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06.12.2025 à 21:37

Astrig Siranossian : "faire rentrer la musique dans les foyers, ça forme les citoyens de demain"

FRANCE24
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La Philharmonie de Paris accueille dans quatre jours le concert de l’orchestre d’enfants Démos, un programme unique qui offre depuis 15 ans une formation musicale à des jeunes issus de quartiers défavorisés ou de zones rurales. Quatre heures de cours par semaine, rassemblements mensuels et concert final : Démos œuvre à la démocratisation culturelle par la pratique orchestrale. La nouvelle marraine du projet, la violoncelliste Astrig Siranossian, parle de l’impact de ce dispositif.
La Philharmonie de Paris accueille dans quatre jours le concert de l’orchestre d’enfants Démos, un programme unique qui offre depuis 15 ans une formation musicale à des jeunes issus de quartiers défavorisés ou de zones rurales. Quatre heures de cours par semaine, rassemblements mensuels et concert final : Démos œuvre à la démocratisation culturelle par la pratique orchestrale. La nouvelle marraine du projet, la violoncelliste Astrig Siranossian, parle de l’impact de ce dispositif.

06.12.2025 à 21:23

Ski alpin: Robinson de nouveau impériale en géant à Mont-Tremblant, Direz 5e

FRANCE24
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Déjà large vainqueur à Copper-Mountain (Colorado, Etats-Unis) la semaine passée, la vice-championne du monde de la spécialité a de nouveau gagné la première manche, avant de créer des écarts dans la seconde sur ses principales rivales, repoussant la Croate Zrinka Ljutic à 94 centièmes de seconde et la Canadienne Valérie Grenier à 1 seconde 00. "J'étais tellement fatiguée, j'ai surtout essayé de tenir. Le tracé était plus rapide en deuxième manche, il faisait plus froid, la neige ne tombait plus, c'était assez plat, il fallait être intelligente tactiquement", a commenté Robinson au micro des organisateurs. La Néo-Zélandaise, qui a fêté ses 24 ans lundi, a conquis son sixième succès sur le circuit mondial, elle qui avait gagné pour la première fois à 17 ans. Son nouveau triomphe, d'abord sous la neige puis avec l'arrivée du brouillard, combiné à l'abandon de l'Autrichienne Julia Scheib, qui était montée sur le podium des deux premiers géants de l'hiver, permet à Robinson de prendre la tête du classement de la spécialité. En grande forme, elle aura une nouvelle occasion de briller dès dimanche pour un nouveau géant sur la même piste. La star américaine Mikaela Shiffrin, 3e chrono du premier tracé, a reculé au 6e rang à 1 sec 65, et semblait se plaindre au niveau du dos dans l'aire d'arrivée. Impériale en slalom (trois succès en trois courses), Shiffrin cherche encore son meilleur niveau en géant, discipline dans laquelle est est toujours en reconstruction depuis son importante blessure à l'abdomen il y a un an. Juste devant elle, la Française Clara Direz a pris une très belle 5e place avec son dossard N.26, son meilleur résultat depuis deux ans et sa 4e place, déjà à Mont-Tremblant. Direz, 30 ans, a d'abord pris la 7e place de la première manche avant de grimper encore après le deuxième tracé. La championne olympique suédoise Sara Hector est sortie en première manche. Shiffrin reste en tête du classement général de la Coupe du monde, 122 points devant l'Albanaise Lara Colturi, seulement 23e samedi. Les épreuves de vitesse n'ont toutefois pas encore débuté, avec des premières courses programmées la semaine prochaine à St. Moritz (Suisse).
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Déjà large vainqueur à Copper-Mountain (Colorado, Etats-Unis) la semaine passée, la vice-championne du monde de la spécialité a de nouveau gagné la première manche, avant de créer des écarts dans la seconde sur ses principales rivales, repoussant la Croate Zrinka Ljutic à 94 centièmes de seconde et la Canadienne Valérie Grenier à 1 seconde 00. "J'étais tellement fatiguée, j'ai surtout essayé de tenir. Le tracé était plus rapide en deuxième manche, il faisait plus froid, la neige ne tombait plus, c'était assez plat, il fallait être intelligente tactiquement", a commenté Robinson au micro des organisateurs. La Néo-Zélandaise, qui a fêté ses 24 ans lundi, a conquis son sixième succès sur le circuit mondial, elle qui avait gagné pour la première fois à 17 ans. Son nouveau triomphe, d'abord sous la neige puis avec l'arrivée du brouillard, combiné à l'abandon de l'Autrichienne Julia Scheib, qui était montée sur le podium des deux premiers géants de l'hiver, permet à Robinson de prendre la tête du classement de la spécialité. En grande forme, elle aura une nouvelle occasion de briller dès dimanche pour un nouveau géant sur la même piste. La star américaine Mikaela Shiffrin, 3e chrono du premier tracé, a reculé au 6e rang à 1 sec 65, et semblait se plaindre au niveau du dos dans l'aire d'arrivée. Impériale en slalom (trois succès en trois courses), Shiffrin cherche encore son meilleur niveau en géant, discipline dans laquelle est est toujours en reconstruction depuis son importante blessure à l'abdomen il y a un an. Juste devant elle, la Française Clara Direz a pris une très belle 5e place avec son dossard N.26, son meilleur résultat depuis deux ans et sa 4e place, déjà à Mont-Tremblant. Direz, 30 ans, a d'abord pris la 7e place de la première manche avant de grimper encore après le deuxième tracé. La championne olympique suédoise Sara Hector est sortie en première manche. Shiffrin reste en tête du classement général de la Coupe du monde, 122 points devant l'Albanaise Lara Colturi, seulement 23e samedi. Les épreuves de vitesse n'ont toutefois pas encore débuté, avec des premières courses programmées la semaine prochaine à St. Moritz (Suisse).

