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18.11.2025 à 14:25

Assassinat à Marseille: Nuñez évoque "un crime d'intimidation" qui constitue "un point de bascule"

FRANCE24
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Dénonçant "les mafias marseillaises", le ministre de l'Intérieur, qui s'exprimait à l'issue d'une réunion à l'Elysée, a ajouté qu'il se rendrait, avec le ministre de la Justice Gérald Darmanin, dès ce jeudi à Marseille à la demande d'Emmanuel Macron, qui leur a enjoint "d'amplifier" la lutte contre les narcotrafiquants. Le chef de l'Etat réunira de nouveau les acteurs de la lutte contre les trafics de drogue "mi-décembre" à l'Elysée puis se "rendra lui-même sur place à Marseille", a complété Laurent Nuñez. "On a constaté, a-t-il poursuivi, que les trafiquants et notamment ceux qui dirigent les mafias marseillaises sont de plus en plus à cran parce que nous menons des actions qui sont extrêmement efficaces". Etaient aussi présents des représentants du ministère de la Justice, ainsi que les ministres des Comptes publics et des Affaires étrangères, Amélie de Montchalin et Jean-Noël Barrot, et des magistrats spécialisés dont le procureur de la République de Marseille Nicolas Bessonne. Le directeur national de la police judiciaire Christian Sainte participait également à cette réunion.

18.11.2025 à 14:21

Vote à l'ONU: Israël salue le plan Trump pour Gaza, le Hamas s'oppose à une force internationale

FRANCE24
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Le Conseil de sécurité des Nations unies a voté lundi pour la résolution américaine endossant le plan du président américain, qui a permis la mise en place le 10 octobre d'un cessez-le feu entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza ravagée par deux ans de guerre. Après les échanges d'otages et de prisonniers, le plan prévoit le déploiement d'une force internationale dans le territoire palestinien, chargée notamment de sécuriser les frontières avec Israël et l'Egypte, démilitariser Gaza et désarmer "les groupes armés non étatiques". "Toute décision internationale qui profite aux Palestiniens est la bienvenue. L'important, c'est que la guerre cesse", a déclaré Saeb Al-Hassanat, 39 ans, qui vit dans une école accueillant des personnes déplacées dans le centre de Gaza. "Peu importe qui nous gouverne. Nous sommes favorables à une administration internationale de Gaza". Mais "sans une forte pression de la part des États-Unis, Israël ne se conformera à aucune décision et la résolution du Conseil de sécurité restera sans valeur", a-t-il estimé. - Désarmement - "Le plan du président Trump mènera à la paix et à la prospérité car il insiste sur la démilitarisation complète, le désarmement et la déradicalisation de Gaza", s'est réjoui mardi le bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. "Israël tend la main à tous ses voisins, porteurs de paix et de prospérité, et les appelle à normaliser leurs relations avec Israël et à se joindre à lui pour expulser le Hamas et ses partisans de la région", ajoute-t-il. Le Hamas, opposé à son désarmement et exclu par la résolution de tout rôle dans la future gouvernance de Gaza, avait fustigé, dès après le vote de l'ONU, un texte qui "ne répond pas aux exigences et aux droits politiques et humains" du peuple palestinien. La résolution "impose un mécanisme de tutelle internationale sur la bande de Gaza, ce que notre peuple, ses forces et ses composantes rejettent", et vise "à atteindre les objectifs" d'Israël, souligne dans un communiqué le mouvement islamiste palestinien. Plusieurs fois modifiée lors de négociations sensibles, la résolution a été adoptée à 13 voix pour et aucune contre (la Russie et la Chine se sont abstenues), sous la pression des Etats-Unis qui mettaient en garde contre le risque d'une reprise des hostilités à Gaza. Le texte donne mandat jusqu'au 31 décembre 2027 à un "Comité de la paix", présidé par Donald Trump, pour assurer une "gouvernance de transition" du territoire palestinien, jusqu'à que soit menée à bien une réforme de l'Autorité palestinienne (AP) de Mahmoud Abbas, 89 ans. Abbas vs. Hamas L'AP exerce son autorité sur une partie de la Cisjordanie, territoire occupé depuis 1967 par Israël, et est lutte ouverte depuis des années avec le Hamas qui avait imposé sa gouvernance sur la bande de Gaza à l'issue de combats fratricides en 2007. Contrairement au Hamas, le ministère des Affaires étrangères de l'Autorité palestinienne a lui salué l'adoption de la résolution, appelant à sa mise en oeuvre immédiate estimant qu'elle affirmait le "droit du peuple palestinien à l'autodétermination et à l'établissement de son État indépendant". Contrairement aux premières versions, l'éventualité d'un Etat palestinien est mentionnée dans le dernier texte, quoique de manière alambiquée: après la réforme de l'Autorité palestinienne, "les conditions pourraient finalement être en place pour un chemin crédible vers une autodétermination palestinienne et un statut d'Etat", est-il écrit dans la résolution. Une perspective clairement rejetée par Israël. "Notre opposition à un Etat palestinien sur quelque territoire que ce soit n'a pas changé", a insisté dimanche Benjamin Netanyahu. La résolution doit aussi faciliter l'entrée de l'aide humanitaire à Gaza où la situation désastreuse des habitants a encore empiré avec les récentes pluies torrentielles. "Nous n'avons toujours ni nourriture, ni eau, ni toit. L'hiver a commencé et les gens vivent dans des conditions catastrophiques", commente Rawia Abbas, 40 ans, qui vit dans une maison en partie détruite à Gaza-ville. "Mes enfants sont petits et font la queue pendant des heures pour obtenir une bonbonne d'eau et un peu de nourriture". burs-acc/rjm/jfx/mdh/gl

