opéra à Paris, où l'attendaient les 10 jurés de l'Académie Goncourt. Sacré dès le premier tour du scrutin avec six voix, Laurent Mauvignier a devancé la Belge Caroline Lamarche, qui en a obtenu quatre pour "Le bel obscur" (Seuil). Il a également distancé les deux autres romanciers en lice dans la sélection finale, Emmanuel Carrère avec "Kolkhoze" (P.O.L), qui figurait pourtant parmi les favoris, et Nathacha Appanah avec "La nuit au cœur" (Gallimard), qui a obtenu lundi le prix Femina. "On est dans le salut à un auteur qui a une œuvre déjà très importante derrière lui et qui, cette année, nous a livré non pas une somme, mais un roman quand même fondamental", a commenté Philippe Claudel, le président de l'Académie Goncourt. "C'est quelque chose qui a une puissance littéraire, qui revisite à la fois notre histoire du XXe siècle (...) mais c'est aussi une construction au sens presque architectural", a ajouté M. Claudel, qui arborait comme les autres membres du jury un badge de soutien à l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, emprisonné en Algérie, qui a reçu mardi le Goncourt du livre de poche. "Zones d'ombre" Laurent Mauvignier, 58 ans, est né en Touraine dans une famille ouvrière. Après avoir fait les Beaux-Arts à Tours, il se dirige vers la littérature. Parmi ses ouvrages remarqués figurent "Loin d'eux", son premier roman en 1999, "Des hommes" sur les souvenirs de la guerre d'Algérie, et "Histoires de la nuit". "La maison vide" est un récit de 750 pages, aux phrases amples, qui raconte les générations se succédant depuis le début du XXe siècle dans un village imaginaire de Touraine qui ressemble à la petite ville de Descartes où l'auteur a grandi. "Je crois que mon histoire familiale ressemble à celle de millions de Français, avec ses zones d'ombre et ses parts plus glorieuses", avait récemment expliqué à l’AFP Laurent Mauvignier. Dans son récit, l'auteur s'attarde particulièrement sur Marie-Ernestine qui, jeune fille, a un don pour le piano et s'éprend de son professeur. Mais son père la contraint à épouser Jules et à abandonner ses rêves de monter à Paris pour devenir musicienne. De cette union, naît en 1913 Marguerite, la grand-mère du romancier et Laurent Mauvignier tente de comprendre pourquoi "une forteresse de silence" a entouré cette femme, dont le visage a été découpé ou rayé sur les photos. Grâce au bandeau rouge "Prix Goncourt" apposé sur la couverture, les ventes de "La maison vide" devraient être démultipliées, comme en ont bénéficié les récents lauréats, qui ont parfois dépassé les 500.000 exemplaires écoulés, alors que le roman est déjà un succès de librairie. "Je reçois tellement de messages (de lecteurs, ndlr) avec ce livre, tellement de mots... J'ai l'impression, dans tous les messages que je reçois, que c'est presque plus important pour eux que pour moi", a déclaré Laurent Mauvignier mardi. Décerné en même temps que le Goncourt, le prix Renaudot a été attribué à Adélaïde de Clermont-Tonnerre ("Je voulais vivre"), qui s'est dite "très, trés émue" d'être récompensée "pour un roman d'aventure, un roman un peu enlevé". La surprise est venue du prix Renaudot essai qui a récompensé Alfred de Montesquiou pour "Le crépuscule des hommes" (Robert Laffont), un ouvrage sur les procès de Nuremberg qui ne figurait pas dans les sélections.
