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Chaîne de service public - Actualité internationale.

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31.12.2025 à 18:21

Nouvel An: Nuñez promet des interpellations immédiates en cas de problème

FRANCE24
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"Il y aura interpellations systématiques s'il devait y avoir des fauteurs de troubles (...) Tolérer aucun débordement, je tiens à le préciser, ça ne veut pas dire qu'il n'y en aura pas. Ça ne veut pas dire qu'il n'y aura pas des gens qui vont tenter de commettre des violences urbaines", a déclaré le ministre de l'Intérieur devant plusieurs médias, dont l'AFP. "Ça veut surtout dire que l'instruction qui est donnée, c'est d'intervenir et d'aller au contact immédiatement. Les policiers et les gendarmes le feront avec beaucoup de fermeté, de détermination pour contenir ces éventuels troubles à l'ordre public", a-t-il prévenu. "S'il devait y avoir des incidents -la probabilité qu'il y en ait elle est quand même très forte puisque chaque année il y en a- nous interviendrons avec beaucoup, beaucoup de détermination: c'est vraiment ce que j'ai demandé aux préfets, qu'on intervienne et qu'on aille au contact, qu'on aille impacter les groupes à risque, de manière à ce que les troubles à l'ordre public cessent immédiatement. En tout cas le plus rapidement possible", a-t-il martelé. Le ministre de l'Intérieur a sillonné l'île-de-France, mercredi, au contact des forces de l'ordre engagées pour le passage à la nouvelle année: il s'est ainsi rendu dans le Val-d'Oise, à la brigade de gendarmerie de Domont avant d'aller visiter le Service départemental d'incendie et de secours (SDIS) de Villiers-le-Bel ou d'aller à la rencontre de celles et ceux qui effectuent des contrôles à la gare de Garges-Sarcelles. Sur des terres qu'il connaît bien, l'ancien préfet de police de Paris est ensuite allé en Seine-Saint-Denis pour échanger avec des policiers de Saint-Ouen. A chaque fois, son message était le même: "de la fermeté". La veille, dans une circulaire adressée aux procureurs généraux et aux procureurs de la République, le ministre de la Justice Gérald Darmanin avait réclamé "la plus grand fermeté", demandant aux parquets "de requérir de la prison ferme" en cas de violences contre les forces de l'ordre ainsi que "contre les femmes et les enfants". L'année dernière, environ 90.000 policiers et gendarmes avaient été mobilisés sur l'ensemble du territoire pour la nuit de la Saint-Sylvestre. Au total, il y avait eu 984 véhicules incendiés, 420 interpellations et 310 gardes à vue.

31.12.2025 à 18:02

Irak : de l’argile sur les dunes pour freiner les tempêtes de sable

FRANCE24
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Au fin fond du désert dans le sud de l'Irak, des pelleteuses et des bulldozers répandent des couches d'argile humide sur les dunes pour tenter d'empêcher les tempêtes de sable dévastatrices qui se multiplient dans le pays. 
Lire plus (394 mots)
Au fin fond du désert dans le sud de l'Irak, des pelleteuses et des bulldozers répandent des couches d'argile humide sur les dunes pour tenter d'empêcher les tempêtes de sable dévastatrices qui se multiplient dans le pays. 