18.11.2025 à 14:19

Budget: Lecornu et ses soutiens critiquent la copie actuelle, promise au rejet en cas de vote

FRANCE24
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Lundi, le Premier ministre Sébastien Lecornu a tenté de rassurer le monde de l'entreprise au sommet Choose France: certaines taxes votées en première lecture à l'Assemblée nationale "n'auront jamais d'application". Et le chef du gouvernement de pointer des "aspirations à la justice fiscale ou sociale" qui "se déconnectent complètement de l'économie réelle". Mardi, son entourage vend la mèche. Les groupes du camp gouvernemental à l'Assemblée lui ont signifié que même eux ne pourraient pas voter la partie recettes du projet de budget de l'État pour 2026, invoquant l'"insincérité" de mesures adoptées. Si ces groupes ont affirmé vouloir "un compromis" lors de la navette parlementaire, selon l'entourage du Premier ministre, ils devraient donc osciller entre abstentions et vote contre sur la partie recettes à l'Assemblée nationale d'ici à dimanche. En réunion de groupe, le patron des députés LR Laurent Wauquiez a annoncé son rejet du texte: "On ne peut pas voter ce budget (...) vu toutes les horreurs fiscales" qu'il contient, a déclaré le député de Haute-Loire. A ce stade, l'Assemblée doit encore écluser plus d'un millier d'amendements sur cette partie recettes. Si le gouvernement a d'ores et déjà acté qu'un vote sur les dépenses ne serait pas possible, un vote sur cette première partie est encore envisageable. Il devra quoiqu'il arrive intervenir avant dimanche minuit, le gouvernement pouvant alors envoyer tout le texte au Sénat sans vote, avec les amendements adoptés. "Texte orphelin" En cas de rejet, hypothèse extrêmement probable puisque ni les oppositions ni la majorité ne s'y retrouvent, c'est le texte initial du gouvernement qui irait au Sénat. Pour les socialistes, qui ont fait le pari de la non-censure en espérant faire pencher le budget suffisamment à gauche, la copie actuelle est également insuffisante. Les députés ont tout de même voté un réindexation du barème de l'impôt sur le revenu, doublé la "taxe Gafam" ou encore revu à la hausse l'impôt sur les sociétés. Mais il n'y a "pas assez de justice fiscale", notamment "sur le patrimoine", pointe le député PS Philippe Brun. "Je ne vois pas une majorité se dégager. C'est pas la somme du compromis, c'est la somme de toutes nos envies. C'est un texte un peu orphelin de responsabilité", a résumé lundi sur LCP Marc Fesneau, patron du groupe MoDem. Quelle que soit la version envoyée ou sortant du Sénat, le problème de majorité à l'Assemblée nationale se reposera tôt ou tard sur ce budget de l'Etat. Car le PS envisage pour le moment une abstention au maximum, qui ne suffirait pas à elle seule pour faire passer le texte. Une position qui échaude le camp gouvernemental, mécontent des concessions accordées sans garantie. Et les cadres du bloc central, comme ceux de l'opposition sont aujourd'hui peu optimistes. "Le plus probable c'est qu'on n'ait pas de budget de l'Etat voté en décembre, une loi spéciale pour reconduire celui de 2025, et un nouveau budget soumis en janvier-février", résume l'un d'eux. Un cadre macroniste estime possible un compromis sur le budget de la Sécurité sociale, qui contient une suspension de la réforme des retraites susceptible de sécuriser suffisamment d'abstentions à gauche. Mais pas sur le budget de l'Etat, qu'il imagine passer par un 49.3 en février. Sébastien Lecornu a affirmé souhaiter un compromis "avant" fin décembre, "parce que s'il n'y a pas de budget, ce sera un mauvais compromis en gestion de crise plus tard". Quant à Emmanuel Macron, il a pris position lundi sur ses réseaux sociaux: "Est-ce que je suis satisfait tous les jours de ce qui est voté au Parlement? Non, mais est ce que je pense que la stabilité politique est nécessaire et la recherche de compromis indispensable? Oui."