06.12.2025 à 20:49

Champions Cup: débuts tonitruants pour l'UBB et La Rochelle

FRANCE24
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Dans une compétition où l'offensive est favorisée, avec un bonus dès quatre essais marqués, l'UBB avait ouvert le bal dès la 4e minute avec Damian Penaud, reparti sur la même lancée que sa saison européenne passée quand il avait scoré à 14 reprises, nouveau record de la compétition sur une édition. Rapidement imité par l'autre flèche girondine, Louis Bielle-Biarrey, finalement auteur d'un doublé, les Girondins se sont cependant fait peur en se laissant transpercer quatre fois en première période, dont deux essais en deux minutes juste avant la pause (37e et 38e). Menée 33-22 à la mi-temps, l'UBB a dû attendre la seconde réalisation de "LBB" pour prendre l'avantage (33-34), avant de se détacher irrésistiblement avec deux derniers essais, dont un de Jalibert sur une offrande de Penaud, pour un 24-0 en seconde période pour les champions d'Europe en titre. Champions d'Europe aussi, en 2022 et 2023, mais à la peine en Top 14 (10e), avec trois défaites d'affilée, les Rochelais ont montré de leur côté qu'ils n'entendent pas faire de la figuration, avec une belle victoire bonifiée également (39-20) contre Leicester et notamment un doublé de leur jeune flanker Oscar Jegou. Bonne nouvelle également pour les Maritimes, ils ont enfin enregistré le retour de Uini Atonio, leur pilier droit, à la 58e minute. Blessé aux ischio-jambiers, le pilier de La Rochelle et du XV de France n'avait plus joué depuis plus de six mois. "Bizarrement, c'était vraiment plus facile que ce que je pensais", a déclaré, Atonio, 35 ans, après la rencontre. Victoire donc et bonus en prime pour les Rochelais, avec un 22-0 en seconde période. Mais la qualification pour les huitièmes est encore lointaine, avec deux déplacements périlleux en perspective, chez les quadruples champions d'Europe du Leinster et en Afrique du Sud sur la pelouse des Stormers. Les victoires de l'UBB et de La Rochelle ont redressé le bilan des clubs français dans cette Champions Cup, avec deux défaites pour les deux premiers à être entrés en lice: l'Aviron bayonnais, battu 26-17 sur sa pelouse par les Stormers vendredi soir, et les Clermontois, corrigés 47-10 par les Anglais des Saracens samedi après-midi à Londres. En attendant l'entrée en jeu du Stade toulousain dimanche à domicile contre les Sharks de Durban, avec en ligne de mire une septième couronne, un autre grand favori de cette compétition est entré en lice samedi, la province irlandaise du Leinster, avec une démonstration 45-28 et sept essais à quatre contre les Londoniens des Harlequins. A la peine en United Rugby Championship, avec déjà trois défaites en six journées, dont une claque 35-0 chez les Stormers, les joueurs de la province de Dublin seront encore des candidats au titre, après quatre défaites en finale depuis 2019. Parmi les principaux outsiders pour le titre, le champion d'Angleterre en titre, Bath, a également bien débuté avec une victoire 40-14 contre les Irlandais du Munster. Meilleur démarrage donc que leurs compatriotes des Sharks de Sale, battus à domicile 26-21 vendredi soir par les Ecossais des Glasgow Warriors. A noter également la défaite à domicile (16-17) de la seule équipe galloise en lice, les Scarlets, derniers dans le championnat URC, sur leur pelouse face aux Anglais de Bristol.
