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31.12.2025 à 06:30

Cameroun : David Pagou et "ses soldats" sont "prêts à entrer dans l'arène" face au Mozambique

Stéphanie TROUILLARD
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Grâce à son match nul face à la Côte d'Ivoire (1-1), dimanche, le Cameroun a obtenu sa place en huitièmes de finale de la CAN 2025. L'équipe de David Pagou aborde avec sérénité sa dernière rencontre de poules face au Mozambique, qui est aussi assuré de poursuivre son chemin. Mais ce n'est pas une raison pour le coach, nommé juste avant la CAN, de se reposer sur ses lauriers. 
Grâce à son match nul face à la Côte d'Ivoire (1-1), dimanche, le Cameroun a obtenu sa place en huitièmes de finale de la CAN 2025. L'équipe de David Pagou aborde avec sérénité sa dernière rencontre de poules face au Mozambique, qui est aussi assuré de poursuivre son chemin. Mais ce n'est pas une raison pour le coach, nommé juste avant la CAN, de se reposer sur ses lauriers. 

31.12.2025 à 04:51

Pérou: au moins un mort et 40 blessés dans un accident de train au Machu Picchu

FRANCE24
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La victime était le conducteur de l'un des deux trains, a précisé le parquet régional de Cusco. La nationalité des blessés n'est pour l'heure pas connue. Inscrit au patrimoine mondial de l'humanité depuis 1983, le Machu Picchu accueille en moyenne 4.500 visiteurs par jour, dont un grand nombre d'étrangers, selon des chiffres officiels. Pour accéder à la célèbre cité inca, les visiteurs prennent d'abord un train, puis un bus. L'accident s'est produit à 13H20 locales (18H20 GMT), sur la voie ferrée à sens unique reliant la localité d'Ollantaytambo au Machu Picchu, dans la région andine de Cusco. La société Ferrocarril Transandino, concessionnaire de la voie ferrée, a indiqué que "deux trains des opérateurs Inca Rail et PeruRail sont entrés en collision, causant des dommages humains et matériels". Le parquet a indiqué travailler à déterminer le nombre de passagers qui voyageaient à bord du train. Les locomotives ont été endommagées, embouties à leurs extrémités, selon des images de l'AFP, montrant également des passagers légèrement blessés près des voies.
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La victime était le conducteur de l'un des deux trains, a précisé le parquet régional de Cusco. La nationalité des blessés n'est pour l'heure pas connue. Inscrit au patrimoine mondial de l'humanité depuis 1983, le Machu Picchu accueille en moyenne 4.500 visiteurs par jour, dont un grand nombre d'étrangers, selon des chiffres officiels. Pour accéder à la célèbre cité inca, les visiteurs prennent d'abord un train, puis un bus. L'accident s'est produit à 13H20 locales (18H20 GMT), sur la voie ferrée à sens unique reliant la localité d'Ollantaytambo au Machu Picchu, dans la région andine de Cusco. La société Ferrocarril Transandino, concessionnaire de la voie ferrée, a indiqué que "deux trains des opérateurs Inca Rail et PeruRail sont entrés en collision, causant des dommages humains et matériels". Le parquet a indiqué travailler à déterminer le nombre de passagers qui voyageaient à bord du train. Les locomotives ont été endommagées, embouties à leurs extrémités, selon des images de l'AFP, montrant également des passagers légèrement blessés près des voies.