31.12.2025 à 17:51

Ukraine: en banlieue de Kiev, le nouvel an au rythme des coupures de courant

FRANCE24
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Vendredi, des frappes massives russes ont plongé cette ville de la banlieue nord de Kiev dans le noir, "sans courant, sans chauffage et sans eau", résume l’esthéticienne d’une trentaine d’années, bonnet vissé sur la tête. "Nous étions toutes en stress total, mais nous sommes quand même allées travailler parce que nous avions des rendez-vous pour le nouvel an", explique Daria, qui assure que les dernières attaques ont "complètement détruit le système énergétique dans la région de Kiev". Depuis le début de son invasion de l’Ukraine en 2022, la Russie pilonne sans relâche les infrastructures électriques ukrainiennes avec drones et missiles. Mais ces derniers mois, avec l’arrivée des températures négatives, les attaques se sont intensifiées. "Cette année, c’était comme un effondrement", souffle Daria. "Nous avions déjà connu des coupures avant et nous nous étions un peu adaptés, mais ce qui s’est passé cette année était incroyable". Pour continuer à travailler et pouvoir éclairer son studio malgré les délestages, elle avait investi dans des batteries de secours. Mais les coupures constantes de la dernière semaine ont transformé son quotidien en "une sorte d'enfer". Et si l’électricité revient timidement dans la ville mercredi, pour le dernier jour de l'année, les interruptions durent plusieurs heures. "Si on ajoute les alertes aériennes et les frappes nocturnes, on est complètement désorienté", glisse-t-elle, les larmes aux yeux derrière ses larges lunettes. Panique Devant son salon, le manteau neigeux s’épaissit à mesure que les températures chutent. À l'intérieur, une cliente a affronté le froid pour se faire épiler les sourcils avant le réveillon, éclairée par une lampe sur batterie. Durant les coupures, les clientes éclairaient le studio avec leur téléphone pour que les esthéticiennes puissent continuer leur travail. "Il me semble que rien ne peut empêcher nos Ukrainiennes de venir se faire belles, peu importe ce qui se passe, combien d’heures on a dormi ou pas", dit Daria. "C’est comme si on se soutenait mutuellement". Dans la rue, les services de secours montent des tentes chauffées. Les immeubles du quartier gardent les stigmates des récentes attaques, de nombreuses fenêtres ont été remplacées par des planches, soufflées par les explosions de munitions russes. Car si Vychgorod a la chance d’avoir une vue imprenable sur le fleuve Dnipro, elle est aussi proche de la centrale hydroélectrique de Kiev, visée par les drones de Moscou. Daria se souvient du passage de l’un d’entre eux au-dessus de son studio : "Tout le monde a paniqué, les clientes avaient les yeux fermés", dit-elle, en décrivant un son "irréel" qui "déchire les oreilles et la tête". Un nouvel an "sans joie" Dans son petit café hipster, Andrii Galmiz se remet à peine de "l’enfer" des coupures de ces derniers jours qui ont considérablement affecté son travail. Grâce à des générateurs, il a pu continuer le service et avoir "du courant et internet, mais pas de chauffage". Un refuge pour les habitants du quartier qui venaient chez lui recharger lampes et téléphones. "Les gens venaient, se réchauffaient, travaillaient", explique le quadragénaire à la barbe blanche. "Il faut s’entraider". Deux jours plus tôt, ses vitres ont été soufflées par une nouvelle explosion qui a touché le garage d’un de ses amis à proximité, calcinant les voitures qui s’y trouvaient. Dans la rue, Néonila, qui n'a pas donné son nom de famille, se souvient de l’attaque qui a secoué la ville vendredi: "C’était une explosion si puissante... comme si c’était juste à côté". "Le plus effrayant, c'est quand la nuit tombe : on a peur de s’endormir au cas où il se passe quelque chose", confie cette retraitée. Aujourd’hui, elle s’est habituée à s’éclairer "à la bougie, avec la torche du téléphone" et s’apprête à passer le nouvel an "sans joie" au rythme des délestages. "Nous allons fêter ça à la maison, modestement, sans fioritures". Pour 2026, elle n’a qu’un seul souhait: "Qu’il y ait de la lumière. Puis tout le reste suivra". afptv-bur/blb/mm