Texte intégral (637 mots)
"Je ressens de la joie", c'est "une récompense énorme parce que c'est un livre qui vient de l'enfance et de plusieurs générations", a réagi l'auteur de 58 ans à son arrivée à Drouant, célèbre restaurant proche de l'Opéra à Paris, où l'attendaient les 10 jurés de l'Académie Goncourt. Sacré dès le premier tour du scrutin avec six voix, Laurent Mauvignier a devancé la Belge Caroline Lamarche, qui en a obtenu quatre pour "Le bel obscur" (Seuil). Il a également distancé les deux autres romanciers en lice dans la sélection finale, Emmanuel Carrère avec "Kolkhoze" (P.O.L), qui figurait pourtant parmi les favoris, et Nathacha Appanah avec "La nuit au cœur" (Gallimard), qui a obtenu lundi le prix Femina. "On est dans le salut à un auteur qui a une œuvre déjà très importante derrière lui et qui, cette année, nous a livré non pas une somme, mais un roman quand même fondamental", a commenté Philippe Claudel, le président de l'Académie Goncourt. "C'est quelque chose qui a une puissance littéraire, qui revisite à la fois notre histoire du XXe siècle (...) mais c'est aussi une construction au sens presque architectural", a ajouté M. Claudel, qui arborait comme les autres membres du jury un badge de soutien à l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, emprisonné en Algérie, qui a reçu mardi le Goncourt du livre de poche. "Zones d'ombre" Laurent Mauvignier, 58 ans, est né en Touraine dans une famille ouvrière. Après avoir fait les Beaux-Arts à Tours, il se dirige vers la littérature. Parmi ses ouvrages remarqués figurent "Loin d'eux", son premier roman en 1999, "Des hommes" sur les souvenirs de la guerre d'Algérie, et "Histoires de la nuit". "La maison vide" est un récit de 750 pages, aux phrases amples, qui raconte les générations se succédant depuis le début du XXe siècle dans un village imaginaire de Touraine qui ressemble à la petite ville de Descartes où l'auteur a grandi. "Je crois que mon histoire familiale ressemble à celle de millions de Français, avec ses zones d'ombre et ses parts plus glorieuses", avait récemment expliqué à l’AFP Laurent Mauvignier. Dans son récit, l'auteur s'attarde particulièrement sur Marie-Ernestine qui, jeune fille, a un don pour le piano et s'éprend de son professeur. Mais son père la contraint à épouser Jules et à abandonner ses rêves de monter à Paris pour devenir musicienne. De cette union, naît en 1913 Marguerite, la grand-mère du romancier et Laurent Mauvignier tente de comprendre pourquoi "une forteresse de silence" a entouré cette femme, dont le visage a été découpé ou rayé sur les photos. Grâce au bandeau rouge "Prix Goncourt" apposé sur la couverture, les ventes de "La maison vide" devraient être démultipliées, comme en ont bénéficié les récents lauréats, qui ont parfois dépassé les 500.000 exemplaires écoulés, alors que le roman est déjà un succès de librairie. "Je reçois tellement de messages (de lecteurs, ndlr) avec ce livre, tellement de mots... J'ai l'impression, dans tous les messages que je reçois, que c'est presque plus important pour eux que pour moi", a déclaré Laurent Mauvignier mardi. Décerné en même temps que le Goncourt, le prix Renaudot a été attribué à Adélaïde de Clermont-Tonnerre ("Je voulais vivre"), qui s'est dite "très, trés émue" d'être récompensée "pour un roman d'aventure, un roman un peu enlevé". La surprise est venue du prix Renaudot essai qui a récompensé Alfred de Montesquiou pour "Le crépuscule des hommes" (Robert Laffont), un ouvrage sur les procès de Nuremberg qui ne figurait pas dans les sélections.

04.11.2025 à 13:37

Guinée : le chef de la junte annonce sa candidature à la présidence

FRANCE24
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Le chef de la junte guinéenne, Mamadi Doumbouya, a annoncé lundi sa candidature à l'élection présidentielle du 28 décembre, cherchant ainsi à rester au pouvoir pour cinq années supplémentaires.
Texte intégral (637 mots)
Le chef de la junte guinéenne, Mamadi Doumbouya, a annoncé lundi sa candidature à l'élection présidentielle du 28 décembre, cherchant ainsi à rester au pouvoir pour cinq années supplémentaires.