31.12.2025 à 04:09

Macron va tracer son ultime feuille de route avec ses voeux pour 2026

FRANCE24
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"Mes chers compatriotes" : comme chaque 31 décembre, à 20H00, le président va tracer sa feuille de route pour l'année à venir, les défis à relever et les raisons selon lui d'espérer malgré l'instabilité politique et le contexte international. Une allocution d'"une dizaine de minutes", sa neuvième et avant-dernière du Nouvel-an, sur laquelle il travaillait encore mardi et qu'il pourrait amender jusqu'au dernier moment, selon son entourage. 63% des Français ont l'intention de ne pas regarder les voeux et la cote de confiance présidentielle (25%) est au plus bas depuis 2017, selon le dernier baromètre Toluna/Harris Interactive pour LCI. Le cadre est d'ores et déjà fixé, avec le défi que constitue la guerre en Ukraine, qui entrera en février dans sa cinquième année et constituera la pierre angulaire de son intervention. De même que le message de fond: Emmanuel Macron "aura à cœur de montrer qu'il fera tout pour que 2026 soit une année d'action, une année utile", souligne son entourage. Et, "sans tomber dans un optimisme béat", l'objectif est aussi de "lutter un peu contre l'atmosphère qui est propice au +french bashing+ (dénigrement de la France, ndlr), qui est souvent d'ailleurs alimenté par d'autoproclamés patriotes", ajoute-t-on en direction de l'extrême droite. "Non à l'immobilisme" Mardi, le chef de l'Etat s'est fendu d'un clip d'une minute sur ses réseaux sociaux chantant les "joies et peines, réussites et défis" mais aussi les "espoirs" de l'année écoulée, de la réouverture des tours de Notre-Dame aux deux prix Nobel français. "La France, durant ces mois, a continué d'avancer malgré un contexte difficile", assure son entourage. De la même manière, 2026 sera "tout l'inverse de l'immobilisme", promet-on, à rebours de l'ex-Premier ministre Edouard Philippe qui estime que "l'Etat n'est plus tenu" et a appelé à une présidentielle anticipée. Les marges de manoeuvres d'Emmanuel Macron sont faibles dans un pays sans majorité, où chaque vote à l'Assemblée confine au défi et où le budget pour 2026 est toujours dans les limbes, faute de compromis entre gouvernement et socialistes. Trois priorités sur la scène intérieure seront esquissées pendant les voeux: l'instauration d'un service militaire, la régulation des réseaux sociaux, et une loi sur la fin de vie. Emmanuel Macron entend réintroduire le service national, plutôt bien accueilli dans l'opinion, sous une forme volontaire. Après une série de tables rondes à travers la France, il évoquera aussi les réseaux sociaux avant des annonces, "a priori en janvier", sur leur régulation auprès des jeunes. Un sujet non sans risque. "Quelle que soit la question, majorité numérique à 15 ans etc.., je ne sais pas de quel côté la pièce retombera. Il peut y avoir beaucoup d’opportunisme", souligne un ancien ministre. Les textes sur la fin de vie seront examinés quant à eux à partir du 20 janvier au Sénat, avant de passer à l'Assemblée. Les débats s'annoncent compliqués, notamment au Sénat, ou le groupe Les Républicains, première force de cette hémicycle, est très réservé sur la création d'une aide à mourir.