18.11.2025 à 14:02

Bangladesh : Sheikh Hasina, l'ex-Première ministre, condamnée à mort

FRANCE24
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L'ex-Première ministre du Bangladesh Sheikh Hasina, 78 ans, a été condamnée à mort en son absence lundi 17 novembre pour avoir ordonné la répression meurtrière des manifestations qui ont causé sa chute pendant l'été 2024, un verdict qualifié de "politiquement motivé" par l'intéressée, depuis son exil en Inde.
Texte intégral (655 mots)
L'ex-Première ministre du Bangladesh Sheikh Hasina, 78 ans, a été condamnée à mort en son absence lundi 17 novembre pour avoir ordonné la répression meurtrière des manifestations qui ont causé sa chute pendant l'été 2024, un verdict qualifié de "politiquement motivé" par l'intéressée, depuis son exil en Inde.

18.11.2025 à 14:01

Montrer les corps des momies et regarder la vie en face

FRANCE24
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Comment ne pas avoir envie de tout savoir sur l'homme Chachapoya, aux genoux et aux coudes repliés contre le torse, et à la bouche entrouverte dans un cri qui probablement a inspiré le tableau d'Edvard Munch? C'est l'extraordinaire opportunité qu'offre l'exposition "Momies", à Paris à partir du 19 novembre. "Notre souhait est de déconstruire un peu le cliché de la momie, évidemment égyptienne dans la tête des gens. De montrer qu'il y en a de plus anciennes, qu'il y en a partout, et encore maintenant", explique à l'AFP Pascal Sellier, directeur de recherche émérite au CNRS, et co-commissaire de l'exposition. S'approcher d'une momie, c'est s'approcher d'un défunt et questionner notre rapport à la mort et à la décomposition des corps. "Il y a un petit challenge à aller au-devant de cette discussion de la monstration des restes humains", reconnaît Pascal Sellier. "On sait qu'on préserve plusieurs milliers de restes humains au sein de nos institutions. Leur rendre leur dignité, c'est aussi leur rendre un peu leur histoire, leur identité, leur parcours, plutôt que de les laisser cachés quelque part", abonde Éloïse Quétel, co-commissaire et responsable des collections médicales et d'anatomie pathologique de Sorbonne université. Les momies sont "tout cadavre humain ou animal préservé de la décomposition, que ce soit totalement ou partiellement, de façon accidentelle ou délibérée", expliquent-ils à l'AFP. Ici, ce sont les interventions intentionnelles qui ont intéressé les chercheurs, "même si celles-ci peuvent conduire à laisser faire un processus naturel", comme les +bog bodies+, ces corps enfouis et conservés dans les tourbières. Des Chinchorros à Lénine Techniques, rites, croyances sont présentés au long du parcours, illustrés par des défunts momifiés. La jeune fille de Strasbourg, la jeune femme Guanche, l'enfant Chancay, Petearmosnouphis... Les organisateurs ont exclu toute mise en scène spectaculaire préférant par exemple un éclairage uniforme, sans spot ciblé. L'exposition est ouverte à tout public, et conseillée à partir de 8 ans. Un voile est installé sur le côté d'arrivée du spectateur avant chaque momie, lui offrant la possibilité de ne pas regarder s'il le souhaite. Ce serait dommage, car en plus d'un livret présentant leur fiche d'identité, le contexte de collecte, leur parcours muséal, ces momies ont bénéficié d'une campagne de restauration et de nettoyage. C'est particulièrement impressionnant pour la momie de Myrithis, découverte dans la nécropole d'Antinoë en Egypte. "On a pu retrouver la coupe de cheveux d'origine. Et les textiles ont retrouvé un positionnement beaucoup plus naturel et respectueux sur le corps", souligne Éloïse Quétel. Un respect actuel à mille lieux de l'époque où l'on réduisait des momies sous forme de poudre ou d'onguent, car on leur prêtait des vertus pharmaceutiques. On partait du principe qu'en consommant "un corps qui va vivre éternellement, on va nous-mêmes vivre éternellement", rappelle la chercheuse. On retrouvera jusqu'à la fin du XIXe siècle de la poudre de momie sous forme de pigments dans la peinture, d'engrais pour les champs, ou de combustible pour les trains à vapeur. Avant qu'elles ne deviennent des objets de curiosité scientifique. "Avec le défunt momifié, sont préservés de nombreux tissus mous jusqu'à la peau, les cheveux, les ongles. Chacun de ces éléments nous apporte des informations sur les types d'alimentation, certaines pathologies ou la couleur de cheveux", explique Éloïse Quétel. Ce sont aussi des archives culturelles sur les pratiques funéraires mais aussi la "mode à travers les vêtements, les coiffures", et parfois de spectaculaires tatouages, abonde Pascal Sellier. Présente sur tous les continents, la momification a traversé les siècles pour perdurer encore dans certaines régions du monde, y compris en Europe. Les premières traces sont apparues il y a 9.000 ans, en Amérique du Sud chez les Chinchorros, entre Pérou et Chili. Depuis, la plupart des papes, Lénine, Eva Peron ont été momifiés... Toutes ont leur mot à dire sur notre rapport à la mort, mais aussi de nombreuses choses à nous apprendre sur la vie.
