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03.12.2025 à 05:50

Malaisie : plus de 11 ans après la disparition du vol MH370, les recherches reprendront fin décembre

FRANCE 24
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Les recherches de l'épave du vol MH370 de Malaysia Airlines, qui a disparu des écrans radar le 8 mars 2014 alors qu'il effectuait la liaison entre Kuala Lumpur et Pékin, vont reprendre le 30 décembre "dans une zone ciblée jugée comme présentant la plus forte probabilité de localisation de l'avion", a annoncé la Malaisie mercredi.
Les recherches de l'épave du vol MH370 de Malaysia Airlines, qui a disparu des écrans radar le 8 mars 2014 alors qu'il effectuait la liaison entre Kuala Lumpur et Pékin, vont reprendre le 30 décembre "dans une zone ciblée jugée comme présentant la plus forte probabilité de localisation de l'avion", a annoncé la Malaisie mercredi.

03.12.2025 à 05:20

En direct : Washington rapporte des "progrès" dans ses négociations avec Moscou

FRANCE 24
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Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a fait état de "quelques progrès" dans les négociations avec la Russie pour tenter de trouver un accord mettant fin à la guerre en Ukraine, lors d'un entretien diffusé mardi. Après un entretien jugé "utile" à Moscou, les Américains Steve Witkoff et Jared Kushner pourraient rencontrer mercredi en Europe une délégation de Kiev. Suivez notre direct.
Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a fait état de "quelques progrès" dans les négociations avec la Russie pour tenter de trouver un accord mettant fin à la guerre en Ukraine, lors d'un entretien diffusé mardi. Après un entretien jugé "utile" à Moscou, les Américains Steve Witkoff et Jared Kushner pourraient rencontrer mercredi en Europe une délégation de Kiev. Suivez notre direct.

03.12.2025 à 04:55

Algérie: verdict attendu en appel pour le journaliste français Christophe Gleizes

FRANCE24
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L'audience d'appel débutera à 9H00 heures locales (8H00 GMT) et "le verdict sera rendu le jour-même" après les débats, a indiqué à l'AFP son avocat algérien Amirouche Bakouri. L'avocat français de Christophe Gleizes, Emmanuel Daoud, est arrivé en Algérie et "a pu s'entretenir avec le journaliste" avant l'audience, selon Me Bakouri. Interrogé sur la radio française France Inter lundi, Me Daoud a dit espérer "une issue favorable", à la faveur d'un "apaisement des relations entre la France et l'Algérie". Même si "les deux affaires n'ont rien à voir", l'avocat a dit avoir interprété comme "un signal positif" la grâce et la libération par Alger de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal le 12 novembre. M. Gleizes "n'a rien à faire en prison, il n'est coupable que d'avoir exercé son métier de journaliste sportif et d'aimer le football algérien", a déclaré fin octobre Thierry Bruttin, directeur général de l'ONG Reporters sans Frontières (RSF) qui le soutient depuis des mois. Collaborateur des magazines français So Foot et Society, Christophe Gleizes, 36 ans, s'était rendu en Algérie pour un article sur le club de football le plus titré du pays, la Jeunesse Sportive de Kabylie (JSK), basé à Tizi Ouzou, à 100 km à l'est d'Alger. "Pas un activiste" Selon RSF, il avait été arrêté le 28 mai 2024 à Tizi Ouzou et placé sous contrôle judiciaire, pour "être entré dans le pays avec un visa touristique, pour +apologie du terrorisme+ et +possession de publications dans un but de propagande nuisant à l'intérêt national+". La justice lui reproche d'avoir été en contact avec un dirigeant de la JSK, qui était également l'un des responsables du Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie (MAK), classé terroriste par les autorités algériennes en 2021. Selon RSF, les premiers échanges entre les deux hommes "ont eu lieu bien avant cette catégorisation par les autorités algériennes" et "le seul échange survenu en 2024 visait à la préparation de son reportage" sur la JSK, "ce dont Christophe Gleizes ne s'est jamais caché". Lors du procès en première instance en juin, "il y a eu une méconnaissance totale du métier de journaliste" donc "nous devons expliquer aux magistrats d'appel qu'un journaliste ne fait pas de politique", "n'est pas un idéologue", "pas un activiste", a souligné Me Daoud sur France Inter. L'avocat a exprimé son respect pour la justice algérienne "indépendante et souveraine" et a récusé des accusations circulant en France comme quoi le journaliste serait "un otage", soulignant que M. Gleizes a pu recevoir des visites, a eu accès à son dossier pénal et à ses avocats.
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L'audience d'appel débutera à 9H00 heures locales (8H00 GMT) et "le verdict sera rendu le jour-même" après les débats, a indiqué à l'AFP son avocat algérien Amirouche Bakouri. L'avocat français de Christophe Gleizes, Emmanuel Daoud, est arrivé en Algérie et "a pu s'entretenir avec le journaliste" avant l'audience, selon Me Bakouri. Interrogé sur la radio française France Inter lundi, Me Daoud a dit espérer "une issue favorable", à la faveur d'un "apaisement des relations entre la France et l'Algérie". Même si "les deux affaires n'ont rien à voir", l'avocat a dit avoir interprété comme "un signal positif" la grâce et la libération par Alger de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal le 12 novembre. M. Gleizes "n'a rien à faire en prison, il n'est coupable que d'avoir exercé son métier de journaliste sportif et d'aimer le football algérien", a déclaré fin octobre Thierry Bruttin, directeur général de l'ONG Reporters sans Frontières (RSF) qui le soutient depuis des mois. Collaborateur des magazines français So Foot et Society, Christophe Gleizes, 36 ans, s'était rendu en Algérie pour un article sur le club de football le plus titré du pays, la Jeunesse Sportive de Kabylie (JSK), basé à Tizi Ouzou, à 100 km à l'est d'Alger. "Pas un activiste" Selon RSF, il avait été arrêté le 28 mai 2024 à Tizi Ouzou et placé sous contrôle judiciaire, pour "être entré dans le pays avec un visa touristique, pour +apologie du terrorisme+ et +possession de publications dans un but de propagande nuisant à l'intérêt national+". La justice lui reproche d'avoir été en contact avec un dirigeant de la JSK, qui était également l'un des responsables du Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie (MAK), classé terroriste par les autorités algériennes en 2021. Selon RSF, les premiers échanges entre les deux hommes "ont eu lieu bien avant cette catégorisation par les autorités algériennes" et "le seul échange survenu en 2024 visait à la préparation de son reportage" sur la JSK, "ce dont Christophe Gleizes ne s'est jamais caché". Lors du procès en première instance en juin, "il y a eu une méconnaissance totale du métier de journaliste" donc "nous devons expliquer aux magistrats d'appel qu'un journaliste ne fait pas de politique", "n'est pas un idéologue", "pas un activiste", a souligné Me Daoud sur France Inter. L'avocat a exprimé son respect pour la justice algérienne "indépendante et souveraine" et a récusé des accusations circulant en France comme quoi le journaliste serait "un otage", soulignant que M. Gleizes a pu recevoir des visites, a eu accès à son dossier pénal et à ses avocats.