Texte intégral (539 mots)
"Mes chers compatriotes" : comme chaque 31 décembre, à 20H00, le président va tracer sa feuille de route pour l'année à venir, les défis à relever et les raisons selon lui d'espérer malgré l'instabilité politique et le contexte international. Une allocution d'"une dizaine de minutes", sa neuvième et avant-dernière du Nouvel-an, sur laquelle il travaillait encore mardi et qu'il pourrait amender jusqu'au dernier moment, selon son entourage. 63% des Français ont l'intention de ne pas regarder les voeux et la cote de confiance présidentielle (25%) est au plus bas depuis 2017, selon le dernier baromètre Toluna/Harris Interactive pour LCI. Le cadre est d'ores et déjà fixé, avec le défi que constitue la guerre en Ukraine, qui entrera en février dans sa cinquième année et constituera la pierre angulaire de son intervention. De même que le message de fond: Emmanuel Macron "aura à cœur de montrer qu'il fera tout pour que 2026 soit une année d'action, une année utile", souligne son entourage. Et, "sans tomber dans un optimisme béat", l'objectif est aussi de "lutter un peu contre l'atmosphère qui est propice au +french bashing+ (dénigrement de la France, ndlr), qui est souvent d'ailleurs alimenté par d'autoproclamés patriotes", ajoute-t-on en direction de l'extrême droite. "Non à l'immobilisme" Mardi, le chef de l'Etat s'est fendu d'un clip d'une minute sur ses réseaux sociaux chantant les "joies et peines, réussites et défis" mais aussi les "espoirs" de l'année écoulée, de la réouverture des tours de Notre-Dame aux deux prix Nobel français. "La France, durant ces mois, a continué d'avancer malgré un contexte difficile", assure son entourage. De la même manière, 2026 sera "tout l'inverse de l'immobilisme", promet-on, à rebours de l'ex-Premier ministre Edouard Philippe qui estime que "l'Etat n'est plus tenu" et a appelé à une présidentielle anticipée. Les marges de manoeuvres d'Emmanuel Macron sont faibles dans un pays sans majorité, où chaque vote à l'Assemblée confine au défi et où le budget pour 2026 est toujours dans les limbes, faute de compromis entre gouvernement et socialistes. Trois priorités sur la scène intérieure seront esquissées pendant les voeux: l'instauration d'un service militaire, la régulation des réseaux sociaux, et une loi sur la fin de vie. Emmanuel Macron entend réintroduire le service national, plutôt bien accueilli dans l'opinion, sous une forme volontaire. Après une série de tables rondes à travers la France, il évoquera aussi les réseaux sociaux avant des annonces, "a priori en janvier", sur leur régulation auprès des jeunes. Un sujet non sans risque. "Quelle que soit la question, majorité numérique à 15 ans etc.., je ne sais pas de quel côté la pièce retombera. Il peut y avoir beaucoup d’opportunisme", souligne un ancien ministre. Les textes sur la fin de vie seront examinés quant à eux à partir du 20 janvier au Sénat, avant de passer à l'Assemblée. Les débats s'annoncent compliqués, notamment au Sénat, ou le groupe Les Républicains, première force de cette hémicycle, est très réservé sur la création d'une aide à mourir.