Texte intégral (563 mots)
Dans une compétition où l'offensive est favorisée, avec un bonus dès quatre essais marqués, l'UBB avait ouvert le bal dès la 4e minute avec Damian Penaud, reparti sur la même lancée que sa saison européenne passée quand il avait scoré à 14 reprises, nouveau record de la compétition sur une édition. Rapidement imité par l'autre flèche girondine, Louis Bielle-Biarrey, finalement auteur d'un doublé, les Girondins se sont cependant fait peur en se laissant transpercer quatre fois en première période, dont deux essais en deux minutes juste avant la pause (37e et 38e). Menée 33-22 à la mi-temps, l'UBB a dû attendre la seconde réalisation de "LBB" pour prendre l'avantage (33-34), avant de se détacher irrésistiblement avec deux derniers essais, dont un de Jalibert sur une offrande de Penaud, pour un 24-0 en seconde période pour les champions d'Europe en titre. Champions d'Europe aussi, en 2022 et 2023, mais à la peine en Top 14 (10e), avec trois défaites d'affilée, les Rochelais ont montré de leur côté qu'ils n'entendent pas faire de la figuration, avec une belle victoire bonifiée également (39-20) contre Leicester et notamment un doublé de leur jeune flanker Oscar Jegou. Bonne nouvelle également pour les Maritimes, ils ont enfin enregistré le retour de Uini Atonio, leur pilier droit, à la 58e minute. Blessé aux ischio-jambiers, le pilier de La Rochelle et du XV de France n'avait plus joué depuis plus de six mois. "Bizarrement, c'était vraiment plus facile que ce que je pensais", a déclaré, Atonio, 35 ans, après la rencontre. Victoire donc et bonus en prime pour les Rochelais, avec un 22-0 en seconde période. Mais la qualification pour les huitièmes est encore lointaine, avec deux déplacements périlleux en perspective, chez les quadruples champions d'Europe du Leinster et en Afrique du Sud sur la pelouse des Stormers. Les victoires de l'UBB et de La Rochelle ont redressé le bilan des clubs français dans cette Champions Cup, avec deux défaites pour les deux premiers à être entrés en lice: l'Aviron bayonnais, battu 26-17 sur sa pelouse par les Stormers vendredi soir, et les Clermontois, corrigés 47-10 par les Anglais des Saracens samedi après-midi à Londres. En attendant l'entrée en jeu du Stade toulousain dimanche à domicile contre les Sharks de Durban, avec en ligne de mire une septième couronne, un autre grand favori de cette compétition est entré en lice samedi, la province irlandaise du Leinster, avec une démonstration 45-28 et sept essais à quatre contre les Londoniens des Harlequins. A la peine en United Rugby Championship, avec déjà trois défaites en six journées, dont une claque 35-0 chez les Stormers, les joueurs de la province de Dublin seront encore des candidats au titre, après quatre défaites en finale depuis 2019. Parmi les principaux outsiders pour le titre, le champion d'Angleterre en titre, Bath, a également bien débuté avec une victoire 40-14 contre les Irlandais du Munster. Meilleur démarrage donc que leurs compatriotes des Sharks de Sale, battus à domicile 26-21 vendredi soir par les Ecossais des Glasgow Warriors. A noter également la défaite à domicile (16-17) de la seule équipe galloise en lice, les Scarlets, derniers dans le championnat URC, sur leur pelouse face aux Anglais de Bristol.