03.12.2025 à 04:45

Brandt joue sa survie au tribunal, gouvernement et élus en soutien

FRANCE24
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L'audience devant le tribunal des affaires économiques de Nanterre, prévue à 11H00, doit fixer le sort du groupe Brandt, bien incertain depuis son placement en redressement judiciaire début octobre. Parmi les offres déposées, seul le projet de Scop (société coopérative et participative), soutenu par le groupe Revive, permettrait de sauver au moins 300 emplois, sur les près de 700 que compte Brandt en France, d'après le ministre délégué à l'Industrie Sébastien Martin. Il constituerait aussi l'unique possibilité de sauver les deux usines du groupe, situées près d'Orléans, dans le Loiret, et à Vendôme, dans le Loir-et-Cher, selon des sources syndicales. Face au risque de disparition de la marque, le gouvernement et les élus locaux ont multiplié les prises de parole depuis 48 heures pour assurer qu'une reprise par les salariés, notamment au nom d'un "savoir-faire" français, était possible. Mais la tâche s'annonce difficile, pour un groupe dont la production est quasiment à l'arrêt. Entre 20 et 25 millions d'euros au total seraient nécessaires pour relancer l'activité de Brandt, qui ne pourra plus payer les salaires après le 15 décembre, ont affirmé des sources concordantes. Le gouvernement a annoncé un soutien de l'Etat à hauteur de 5 millions d'euros. La métropole d'Orléans a promis un apport, tout comme la Région Centre-Val de Loire qui a confirmé mardi à l'AFP qu'elle "mettrait les moyens financiers", en ajoutant que le portage des sites industriels est notamment envisagé pour un montant entre 4,5 et 5 millions d'euros. "On est déjà à peu près à 15 millions d'euros mobilisés", a précisé Sébastien Martin mardi sur RMC. Reste à savoir si les banques, poussées par le ministre à "jouer le jeu", ont répondu à cet appel pour convaincre le tribunal de la viabilité du projet. Brandt, propriété depuis 2014 du groupe algérien Cevital, réalise 260 millions d'euros de chiffre d'affaires. L'entreprise subit notamment les conséquences des temps difficiles vécus par le secteur du gros électroménager. Affecté par la crise persistante de l'immobilier, il a enregistré l'an dernier un nouveau recul de ventes (-3,9%), après avoir déjà baissé en 2023. L'achat de ces produits, notamment des appareils de cuisine, est souvent lié à un déménagement.
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L'audience devant le tribunal des affaires économiques de Nanterre, prévue à 11H00, doit fixer le sort du groupe Brandt, bien incertain depuis son placement en redressement judiciaire début octobre. Parmi les offres déposées, seul le projet de Scop (société coopérative et participative), soutenu par le groupe Revive, permettrait de sauver au moins 300 emplois, sur les près de 700 que compte Brandt en France, d'après le ministre délégué à l'Industrie Sébastien Martin. Il constituerait aussi l'unique possibilité de sauver les deux usines du groupe, situées près d'Orléans, dans le Loiret, et à Vendôme, dans le Loir-et-Cher, selon des sources syndicales. Face au risque de disparition de la marque, le gouvernement et les élus locaux ont multiplié les prises de parole depuis 48 heures pour assurer qu'une reprise par les salariés, notamment au nom d'un "savoir-faire" français, était possible. Mais la tâche s'annonce difficile, pour un groupe dont la production est quasiment à l'arrêt. Entre 20 et 25 millions d'euros au total seraient nécessaires pour relancer l'activité de Brandt, qui ne pourra plus payer les salaires après le 15 décembre, ont affirmé des sources concordantes. Le gouvernement a annoncé un soutien de l'Etat à hauteur de 5 millions d'euros. La métropole d'Orléans a promis un apport, tout comme la Région Centre-Val de Loire qui a confirmé mardi à l'AFP qu'elle "mettrait les moyens financiers", en ajoutant que le portage des sites industriels est notamment envisagé pour un montant entre 4,5 et 5 millions d'euros. "On est déjà à peu près à 15 millions d'euros mobilisés", a précisé Sébastien Martin mardi sur RMC. Reste à savoir si les banques, poussées par le ministre à "jouer le jeu", ont répondu à cet appel pour convaincre le tribunal de la viabilité du projet. Brandt, propriété depuis 2014 du groupe algérien Cevital, réalise 260 millions d'euros de chiffre d'affaires. L'entreprise subit notamment les conséquences des temps difficiles vécus par le secteur du gros électroménager. Affecté par la crise persistante de l'immobilier, il a enregistré l'an dernier un nouveau recul de ventes (-3,9%), après avoir déjà baissé en 2023. L'achat de ces produits, notamment des appareils de cuisine, est souvent lié à un déménagement.