31.12.2025 à 04:06

En Bretagne, les difficultés des pêcheurs cinq ans après le Brexit

FRANCE24
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Il y a 5 ans, le 31 décembre 2020, le Royaume-Uni sortait de l'Union européenne et de son marché unique. Ce retrait a fortement limité l'accès aux eaux britanniques pour les pêcheurs européens : certains navires ont même été détruits. La filière s'est totalement remodelée, et nos journalistes sont allées constater la situation, en Bretagne.Reportage dans le pays Bigouden, au port du Guilvinec, signé Alice Brogat et Valentine Erba.
Texte intégral (539 mots)
Il y a 5 ans, le 31 décembre 2020, le Royaume-Uni sortait de l'Union européenne et de son marché unique. Ce retrait a fortement limité l'accès aux eaux britanniques pour les pêcheurs européens : certains navires ont même été détruits. La filière s'est totalement remodelée, et nos journalistes sont allées constater la situation, en Bretagne.Reportage dans le pays Bigouden, au port du Guilvinec, signé Alice Brogat et Valentine Erba.

31.12.2025 à 03:51

Le Bangladesh fait ses adieux à l'ex-Première ministre Khaleda Zia

FRANCE24
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Les drapeaux ont été mis en berne au lendemain du décès à 80 ans de la première femme à avoir exercé les fonctions de Première ministre dans cette nation d’Asie du Sud de 170 millions d'habitants. Des milliers d'agents des forces de l'ordre ont été déployés le long des rues empruntées par le véhicule aux couleurs du drapeau national transportant son corps.  Minhaz Uddin, 70 ans, un haut fonctionnaire retraité, explique n'avoir jamais voté pour elle mais avoir tenu à rendre hommage à celle qui fut trois fois Première ministre. "Je suis venu avec mon petit-fils pour dire adieu à une grande figure de la vie politique, dont les contributions resteront à jamais dans les mémoires", a-t-il confié, derrière une barricade surmontée de fil barbelé. Malgré sa santé défaillante, Mme Zia avait annoncé son intention de mener la campagne du Parti nationaliste du Bangladesh (BNP) pour les premières législatives depuis le soulèvement populaire de l'été 2024 et de briguer un siège au Parlement. Elle avait été propulsée à la tête du BNP après l'assassinat de son mari Ziaur Rahman pendant le coup d'Etat militaire de 1981. "Elle n'est plus là, mais son héritage demeure — et le BNP aussi", a confié Jenny Parvez, 37 ans, qui a fait plusieurs heures de trajet pour assister au passage du cortège funéraire. Tarique Rahman, fils de Mme Zia et président par intérim du BNP, est rentré au Bangladesh le 25 décembre pour conduire la campagne électorale, après 17 ans d'un exil volontaire au Royaume‑Uni. A 60 ans, il est pressenti pour prendre la tête du gouvernement en cas de victoire de son parti, donné favori pour le scrutin du 12 février 2026. Le chef du gouvernement provisoire et prix Nobel de la paix Muhammad Yunus a décrété trois jours de deuil national.  "Une grande protectrice" Les funérailles commenceront vers 14H00 (08H00 GMT) par une prière collective devant le Parlement. L'ex-cheffe du gouvernement sera ensuite inhumée aux côtés de son mari.  Le pays "a perdu une grande protectrice", a déclaré dans un communiqué M. Yunus, saluant "son leadership inflexible" qui a, "à plusieurs reprises, libéré la nation de conditions antidémocratiques et inspiré le peuple à viser la liberté". "Le pays pleure la perte d'une figure tutélaire qui a façonné ses aspirations démocratiques", a déclaré son fils dans un communiqué. Il a dit pleurer également la perte de "l'amour infini" de sa mère, qui "a enduré des arrestations à répétition, le refus de soins médicaux et une persécution incessante". "Et pourtant, dans la douleur, la détention et l'incertitude, elle n'a jamais cessé de protéger sa famille avec courage et compassion. Sa résilienc (...) était indestructible". Gravement malade, Khaleda Zia avait été admise fin novembre dans le service de soins intensifs d'un établissement privé de Dacca pour une infection pulmonaire. "Une source d'inspiration" Sa santé était fragile depuis son incarcération pour corruption en 2018, sous le règne de sa grande rivale Sheikh Hasina qui a dirigé le pays d'une main de fer pendant 15 ans jusqu'à la chute de son régime en août 2024. Mme Zia avait été libérée quelques mois après. Le Premier ministre indien Narendra Modi a dit espérer que "sa vision et son héritage continueront de guider notre relation". Des déclarations inattendues dans le contexte des relations très tendues entre ces deux pays voisins. L'Inde était l'un des principaux soutiens de l'ex-Première ministre qui vit, depuis sa chute, en exil sur son territoire . Le ministre indien des Affaires extérieures, Subrahmanyam Jaishankar, se rendra à Dacca pour assister aux funérailles, a indiqué New Delhi. Des hauts responsables pakistanais devraient également y assister. "Je prie pour la paix éternelle et le pardon de l'âme de Begum Khaleda Zia", a réagi Mme Hasina, 78 ans, dans un message diffusé sur les réseaux sociaux par son parti, la Ligue Awami, désormais illégal. En novembre dernier, elle a été condamnée à mort par contumace pour avoir ordonné la répression meurtrière des manifestations de l'été 2024.