04.11.2025 à 13:35

Décès de l'ancien vice-président américain Dick Cheney à 84 ans (médias)

FRANCE24
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Sa mort, survenue lundi, est due à des complications liées à une pneumonie ainsi qu'à des maladies cardiaques et vasculaires, selon une déclaration de sa famille. Affligé par des problèmes coronariens presque toute sa vie adulte, M. Cheney a subi cinq crises cardiaques entre 1978 et 2010 et portait un dispositif pour réguler son rythme cardiaque depuis 2001. L'ancien numéro deux de George W. Bush (2001-2009) s'était forgé une réputation telle qu'il fut considéré comme l'un des vice-présidents les plus puissants de l'histoire américaine. Il avait surpris les Américains lors de l'élection présidentielle de 2024 en annonçant qu'il voterait pour la démocrate Kamala Harris, dénonçant son adversaire républicain, Donald Trump, qu'il jugeait inapte à occuper le Bureau ovale. "Nous avons le devoir de placer le pays au-dessus des clivages partisans pour défendre notre Constitution", avait-il déclaré. Dick Cheney fut le colistier de George W. Bush lors de deux campagnes présidentielles victorieuses et son conseiller le plus influent à la Maison Blanche dans une époque marquée par le terrorisme, la guerre et les changements économiques. Il restera connu comme l'un des faucons qui ont joué un rôle central et controversé dans l'invasion de l'Irak en 2003. Entré à la Maison Blanche sous le président républicain Gerald Ford, Dick Cheney remplace plus tard Donald Rumsfeld au poste de chef de cabinet puis dirige, sans succès, la campagne de réélection de Gerald Ford contre Jimmy Carter en 1976. Républicain inconditionnel, M. Cheney se lance peu après dans la course électorale pour décrocher en 1978, dans le Wyoming, un siège d'élu à la Chambre des représentants à Washington qu'il occupe pendant une décennie. Nommé ministre de la Défense sous George H.W. Bush en 1989, Dick Cheney est aux commandes du Pentagone pendant la guerre du Golfe de 1990-1991. Puis il part dans le secteur privé lorsque le démocrate Bill Clinton déloge Bush père de la Maison Blanche. Nommé PDG de Halliburton en 1995, il dirige le grand groupe de services pétroliers pendant cinq ans avant de retourner en politique, comme colistier de George W. Bush pour la présidentielle de 2000. Afghanistan et Irak Devenu vice-président, culmination de sa longue ascension politique, Dick Cheney insuffle son idéologie néo-conservatrice à la Maison Blanche et joue un plus grand rôle à ce poste que la plupart de ses prédécesseurs. On le considère notamment comme l'une des forces motrices derrière la décision d'envahir l'Afghanistan moins d'un mois après le 11-Septembre. 17 mois plus tard les Etats-Unis envahissent l'Irak. L'Irak n'avait pas de programmes actifs de production d'armes de destruction massive, et les analyses postérieures à la guerre n'ont trouvé aucun lien opérationnel entre le régime de Saddam Hussein et al-Qaïda. Saddam Hussein a été capturé, jugé et exécuté, mais la guerre en Irak a continué jusqu'en 2011, et les troupes américaines sont restées dans le pays pendant une autre décennie, cherchant à stabiliser le pays et à repousser les extrémistes de l'organisation Etat islamique. Près de 5.000 Américains ont été tués dans cette guerre. Le conflit en Afghanistan a continué jusqu'en 2021, lorsque le président Joe Biden a retiré les dernières troupes américaines, mettant fin à une guerre dans laquelle plus de 2.300 membres des forces armées américaines sont morts et permettant aux talibans de reprendre le contrôle du pays. Dick Cheney a par la suite assuré refuser de croire que Saddam Hussein n'était pas en train de développer un programme d'armes de destruction massive. Il fut aussi l'un des plus grands défenseurs des techniques américaines d'interrogatoire poussées, désormais largement considérées comme de la torture. Deuxième société de services pétroliers au monde, Halliburton s'est considérablement enrichie à la faveur de la seconde guerre en Irak.