06.12.2025 à 20:37

Amende au réseau social X: pour Musk, "l'UE devrait être abolie"

FRANCE24
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"L'UE devrait être abolie et les Etats (membres) recouvrer leur souveraineté", a plaidé l'homme le plus riche du monde sur X, "ce qui permettrait aux gouvernements de mieux représenter leurs citoyens." La Commission européenne a infligé cette amende en application du règlement européen sur les services numériques (DSA). En juillet 2024, l'UE avait notifié à X ses griefs, qui portaient, entre autres, sur l'utilisation des coches bleues, modifiée après le rachat de Twitter par un groupe d'investisseurs menés par Elon Musk, en octobre 2022. L'attribution de ce macaron bleu, accolé au nom du compte, intervenait jusqu'ici au terme d'un processus de vérification et avait été conçu par les fondateurs de Twitter comme un gage de crédibilité. Mais après la prise de contrôle, les équipes d'Elon Musk ont accordé ces badges aux utilisateurs payants sans distinction, au risque de brouiller la perception des utilisateurs. La Commission européenne reprochait aussi à X de ne pas communiquer suffisamment d'informations relatives à ses publicités, notamment l'identité de l'annonceur. Autre infraction au règlement européen, l'impossibilité pour des chercheurs agréés d'accéder aux données internes de la plateforme. La décision de l'UE a suscité de vives critiques au sein de la droite américaine, dont est proche Elon Musk. Dès jeudi, alors que la rumeur d'une amende courrait déjà, le vice-président américain JD Vance avait accusé la Commission de sanctionner X "pour n'avoir pas pratiqué la censure", semblant confondre la décision rendue vendredi avec une autre enquête de l'UE sur les contenus illégaux et la désinformation. "L'UE devrait soutenir la liberté d'expression plutôt que d'attaquer des entreprises américaines pour des idioties", avait-il écrit sur X. "L'Europe se laisse aller vers le néant", a lancé Elon Musk, samedi toujours, sur sa plateforme, dénonçant, dans un entretien vidéo qu'il a publié sur son compte, "la surrégulation" de l'UE.
Lire plus (332 mots)
"L'UE devrait être abolie et les Etats (membres) recouvrer leur souveraineté", a plaidé l'homme le plus riche du monde sur X, "ce qui permettrait aux gouvernements de mieux représenter leurs citoyens." La Commission européenne a infligé cette amende en application du règlement européen sur les services numériques (DSA). En juillet 2024, l'UE avait notifié à X ses griefs, qui portaient, entre autres, sur l'utilisation des coches bleues, modifiée après le rachat de Twitter par un groupe d'investisseurs menés par Elon Musk, en octobre 2022. L'attribution de ce macaron bleu, accolé au nom du compte, intervenait jusqu'ici au terme d'un processus de vérification et avait été conçu par les fondateurs de Twitter comme un gage de crédibilité. Mais après la prise de contrôle, les équipes d'Elon Musk ont accordé ces badges aux utilisateurs payants sans distinction, au risque de brouiller la perception des utilisateurs. La Commission européenne reprochait aussi à X de ne pas communiquer suffisamment d'informations relatives à ses publicités, notamment l'identité de l'annonceur. Autre infraction au règlement européen, l'impossibilité pour des chercheurs agréés d'accéder aux données internes de la plateforme. La décision de l'UE a suscité de vives critiques au sein de la droite américaine, dont est proche Elon Musk. Dès jeudi, alors que la rumeur d'une amende courrait déjà, le vice-président américain JD Vance avait accusé la Commission de sanctionner X "pour n'avoir pas pratiqué la censure", semblant confondre la décision rendue vendredi avec une autre enquête de l'UE sur les contenus illégaux et la désinformation. "L'UE devrait soutenir la liberté d'expression plutôt que d'attaquer des entreprises américaines pour des idioties", avait-il écrit sur X. "L'Europe se laisse aller vers le néant", a lancé Elon Musk, samedi toujours, sur sa plateforme, dénonçant, dans un entretien vidéo qu'il a publié sur son compte, "la surrégulation" de l'UE.

