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03.12.2025 à 18:21

Ashburn, la banlieue américaine devenue capitale mondiale des centres de données

FRANCE24
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Ashburn, en Virginie, surnommée Data Center Alley, est passée d’une zone tranquille du nord de l’État à un centre névralgique de l’infrastructure numérique mondiale, traitant près de 70 % du trafic internet mondial. 
Ashburn, en Virginie, surnommée Data Center Alley, est passée d’une zone tranquille du nord de l’État à un centre névralgique de l’infrastructure numérique mondiale, traitant près de 70 % du trafic internet mondial. 

03.12.2025 à 18:19

Contre la morosité et la solitude : à Liverpool, le succès des thés dansants chez les retraités

FRANCE24
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"Venez au thé dansant et évitez le NHS", le système de santé public britannique, plaisante Davina Woods, une directrice d'école à la retraite. "Ca vous redonne le sourire", dit cette femme pimpante de 71 ans, heureuse d'avoir chaussé ses talons hauts et enfilé une belle robe. C'est un moment d'"évasion" pour elle, loin de l'ambiance maussade régnant au Royaume-Uni, où la crise du pouvoir d'achat, la croissance atone, l'impopularité du Premier ministre travailliste Keir Starmer et la montée de l'extrême droite dominent l'actualité. Alors que la population est vieillissante, le système de santé souffre après une longue cure d'austérité. Ici, "nous laissons la politique dehors", se félicite David Easton, un ingénieur de 65 ans, venu avec son épouse, Jane. Quand ils font une pause, les danseurs parlent de leurs petits-enfants, de leurs vacances, de leur santé ou encore de football. "Tout ce qui touche à la politique actuellement est assez déprimant", résume Mike Robinson. "Quand on danse, on ne pense pas" à cela, dit cet ancien enseignant d'université. Danser "est bon pour la santé mentale", souligne Mike, qui, à 57 ans, est l'un des plus jeunes de l'assemblée. Contact physique Ces thés dansants existent depuis la fin du XIXe siècle. Dans la salle de bal de l'Hôtel de ville de Liverpool, qui date du XVIIIe, le temps semble d'ailleurs s'être arrêté quand les danseurs enchaînent valses, tangos et cha-cha-cha sous les lustres monumentaux. Cent-quinze danseurs ont bravé le froid ce lundi après-midi. L'entrée coûte 12 livres (13,6 euros). Ils avaient rarement été aussi nombreux depuis que Jackie Williams a commencé à organiser ces thés dansants, en 2017. "De plus en plus de gens viennent. Depuis le Covid, ils ont réalisé à quel point ils avaient besoin de contact physique", explique cette professeure de danse de 57 ans, qui organise plusieurs événements par mois dans le nord-ouest de l'Angleterre. "Si les thés dansants n'existaient pas, les gens seraient chez eux, seuls, assis devant la télé", estime Mo Massie, une ancienne psychothérapeute de 75 ans. Danser, "c'est le seul exercice que j'apprécie vraiment", explique Greta Jones, une infirmière à la retraite, venue avec deux amies. Ces thés dansants sont "une excellente façon de combattre la solitude", dit cette femme de 65 ans, qui s'est lancée alors qu'elle vivait seule. Depuis, elle s'est fait "un formidable groupe d'amis". "C'est bon pour le cerveau car il faut se souvenir des pas", souligne Jane Easton, ancienne directrice commerciale d'une école. De nouveaux genres de thés dansants se sont développés ces dernières années, notamment des événements pour les couples de même sexe. Un thé dansant pour les personnes atteintes de démence a été organisé récemment à Swinton dans le nord de l'Angleterre. Après trois heures à tourner, glisser, les danseurs quittent la salle de bal de Liverpool. Les femmes ont quitté leurs chaussures à talons hauts. Ce sont "des moments forts dans ma vie", sourit Mo Massie. En attendant le prochain rendez-vous, plusieurs participants vont rêver devant "Strictly come dancing" (l'équivalent de "Danse avec les stars" en France), une émission phare de la BBC, où des célébrités sont associées à des danseurs professionnels pour concourir chaque semaine.