Texte intégral (733 mots)
Vendredi, des frappes massives russes ont plongé cette ville de la banlieue nord de Kiev dans le noir, "sans courant, sans chauffage et sans eau", résume l’esthéticienne d’une trentaine d’années, bonnet vissé sur la tête. "Nous étions toutes en stress total, mais nous sommes quand même allées travailler parce que nous avions des rendez-vous pour le nouvel an", explique Daria, qui assure que les dernières attaques ont "complètement détruit le système énergétique dans la région de Kiev". Depuis le début de son invasion de l’Ukraine en 2022, la Russie pilonne sans relâche les infrastructures électriques ukrainiennes avec drones et missiles. Mais ces derniers mois, avec l’arrivée des températures négatives, les attaques se sont intensifiées. "Cette année, c’était comme un effondrement", souffle Daria. "Nous avions déjà connu des coupures avant et nous nous étions un peu adaptés, mais ce qui s’est passé cette année était incroyable". Pour continuer à travailler et pouvoir éclairer son studio malgré les délestages, elle avait investi dans des batteries de secours. Mais les coupures constantes de la dernière semaine ont transformé son quotidien en "une sorte d'enfer". Et si l’électricité revient timidement dans la ville mercredi, pour le dernier jour de l'année, les interruptions durent plusieurs heures. "Si on ajoute les alertes aériennes et les frappes nocturnes, on est complètement désorienté", glisse-t-elle, les larmes aux yeux derrière ses larges lunettes. Panique Devant son salon, le manteau neigeux s’épaissit à mesure que les températures chutent. À l'intérieur, une cliente a affronté le froid pour se faire épiler les sourcils avant le réveillon, éclairée par une lampe sur batterie. Durant les coupures, les clientes éclairaient le studio avec leur téléphone pour que les esthéticiennes puissent continuer leur travail. "Il me semble que rien ne peut empêcher nos Ukrainiennes de venir se faire belles, peu importe ce qui se passe, combien d’heures on a dormi ou pas", dit Daria. "C’est comme si on se soutenait mutuellement". Dans la rue, les services de secours montent des tentes chauffées. Les immeubles du quartier gardent les stigmates des récentes attaques, de nombreuses fenêtres ont été remplacées par des planches, soufflées par les explosions de munitions russes. Car si Vychgorod a la chance d’avoir une vue imprenable sur le fleuve Dnipro, elle est aussi proche de la centrale hydroélectrique de Kiev, visée par les drones de Moscou. Daria se souvient du passage de l’un d’entre eux au-dessus de son studio : "Tout le monde a paniqué, les clientes avaient les yeux fermés", dit-elle, en décrivant un son "irréel" qui "déchire les oreilles et la tête". Un nouvel an "sans joie" Dans son petit café hipster, Andrii Galmiz se remet à peine de "l’enfer" des coupures de ces derniers jours qui ont considérablement affecté son travail. Grâce à des générateurs, il a pu continuer le service et avoir "du courant et internet, mais pas de chauffage". Un refuge pour les habitants du quartier qui venaient chez lui recharger lampes et téléphones. "Les gens venaient, se réchauffaient, travaillaient", explique le quadragénaire à la barbe blanche. "Il faut s’entraider". Deux jours plus tôt, ses vitres ont été soufflées par une nouvelle explosion qui a touché le garage d’un de ses amis à proximité, calcinant les voitures qui s’y trouvaient. Dans la rue, Néonila, qui n'a pas donné son nom de famille, se souvient de l’attaque qui a secoué la ville vendredi: "C’était une explosion si puissante... comme si c’était juste à côté". "Le plus effrayant, c'est quand la nuit tombe : on a peur de s’endormir au cas où il se passe quelque chose", confie cette retraitée. Aujourd’hui, elle s’est habituée à s’éclairer "à la bougie, avec la torche du téléphone" et s’apprête à passer le nouvel an "sans joie" au rythme des délestages. "Nous allons fêter ça à la maison, modestement, sans fioritures". Pour 2026, elle n’a qu’un seul souhait: "Qu’il y ait de la lumière. Puis tout le reste suivra". afptv-bur/blb/mm