Texte intégral (661 mots)
Sa mort, survenue lundi, est due à des complications liées à une pneumonie ainsi qu'à des maladies cardiaques et vasculaires, selon une déclaration de sa famille. Affligé par des problèmes coronariens presque toute sa vie adulte, M. Cheney a subi cinq crises cardiaques entre 1978 et 2010 et portait un dispositif pour réguler son rythme cardiaque depuis 2001. L'ancien numéro deux de George W. Bush (2001-2009) s'était forgé une réputation telle qu'il fut considéré comme l'un des vice-présidents les plus puissants de l'histoire américaine. Il avait surpris les Américains lors de l'élection présidentielle de 2024 en annonçant qu'il voterait pour la démocrate Kamala Harris, dénonçant son adversaire républicain, Donald Trump, qu'il jugeait inapte à occuper le Bureau ovale. "Nous avons le devoir de placer le pays au-dessus des clivages partisans pour défendre notre Constitution", avait-il déclaré. Dick Cheney fut le colistier de George W. Bush lors de deux campagnes présidentielles victorieuses et son conseiller le plus influent à la Maison Blanche dans une époque marquée par le terrorisme, la guerre et les changements économiques. Il restera connu comme l'un des faucons qui ont joué un rôle central et controversé dans l'invasion de l'Irak en 2003. Entré à la Maison Blanche sous le président républicain Gerald Ford, Dick Cheney remplace plus tard Donald Rumsfeld au poste de chef de cabinet puis dirige, sans succès, la campagne de réélection de Gerald Ford contre Jimmy Carter en 1976. Républicain inconditionnel, M. Cheney se lance peu après dans la course électorale pour décrocher en 1978, dans le Wyoming, un siège d'élu à la Chambre des représentants à Washington qu'il occupe pendant une décennie. Nommé ministre de la Défense sous George H.W. Bush en 1989, Dick Cheney est aux commandes du Pentagone pendant la guerre du Golfe de 1990-1991. Puis il part dans le secteur privé lorsque le démocrate Bill Clinton déloge Bush père de la Maison Blanche. Nommé PDG de Halliburton en 1995, il dirige le grand groupe de services pétroliers pendant cinq ans avant de retourner en politique, comme colistier de George W. Bush pour la présidentielle de 2000. Afghanistan et Irak Devenu vice-président, culmination de sa longue ascension politique, Dick Cheney insuffle son idéologie néo-conservatrice à la Maison Blanche et joue un plus grand rôle à ce poste que la plupart de ses prédécesseurs. On le considère notamment comme l'une des forces motrices derrière la décision d'envahir l'Afghanistan moins d'un mois après le 11-Septembre. 17 mois plus tard les Etats-Unis envahissent l'Irak. L'Irak n'avait pas de programmes actifs de production d'armes de destruction massive, et les analyses postérieures à la guerre n'ont trouvé aucun lien opérationnel entre le régime de Saddam Hussein et al-Qaïda. Saddam Hussein a été capturé, jugé et exécuté, mais la guerre en Irak a continué jusqu'en 2011, et les troupes américaines sont restées dans le pays pendant une autre décennie, cherchant à stabiliser le pays et à repousser les extrémistes de l'organisation Etat islamique. Près de 5.000 Américains ont été tués dans cette guerre. Le conflit en Afghanistan a continué jusqu'en 2021, lorsque le président Joe Biden a retiré les dernières troupes américaines, mettant fin à une guerre dans laquelle plus de 2.300 membres des forces armées américaines sont morts et permettant aux talibans de reprendre le contrôle du pays. Dick Cheney a par la suite assuré refuser de croire que Saddam Hussein n'était pas en train de développer un programme d'armes de destruction massive. Il fut aussi l'un des plus grands défenseurs des techniques américaines d'interrogatoire poussées, désormais largement considérées comme de la torture. Deuxième société de services pétroliers au monde, Halliburton s'est considérablement enrichie à la faveur de la seconde guerre en Irak.
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