Texte intégral (553 mots)
"Venez au thé dansant et évitez le NHS", le système de santé public britannique, plaisante Davina Woods, une directrice d'école à la retraite. "Ca vous redonne le sourire", dit cette femme pimpante de 71 ans, heureuse d'avoir chaussé ses talons hauts et enfilé une belle robe. C'est un moment d'"évasion" pour elle, loin de l'ambiance maussade régnant au Royaume-Uni, où la crise du pouvoir d'achat, la croissance atone, l'impopularité du Premier ministre travailliste Keir Starmer et la montée de l'extrême droite dominent l'actualité. Alors que la population est vieillissante, le système de santé souffre après une longue cure d'austérité. Ici, "nous laissons la politique dehors", se félicite David Easton, un ingénieur de 65 ans, venu avec son épouse, Jane. Quand ils font une pause, les danseurs parlent de leurs petits-enfants, de leurs vacances, de leur santé ou encore de football. "Tout ce qui touche à la politique actuellement est assez déprimant", résume Mike Robinson. "Quand on danse, on ne pense pas" à cela, dit cet ancien enseignant d'université. Danser "est bon pour la santé mentale", souligne Mike, qui, à 57 ans, est l'un des plus jeunes de l'assemblée. Contact physique Ces thés dansants existent depuis la fin du XIXe siècle. Dans la salle de bal de l'Hôtel de ville de Liverpool, qui date du XVIIIe, le temps semble d'ailleurs s'être arrêté quand les danseurs enchaînent valses, tangos et cha-cha-cha sous les lustres monumentaux. Cent-quinze danseurs ont bravé le froid ce lundi après-midi. L'entrée coûte 12 livres (13,6 euros). Ils avaient rarement été aussi nombreux depuis que Jackie Williams a commencé à organiser ces thés dansants, en 2017. "De plus en plus de gens viennent. Depuis le Covid, ils ont réalisé à quel point ils avaient besoin de contact physique", explique cette professeure de danse de 57 ans, qui organise plusieurs événements par mois dans le nord-ouest de l'Angleterre. "Si les thés dansants n'existaient pas, les gens seraient chez eux, seuls, assis devant la télé", estime Mo Massie, une ancienne psychothérapeute de 75 ans. Danser, "c'est le seul exercice que j'apprécie vraiment", explique Greta Jones, une infirmière à la retraite, venue avec deux amies. Ces thés dansants sont "une excellente façon de combattre la solitude", dit cette femme de 65 ans, qui s'est lancée alors qu'elle vivait seule. Depuis, elle s'est fait "un formidable groupe d'amis". "C'est bon pour le cerveau car il faut se souvenir des pas", souligne Jane Easton, ancienne directrice commerciale d'une école. De nouveaux genres de thés dansants se sont développés ces dernières années, notamment des événements pour les couples de même sexe. Un thé dansant pour les personnes atteintes de démence a été organisé récemment à Swinton dans le nord de l'Angleterre. Après trois heures à tourner, glisser, les danseurs quittent la salle de bal de Liverpool. Les femmes ont quitté leurs chaussures à talons hauts. Ce sont "des moments forts dans ma vie", sourit Mo Massie. En attendant le prochain rendez-vous, plusieurs participants vont rêver devant "Strictly come dancing" (l'équivalent de "Danse avec les stars" en France), une émission phare de la BBC, où des célébrités sont associées à des danseurs professionnels pour concourir chaque semaine.