06.12.2025 à 20:15

Mondial-2026: le soleil se lèvera à l'Est pour les Bleus

FRANCE24
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Au lendemain du tirage au sort, qui ne les a pas forcément épargnés, les Bleus connaissent désormais leur calendrier, dévoilé samedi par la Fifa, plutôt favorable lui sous bien des aspects, avec à la clé quelques avantages non négligeables. Ils débuteront au Metlife Stadium de New York le 16 juin contre le Sénégal, puis affronteront un barragiste (Bolivie, Irak ou Suriname) le 22 au Lincoln Financial Field de Philadelphie, et concluront leur phase de groupe le 26 au Gillette Stadium de Boston face à la Norvège. S'ils en sortent à la première place, ils resteront sur la côte Est des Etats-Unis, lors de la quasi-totalité de la phase suivante, avec une adversité vouée à monter en gamme pour peu que les cadors censés croiser leur route tiennent leur rang en sortant également vainqueurs de leur poule. Ainsi, après un 16e de finale à New York contre un des huit meilleurs 3e, se profileraient possiblement l'Allemagne en huitième à Philadelphie puis les Pays-Bas en quarts à Boston. Seule la demi-finale, potentiellement face aux champions d'Europe espagnols, obligerait les Tricolores à un déplacement de plusieurs heures en avion pour rallier Dallas, au Texas (centre-sud), avant une finale comme un possible remake de 2022 face à l'Argentine tenante du titre, de nouveau à New York à 15h00 locales (21h00 en France). Objectif camp de base Un programme pas vraiment raccord avec le post de la FFF, apparu sur ses réseaux sociaux juste après le tirage au sort de samedi - une illustration montrant les Bleus, debout à côté d'un van, regardant un désert menant au Grand Canyon, sous un panneau indiquant la célèbre Route 66, qui relie Chicago à Santa Monica, en Californie. Mais qu'importe si le road-trip des Français en 2026 n'a pas le parfum mythique de la conquête de l'Ouest, car sur le plan pratique, logistique mais aussi économique, en matière de fatigue comme d'empreinte environnementale, le calendrier dévoilé par la Fifa est particulièrement arrangeant pour l'équipe de Didier Deschamps, qui disputera aux Etats-Unis sa quatrième phase finale d'un Mondial dans la peau du sélectionneur. La première décision qui lui incombe désormais avec son staff et le président de la FFF, Philippe Diallo, est de trouver le camp de base où s'établira la délégation complète le temps du tournoi. Or en tant que tête de série, la France est prioritaire pour établir son choix. "On n'a encore rien décidé, on a encore un petit peu de temps", a déclaré Deschamps à l'AFP, précisant que "de toute façon, on a jusqu'au 9 janvier (pour communiquer) notre choix à la Fifa. Donc ça laisse un petit peu de marge". Matches l'après-midi Et de résumer la problématique: "C'est le souci de toutes les équipes de faire en sorte de trouver à travers les installations - hébergement avec hôtel et terrain d'entraînement - les meilleures conditions possibles, tout en évitant de la fatigue supplémentaire avec des déplacements, pour aller aux stades, mais aussi parfois du camp de base au terrain d'entraînement où il peut y avoir un temps de déplacement qui peut être autour d'une heure". Par bien des aspects, la région de New York semble cocher toutes les cases pour satisfaire à ces exigences. Des environs de Big Apple, il faut environ 1h10 d'avion ou 1h30 de train pour aller à Philadelphie et 1h15 de vol pour rejoindre Boston. De quoi ménager les organismes, ce qui pourrait compter au bout de cinq semaines de tournoi (11 juin - 19 juillet). Les Bleus pourraient en revanche pâtir des grandes chaleurs estivales qui n'épargnent pas le nord-est du pays, avec des températures et une humidité éprouvantes, comme ont pu le constater pas mal de joueurs attendus dans le groupe des 23 ayant participé au Mondial des clubs cet été. "Avec la répétition des matches, une compétition qui est longue, des temps de récupération qui peuvent être plus courts, la fraîcheur et l'aspect physique seront très importants", n'a pas manqué de souligner le sélectionneur, conscient de ce paramètre-clé dans la quête d'un nouveau Graal après 2018. D'autant que les horaires des trois premiers matches des Bleus, dans des stades non couverts, donc non climatisés, n'arrangeront rien: ils joueront contre le Sénégal à 15h00 locales (21h00 françaises), contre le barragiste encore inconnu à 17h00 (23h00) et contre la Norvège à 15h00 (21h00).