Texte intégral (706 mots)
Les drapeaux ont été mis en berne au lendemain du décès à 80 ans de la première femme à avoir exercé les fonctions de Première ministre dans cette nation d’Asie du Sud de 170 millions d'habitants. Des milliers d'agents des forces de l'ordre ont été déployés le long des rues empruntées par le véhicule aux couleurs du drapeau national transportant son corps.  Minhaz Uddin, 70 ans, un haut fonctionnaire retraité, explique n'avoir jamais voté pour elle mais avoir tenu à rendre hommage à celle qui fut trois fois Première ministre. "Je suis venu avec mon petit-fils pour dire adieu à une grande figure de la vie politique, dont les contributions resteront à jamais dans les mémoires", a-t-il confié, derrière une barricade surmontée de fil barbelé. Malgré sa santé défaillante, Mme Zia avait annoncé son intention de mener la campagne du Parti nationaliste du Bangladesh (BNP) pour les premières législatives depuis le soulèvement populaire de l'été 2024 et de briguer un siège au Parlement. Elle avait été propulsée à la tête du BNP après l'assassinat de son mari Ziaur Rahman pendant le coup d'Etat militaire de 1981. "Elle n'est plus là, mais son héritage demeure — et le BNP aussi", a confié Jenny Parvez, 37 ans, qui a fait plusieurs heures de trajet pour assister au passage du cortège funéraire. Tarique Rahman, fils de Mme Zia et président par intérim du BNP, est rentré au Bangladesh le 25 décembre pour conduire la campagne électorale, après 17 ans d'un exil volontaire au Royaume‑Uni. A 60 ans, il est pressenti pour prendre la tête du gouvernement en cas de victoire de son parti, donné favori pour le scrutin du 12 février 2026. Le chef du gouvernement provisoire et prix Nobel de la paix Muhammad Yunus a décrété trois jours de deuil national.  "Une grande protectrice" Les funérailles commenceront vers 14H00 (08H00 GMT) par une prière collective devant le Parlement. L'ex-cheffe du gouvernement sera ensuite inhumée aux côtés de son mari.  Le pays "a perdu une grande protectrice", a déclaré dans un communiqué M. Yunus, saluant "son leadership inflexible" qui a, "à plusieurs reprises, libéré la nation de conditions antidémocratiques et inspiré le peuple à viser la liberté". "Le pays pleure la perte d'une figure tutélaire qui a façonné ses aspirations démocratiques", a déclaré son fils dans un communiqué. Il a dit pleurer également la perte de "l'amour infini" de sa mère, qui "a enduré des arrestations à répétition, le refus de soins médicaux et une persécution incessante". "Et pourtant, dans la douleur, la détention et l'incertitude, elle n'a jamais cessé de protéger sa famille avec courage et compassion. Sa résilienc (...) était indestructible". Gravement malade, Khaleda Zia avait été admise fin novembre dans le service de soins intensifs d'un établissement privé de Dacca pour une infection pulmonaire. "Une source d'inspiration" Sa santé était fragile depuis son incarcération pour corruption en 2018, sous le règne de sa grande rivale Sheikh Hasina qui a dirigé le pays d'une main de fer pendant 15 ans jusqu'à la chute de son régime en août 2024. Mme Zia avait été libérée quelques mois après. Le Premier ministre indien Narendra Modi a dit espérer que "sa vision et son héritage continueront de guider notre relation". Des déclarations inattendues dans le contexte des relations très tendues entre ces deux pays voisins. L'Inde était l'un des principaux soutiens de l'ex-Première ministre qui vit, depuis sa chute, en exil sur son territoire . Le ministre indien des Affaires extérieures, Subrahmanyam Jaishankar, se rendra à Dacca pour assister aux funérailles, a indiqué New Delhi. Des hauts responsables pakistanais devraient également y assister. "Je prie pour la paix éternelle et le pardon de l'âme de Begum Khaleda Zia", a réagi Mme Hasina, 78 ans, dans un message diffusé sur les réseaux sociaux par son parti, la Ligue Awami, désormais illégal. En novembre dernier, elle a été condamnée à mort par contumace pour avoir ordonné la répression meurtrière des manifestations de l'été 2024.
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