03.12.2025 à 18:19

Les Bourses européennes terminent sans élan

FRANCE24
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La Bourse de Paris a terminé en légère hausse de 0,16%, quand le reste des principales places européennes a terminé autour de l'équilibre. Francfort a ainsi cédé 0,07%, Londres 0,10% quand Milan s'est octroyé quelque 0,06%.
Texte intégral (553 mots)
La Bourse de Paris a terminé en légère hausse de 0,16%, quand le reste des principales places européennes a terminé autour de l'équilibre. Francfort a ainsi cédé 0,07%, Londres 0,10% quand Milan s'est octroyé quelque 0,06%.

03.12.2025 à 18:11

Corruption de mineurs: la Cour de cassation tranchera le 14 janvier sur la condamnation de Morandini

FRANCE24
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L'animateur de télévision de 60 ans, qui officie actuellement sur la chaîne CNews, a été condamné le 21 mars 2025 à deux ans de prison avec sursis et 20.000 euros d'amende, reconnu coupable de corruption de mineurs par la cour d'appel de Paris. Celle-ci a en outre prononcé contre Jean-Marc Morandini une interdiction définitive d'exercer une profession en contact avec des mineurs et confirmé son inscription au fichier des auteurs d'infractions sexuelles. En première instance, en décembre 2022, le tribunal correctionnel de Paris l'avait condamné à un an de prison assorti d'une période de sursis probatoire de deux ans. L'animateur avait fait appel et avait vu sa peine alourdie à l'issue de son second procès. Dans cette affaire, il lui était reproché d'avoir envoyé des messages à deux jeunes de 15 ans, en 2013 et 2015-2016, qui consistaient pour l'un à évoquer des scénarios sexuels et, pour le second, à lui demander d'envoyer une photo de lui dénudé. L'animateur avait aussi demandé en 2009 à un adolescent de 16 ans de se dénuder et de se masturber lors d'une audition pour le remake d'un film qui n'a jamais vu le jour. Cette figure du paysage audiovisuel français a également été condamnée en appel en janvier 2025 à 18 mois de prison avec sursis pour harcèlement sexuel à l'encontre d'un jeune comédien, six mois de plus que la peine prononcée en première instance. Dans ce dossier, il était poursuivi pour avoir encouragé entre juin et septembre 2015 des comédiens, âgés de 19 à 26 ans au moment des faits, à s'exhiber nus pour les castings d'une web-série intitulée "Les Faucons", dont il était le producteur. Dans cette autre procédure, l'animateur a aussi déposé un pourvoi en cassation qui n'a pas encore été audiencé.
Lire plus (292 mots)
L'animateur de télévision de 60 ans, qui officie actuellement sur la chaîne CNews, a été condamné le 21 mars 2025 à deux ans de prison avec sursis et 20.000 euros d'amende, reconnu coupable de corruption de mineurs par la cour d'appel de Paris. Celle-ci a en outre prononcé contre Jean-Marc Morandini une interdiction définitive d'exercer une profession en contact avec des mineurs et confirmé son inscription au fichier des auteurs d'infractions sexuelles. En première instance, en décembre 2022, le tribunal correctionnel de Paris l'avait condamné à un an de prison assorti d'une période de sursis probatoire de deux ans. L'animateur avait fait appel et avait vu sa peine alourdie à l'issue de son second procès. Dans cette affaire, il lui était reproché d'avoir envoyé des messages à deux jeunes de 15 ans, en 2013 et 2015-2016, qui consistaient pour l'un à évoquer des scénarios sexuels et, pour le second, à lui demander d'envoyer une photo de lui dénudé. L'animateur avait aussi demandé en 2009 à un adolescent de 16 ans de se dénuder et de se masturber lors d'une audition pour le remake d'un film qui n'a jamais vu le jour. Cette figure du paysage audiovisuel français a également été condamnée en appel en janvier 2025 à 18 mois de prison avec sursis pour harcèlement sexuel à l'encontre d'un jeune comédien, six mois de plus que la peine prononcée en première instance. Dans ce dossier, il était poursuivi pour avoir encouragé entre juin et septembre 2015 des comédiens, âgés de 19 à 26 ans au moment des faits, à s'exhiber nus pour les castings d'une web-série intitulée "Les Faucons", dont il était le producteur. Dans cette autre procédure, l'animateur a aussi déposé un pourvoi en cassation qui n'a pas encore été audiencé.