Texte intégral (760 mots)
Au lendemain du tirage au sort, qui ne les a pas forcément épargnés, les Bleus connaissent désormais leur calendrier, dévoilé samedi par la Fifa, plutôt favorable lui sous bien des aspects, avec à la clé quelques avantages non négligeables. Ils débuteront au Metlife Stadium de New York le 16 juin contre le Sénégal, puis affronteront un barragiste (Bolivie, Irak ou Suriname) le 22 au Lincoln Financial Field de Philadelphie, et concluront leur phase de groupe le 26 au Gillette Stadium de Boston face à la Norvège. S'ils en sortent à la première place, ils resteront sur la côte Est des Etats-Unis, lors de la quasi-totalité de la phase suivante, avec une adversité vouée à monter en gamme pour peu que les cadors censés croiser leur route tiennent leur rang en sortant également vainqueurs de leur poule. Ainsi, après un 16e de finale à New York contre un des huit meilleurs 3e, se profileraient possiblement l'Allemagne en huitième à Philadelphie puis les Pays-Bas en quarts à Boston. Seule la demi-finale, potentiellement face aux champions d'Europe espagnols, obligerait les Tricolores à un déplacement de plusieurs heures en avion pour rallier Dallas, au Texas (centre-sud), avant une finale comme un possible remake de 2022 face à l'Argentine tenante du titre, de nouveau à New York à 15h00 locales (21h00 en France). Objectif camp de base Un programme pas vraiment raccord avec le post de la FFF, apparu sur ses réseaux sociaux juste après le tirage au sort de samedi - une illustration montrant les Bleus, debout à côté d'un van, regardant un désert menant au Grand Canyon, sous un panneau indiquant la célèbre Route 66, qui relie Chicago à Santa Monica, en Californie. Mais qu'importe si le road-trip des Français en 2026 n'a pas le parfum mythique de la conquête de l'Ouest, car sur le plan pratique, logistique mais aussi économique, en matière de fatigue comme d'empreinte environnementale, le calendrier dévoilé par la Fifa est particulièrement arrangeant pour l'équipe de Didier Deschamps, qui disputera aux Etats-Unis sa quatrième phase finale d'un Mondial dans la peau du sélectionneur. La première décision qui lui incombe désormais avec son staff et le président de la FFF, Philippe Diallo, est de trouver le camp de base où s'établira la délégation complète le temps du tournoi. Or en tant que tête de série, la France est prioritaire pour établir son choix. "On n'a encore rien décidé, on a encore un petit peu de temps", a déclaré Deschamps à l'AFP, précisant que "de toute façon, on a jusqu'au 9 janvier (pour communiquer) notre choix à la Fifa. Donc ça laisse un petit peu de marge". Matches l'après-midi Et de résumer la problématique: "C'est le souci de toutes les équipes de faire en sorte de trouver à travers les installations - hébergement avec hôtel et terrain d'entraînement - les meilleures conditions possibles, tout en évitant de la fatigue supplémentaire avec des déplacements, pour aller aux stades, mais aussi parfois du camp de base au terrain d'entraînement où il peut y avoir un temps de déplacement qui peut être autour d'une heure". Par bien des aspects, la région de New York semble cocher toutes les cases pour satisfaire à ces exigences. Des environs de Big Apple, il faut environ 1h10 d'avion ou 1h30 de train pour aller à Philadelphie et 1h15 de vol pour rejoindre Boston. De quoi ménager les organismes, ce qui pourrait compter au bout de cinq semaines de tournoi (11 juin - 19 juillet). Les Bleus pourraient en revanche pâtir des grandes chaleurs estivales qui n'épargnent pas le nord-est du pays, avec des températures et une humidité éprouvantes, comme ont pu le constater pas mal de joueurs attendus dans le groupe des 23 ayant participé au Mondial des clubs cet été. "Avec la répétition des matches, une compétition qui est longue, des temps de récupération qui peuvent être plus courts, la fraîcheur et l'aspect physique seront très importants", n'a pas manqué de souligner le sélectionneur, conscient de ce paramètre-clé dans la quête d'un nouveau Graal après 2018. D'autant que les horaires des trois premiers matches des Bleus, dans des stades non couverts, donc non climatisés, n'arrangeront rien: ils joueront contre le Sénégal à 15h00 locales (21h00 françaises), contre le barragiste encore inconnu à 17h00 (23h00) et contre la Norvège à 15h00 (21h00).
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