31.12.2025 à 17:35

Le dernier Astérix fait un carton: plus de 1,65 million d'albums vendus

FRANCE24
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"2025 a été une excellente année pour notre petit Gaulois", s'est félicité Céleste Surugue, directeur-général des Editions Albert René (groupe Hachette), auprès de l'AFP. Selon les données de l'institut de référence GFK communiquées par l'éditeur et révélées par Ouest-France, "Astérix en Lusitanie" termine l'année en tête des ventes avec 1,65 million d'albums au 28 décembre, en hausse de 2,2% par rapport à l'album précédent, "L'Iris blanc", sorti en 2023. Les ventes de l'album, qui a bénéficié d'une forte promotion, ont dépassé les 100.000 par semaine en décembre à l'approche de Noël. Au total, elles sont au plus haut depuis 20 ans, rejoignant celles du 33e album, "Le Ciel lui tombe sur la tête", publié en 2005. "Nous sommes très heureux. C'est une vraie satisfaction dans un marché de l'édition plutôt morose", a commenté Céleste Surugue. Il explique cette performance par "la qualité du travail des auteurs", le scénariste Fabcaro et le dessinateur Didier Conrad, mais aussi par "la popularité intacte de l'univers d'Astérix, auquel les Français sont très attachés". "Astérix en Lusitanie" transporte Astérix et Obélix dans le Portugal antique, où ils viennent au secours de Lusitaniens qui combattent les Romains. Au Portugal, l'album s'est écoulé à 150.000 exemplaires contre 30.000 en moyenne pour les albums précédents. "Il s'agit du plus fort lancement d'un livre dans l'histoire du pays", selon Céleste Surugue. Les ventes sont aussi en progression sur les marchés traditionnels d'Astérix, comme l'Allemagne ou l'Espagne. Le prochain album est attendu à l'automne 2027. En attendant, un film français d'animation, "Astérix: le royaume de Nubie", réalisé par Alexandre Heboyan, devrait sortir fin 2026. Cette année sera en outre celle du centenaire de la naissance de René Goscinny, co-créateur de "l'irréductible Gaulois" avec Albert Uderzo.
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"2025 a été une excellente année pour notre petit Gaulois", s'est félicité Céleste Surugue, directeur-général des Editions Albert René (groupe Hachette), auprès de l'AFP. Selon les données de l'institut de référence GFK communiquées par l'éditeur et révélées par Ouest-France, "Astérix en Lusitanie" termine l'année en tête des ventes avec 1,65 million d'albums au 28 décembre, en hausse de 2,2% par rapport à l'album précédent, "L'Iris blanc", sorti en 2023. Les ventes de l'album, qui a bénéficié d'une forte promotion, ont dépassé les 100.000 par semaine en décembre à l'approche de Noël. Au total, elles sont au plus haut depuis 20 ans, rejoignant celles du 33e album, "Le Ciel lui tombe sur la tête", publié en 2005. "Nous sommes très heureux. C'est une vraie satisfaction dans un marché de l'édition plutôt morose", a commenté Céleste Surugue. Il explique cette performance par "la qualité du travail des auteurs", le scénariste Fabcaro et le dessinateur Didier Conrad, mais aussi par "la popularité intacte de l'univers d'Astérix, auquel les Français sont très attachés". "Astérix en Lusitanie" transporte Astérix et Obélix dans le Portugal antique, où ils viennent au secours de Lusitaniens qui combattent les Romains. Au Portugal, l'album s'est écoulé à 150.000 exemplaires contre 30.000 en moyenne pour les albums précédents. "Il s'agit du plus fort lancement d'un livre dans l'histoire du pays", selon Céleste Surugue. Les ventes sont aussi en progression sur les marchés traditionnels d'Astérix, comme l'Allemagne ou l'Espagne. Le prochain album est attendu à l'automne 2027. En attendant, un film français d'animation, "Astérix: le royaume de Nubie", réalisé par Alexandre Heboyan, devrait sortir fin 2026. Cette année sera en outre celle du centenaire de la naissance de René Goscinny, co-créateur de "l'irréductible Gaulois" avec Albert Uderzo.