03.12.2025 à 18:03

La prolifération des satellites menace l'observation du ciel par télescope

FRANCE24
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Depuis 2019, le nombre de satellites en orbite basse est passé de 2.000 à 15.000, selon l'étude publiée mercredi dans la revue Nature. Mais ce n'est rien à côté de ce qui est prévu dans les prochaines années. Si l'ensemble des projets de lancements satellitaires est mené à bien, il y en aura 560.000 en orbite autour de la Terre à l'horizon 2040, selon l'étude. Cela pose une "très sérieuse menace" pour les télescopes spaciaux, explique à l'AFP Alejandro Borlaff, auteur principal de l'étude et membre du Ames Research Center de la Nasa en Californie. Pour les besoins de leur étude, les astronomes ont simulé l'impact que pourraient avoir ces 560.000 satellites sur quatre téléscopes spaciaux. Les reflets de la lumière émise par ces satellites affecteraient ainsi 96% des images produites par le SPHEREx de la Nasa, du futur téléscope ARRAKIHS de l'Agence spatiale européenne (ESA), et du futur Xuntian chinois. Le télescope spatial Hubble, qui offre une vision plus restreinte de l'univers et est donc moins susceptible de photographier un satellite, verrait un tiers de ses images altérées. Cela engendrait des conséquences pour tous les types de recherche scientifique. "Imaginez que vous essayez de trouver des astéroïdes qui peuvent être potentiellement dangereux pour la Terre", explique M. Borlaff. Un astéroïde qui traverse le ciel "ressemble exactement à un satellite... c'est vraiment difficile de trouver lequel est le mauvais", souligne-t-il. Certains télescopes, comme le fameux James Webb, ne sont pas affectés par les satellites car ils sont en orbite stable à 1,5 M de kilomètres de la Terre, au niveau du deuxième point de Lagrange. - "Aussi brillants que la plus brillante étoile" - Une des solutions serait de déployer des satellites à de plus basses altitudes que celles des télescopes spatiaux, mais cela pourrait potentiellement détériorer la couche d'ozone, selon l'étude. La solution la plus logique serait de réduire le nombre des satellites à lancer. Mais la compétition entre les entreprises et les besoins croissants liés à l'essor de l'intelligence artificielle rendent cette option peu probable. Près de trois-quarts des satellites actuellement en orbite appartiennent au milliardaire Elon Musk via sa constellation internet Starlink, explique le chercheur. Dans une vingtaine d'années, Starlink ne devrait plus représenter que 10% de l'ensemble des satellites, selon l'étude. M. Borlaff estime que les entreprises pourraient d'ores et déjà aider en fournissant l'emplacement, l'orientation et la couleur de leurs satellites à ceux qui exploitent des télescopes spatiaux. Un autre problème vient de la taille de plus en plus grosses des satellites. À l’œil nu, les satellites d'une surface supérieure à 100 m2 sont "aussi brillants que la plus brillante des étoiles que vous pouvez voir dans le ciel", souligne-t-il. Mais afin de répondre aux besoins de développement de l'IA, il existe déjà des projets de satellites mesurant plus de 3.000 m2. Ces géants pourraient être "aussi brillants qu'une planète", conclut M. Borlaff.
Texte intégral (506 mots)
Depuis 2019, le nombre de satellites en orbite basse est passé de 2.000 à 15.000, selon l'étude publiée mercredi dans la revue Nature. Mais ce n'est rien à côté de ce qui est prévu dans les prochaines années. Si l'ensemble des projets de lancements satellitaires est mené à bien, il y en aura 560.000 en orbite autour de la Terre à l'horizon 2040, selon l'étude. Cela pose une "très sérieuse menace" pour les télescopes spaciaux, explique à l'AFP Alejandro Borlaff, auteur principal de l'étude et membre du Ames Research Center de la Nasa en Californie. Pour les besoins de leur étude, les astronomes ont simulé l'impact que pourraient avoir ces 560.000 satellites sur quatre téléscopes spaciaux. Les reflets de la lumière émise par ces satellites affecteraient ainsi 96% des images produites par le SPHEREx de la Nasa, du futur téléscope ARRAKIHS de l'Agence spatiale européenne (ESA), et du futur Xuntian chinois. Le télescope spatial Hubble, qui offre une vision plus restreinte de l'univers et est donc moins susceptible de photographier un satellite, verrait un tiers de ses images altérées. Cela engendrait des conséquences pour tous les types de recherche scientifique. "Imaginez que vous essayez de trouver des astéroïdes qui peuvent être potentiellement dangereux pour la Terre", explique M. Borlaff. Un astéroïde qui traverse le ciel "ressemble exactement à un satellite... c'est vraiment difficile de trouver lequel est le mauvais", souligne-t-il. Certains télescopes, comme le fameux James Webb, ne sont pas affectés par les satellites car ils sont en orbite stable à 1,5 M de kilomètres de la Terre, au niveau du deuxième point de Lagrange. - "Aussi brillants que la plus brillante étoile" - Une des solutions serait de déployer des satellites à de plus basses altitudes que celles des télescopes spatiaux, mais cela pourrait potentiellement détériorer la couche d'ozone, selon l'étude. La solution la plus logique serait de réduire le nombre des satellites à lancer. Mais la compétition entre les entreprises et les besoins croissants liés à l'essor de l'intelligence artificielle rendent cette option peu probable. Près de trois-quarts des satellites actuellement en orbite appartiennent au milliardaire Elon Musk via sa constellation internet Starlink, explique le chercheur. Dans une vingtaine d'années, Starlink ne devrait plus représenter que 10% de l'ensemble des satellites, selon l'étude. M. Borlaff estime que les entreprises pourraient d'ores et déjà aider en fournissant l'emplacement, l'orientation et la couleur de leurs satellites à ceux qui exploitent des télescopes spatiaux. Un autre problème vient de la taille de plus en plus grosses des satellites. À l’œil nu, les satellites d'une surface supérieure à 100 m2 sont "aussi brillants que la plus brillante des étoiles que vous pouvez voir dans le ciel", souligne-t-il. Mais afin de répondre aux besoins de développement de l'IA, il existe déjà des projets de satellites mesurant plus de 3.000 m2. Ces géants pourraient être "aussi brillants qu'une planète", conclut M. Borlaff.
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