Texte intégral (689 mots)
Comment ne pas avoir envie de tout savoir sur l'homme Chachapoya, aux genoux et aux coudes repliés contre le torse, et à la bouche entrouverte dans un cri qui probablement a inspiré le tableau d'Edvard Munch? C'est l'extraordinaire opportunité qu'offre l'exposition "Momies", à Paris à partir du 19 novembre. "Notre souhait est de déconstruire un peu le cliché de la momie, évidemment égyptienne dans la tête des gens. De montrer qu'il y en a de plus anciennes, qu'il y en a partout, et encore maintenant", explique à l'AFP Pascal Sellier, directeur de recherche émérite au CNRS, et co-commissaire de l'exposition. S'approcher d'une momie, c'est s'approcher d'un défunt et questionner notre rapport à la mort et à la décomposition des corps. "Il y a un petit challenge à aller au-devant de cette discussion de la monstration des restes humains", reconnaît Pascal Sellier. "On sait qu'on préserve plusieurs milliers de restes humains au sein de nos institutions. Leur rendre leur dignité, c'est aussi leur rendre un peu leur histoire, leur identité, leur parcours, plutôt que de les laisser cachés quelque part", abonde Éloïse Quétel, co-commissaire et responsable des collections médicales et d'anatomie pathologique de Sorbonne université. Les momies sont "tout cadavre humain ou animal préservé de la décomposition, que ce soit totalement ou partiellement, de façon accidentelle ou délibérée", expliquent-ils à l'AFP. Ici, ce sont les interventions intentionnelles qui ont intéressé les chercheurs, "même si celles-ci peuvent conduire à laisser faire un processus naturel", comme les +bog bodies+, ces corps enfouis et conservés dans les tourbières. Des Chinchorros à Lénine Techniques, rites, croyances sont présentés au long du parcours, illustrés par des défunts momifiés. La jeune fille de Strasbourg, la jeune femme Guanche, l'enfant Chancay, Petearmosnouphis... Les organisateurs ont exclu toute mise en scène spectaculaire préférant par exemple un éclairage uniforme, sans spot ciblé. L'exposition est ouverte à tout public, et conseillée à partir de 8 ans. Un voile est installé sur le côté d'arrivée du spectateur avant chaque momie, lui offrant la possibilité de ne pas regarder s'il le souhaite. Ce serait dommage, car en plus d'un livret présentant leur fiche d'identité, le contexte de collecte, leur parcours muséal, ces momies ont bénéficié d'une campagne de restauration et de nettoyage. C'est particulièrement impressionnant pour la momie de Myrithis, découverte dans la nécropole d'Antinoë en Egypte. "On a pu retrouver la coupe de cheveux d'origine. Et les textiles ont retrouvé un positionnement beaucoup plus naturel et respectueux sur le corps", souligne Éloïse Quétel. Un respect actuel à mille lieux de l'époque où l'on réduisait des momies sous forme de poudre ou d'onguent, car on leur prêtait des vertus pharmaceutiques. On partait du principe qu'en consommant "un corps qui va vivre éternellement, on va nous-mêmes vivre éternellement", rappelle la chercheuse. On retrouvera jusqu'à la fin du XIXe siècle de la poudre de momie sous forme de pigments dans la peinture, d'engrais pour les champs, ou de combustible pour les trains à vapeur. Avant qu'elles ne deviennent des objets de curiosité scientifique. "Avec le défunt momifié, sont préservés de nombreux tissus mous jusqu'à la peau, les cheveux, les ongles. Chacun de ces éléments nous apporte des informations sur les types d'alimentation, certaines pathologies ou la couleur de cheveux", explique Éloïse Quétel. Ce sont aussi des archives culturelles sur les pratiques funéraires mais aussi la "mode à travers les vêtements, les coiffures", et parfois de spectaculaires tatouages, abonde Pascal Sellier. Présente sur tous les continents, la momification a traversé les siècles pour perdurer encore dans certaines régions du monde, y compris en Europe. Les premières traces sont apparues il y a 9.000 ans, en Amérique du Sud chez les Chinchorros, entre Pérou et Chili. Depuis, la plupart des papes, Lénine, Eva Peron ont été momifiés... Toutes ont leur mot à dire sur notre rapport à la mort, mais aussi de nombreuses choses à nous apprendre sur la vie.
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