31.12.2025 à 17:33

Grippe: l'épidémie continue à progresser, pression accrue sur l'hôpital

FRANCE24
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Lors de la semaine achevée le 28 décembre, la grippe a progressé "dans l'ensemble des régions, toutes en épidémie", sauf La Réunion, a précisé l'agence sanitaire dans son point hebdomadaire. Cette aggravation de l'épidémie a entraîné une activité "d'intensité élevée" à l'hôpital avec 18.552 passages aux urgences (soit 5,2% du total, contre 4% la semaine d'avant), notamment pour prendre en charge des enfants de moins de 15 ans et des personnes de plus de 65 ans. La grippe a été à l'origine de 3.606 hospitalisations (soit 4,8% de l'ensemble, contre 3,4% la semaine précédente). En ville, l'épidémie grippale est en revanche globalement "modérée", avec des évolutions divergentes selon l'âge. Elle reflue chez les moins de 15 ans, "probablement en lien avec la période de congés scolaires", qui réduit les brassages, mais reste à un niveau d'"intensité élevée" chez les 65 ans et plus, selon SpF. Après une saison 2024-2025 sévère en matière de mortalité - plus de 17.000 décès -, l'agence sanitaire note une petite hausse du nombre de décès déclarés par certificat électronique faisant mention de la grippe: 4,1% (contre 2,7% la semaine précédente), proche du niveau des mêmes jours l'an dernier (3,9%). Ces décès, dans neuf cas sur dix, concernent des personnes âgées de 65 ans et plus, dont la couverture vaccinale était de 44,2% au 30 novembre contre 40,5% à la même période l'an dernier. "Il est probable que le recours aux soins pour grippe commence à diminuer dans les prochaines semaines dans la plupart des régions hexagonales, tout en restant à un niveau élevé", juge l'Institut Pasteur dans des modélisations hebdomadaires. L'Institut estime ainsi que l'épidémie pourrait avoir atteint son pic au cours de la dernière semaine de 2025 - le recul n'est pas suffisant pour le dire à ce stade -, "avec une probabilité supérieure ou égale à 50%". Mais "la possibilité d'une reprise de l'épidémie après les vacances de Noël, ou plus tard dans la saison hivernale, ne peut être exclue à ce stade", prévient l'Institut Pasteur. De son côté, l'épidémie de bronchiolite se poursuit dans l'Hexagone et a atteint la Corse. Mais le nombre de passages aux urgences a diminué et celui des hospitalisations est stable, par rapport à la semaine précédente.
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Lors de la semaine achevée le 28 décembre, la grippe a progressé "dans l'ensemble des régions, toutes en épidémie", sauf La Réunion, a précisé l'agence sanitaire dans son point hebdomadaire. Cette aggravation de l'épidémie a entraîné une activité "d'intensité élevée" à l'hôpital avec 18.552 passages aux urgences (soit 5,2% du total, contre 4% la semaine d'avant), notamment pour prendre en charge des enfants de moins de 15 ans et des personnes de plus de 65 ans. La grippe a été à l'origine de 3.606 hospitalisations (soit 4,8% de l'ensemble, contre 3,4% la semaine précédente). En ville, l'épidémie grippale est en revanche globalement "modérée", avec des évolutions divergentes selon l'âge. Elle reflue chez les moins de 15 ans, "probablement en lien avec la période de congés scolaires", qui réduit les brassages, mais reste à un niveau d'"intensité élevée" chez les 65 ans et plus, selon SpF. Après une saison 2024-2025 sévère en matière de mortalité - plus de 17.000 décès -, l'agence sanitaire note une petite hausse du nombre de décès déclarés par certificat électronique faisant mention de la grippe: 4,1% (contre 2,7% la semaine précédente), proche du niveau des mêmes jours l'an dernier (3,9%). Ces décès, dans neuf cas sur dix, concernent des personnes âgées de 65 ans et plus, dont la couverture vaccinale était de 44,2% au 30 novembre contre 40,5% à la même période l'an dernier. "Il est probable que le recours aux soins pour grippe commence à diminuer dans les prochaines semaines dans la plupart des régions hexagonales, tout en restant à un niveau élevé", juge l'Institut Pasteur dans des modélisations hebdomadaires. L'Institut estime ainsi que l'épidémie pourrait avoir atteint son pic au cours de la dernière semaine de 2025 - le recul n'est pas suffisant pour le dire à ce stade -, "avec une probabilité supérieure ou égale à 50%". Mais "la possibilité d'une reprise de l'épidémie après les vacances de Noël, ou plus tard dans la saison hivernale, ne peut être exclue à ce stade", prévient l'Institut Pasteur. De son côté, l'épidémie de bronchiolite se poursuit dans l'Hexagone et a atteint la Corse. Mais le nombre de passages aux urgences a diminué et celui des hospitalisations est stable, par rapport à la semaine précédente.
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