03.12.2025 à 04:39

Mondial-2027 en Australie: le XV de France va connaître ses premiers adversaires

FRANCE24
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Premier Mondial à 24 équipes, contre 20 depuis l'édition 1999, premier Mondial à prévoir des huitièmes de finale, ce millésime australien sera peut être l'occasion d'un premier titre mondial pour l'équipe de France de rugby, après trois finales perdues (1987, 99 et 2011). Avantage, lors de ce tirage au sort: les joueurs de Fabien Galthié, cinquièmes mondiaux après les tests d'automne, seront protégés dans le chapeau 1, celui du top 6 mondial. Impossible donc pour Antoine Dupont, Romain Ntamack ou Damian Penaud de retrouver tout de suite les doubles champions du monde en titre sud-africains, les All Blacks néo-zélandais ou encore les Anglais, les Irlandais ou les Pumas argentins. Reste à espérer que le hasard n'offrira pas aux Bleus le pays hôte, les Wallabies australiens, septièmes mondiaux et cadors d'un chapeau 2 où il serait plus facile d'hériter du Japon ou d'un Pays de Galles moribond. Organisé à Sydney, dans les locaux d'une chaîne de télévision, ce tirage au sort va déterminer six groupes de quatre équipes, issues de quatre chapeaux. Un mauvais sort enverrait le XV de France dans une "poule de la mort", avec les Wallabies, la Géorgie et les Samoa. Hong Kong, Petit Poucet Chanceux, les Bleus hériteraient d'un groupe avec le Japon, le Chili, dont ce sera la deuxième participation, et Hong Kong, le Petit Poucet, qualifié pour la première fois. Six groupes donc, de A à F, dont sortiront 16 équipes pour les huitièmes de finale: les deux premiers de chaque groupe et les quatre meilleurs troisièmes. Une fois ces groupes connus, la fédération internationale (World Rugby) annoncera dans deux mois, le 3 février, le calendrier des 52 matches, ainsi que les stades qui les accueilleront. Seule certitude pour l'instant: le match d'ouverture, le 1er octobre 2027, avec l'Australie aura lieu au Kings Park de Perth (ouest), et la finale le 13 novembre à Sydney (est). Les autres villes hôtes de ce tournoi sont Melbourne, Adelaïde, Townsville, Newcastle et Brisbane -qui accueillera les Jeux olympiques d'été en 2032-, avec au total 2,5 millions de billets en vente à partir de la mi-février. Depuis le Mondial-2011 en Nouvelle-Zélande, où ils s'étaient inclinés 8-7 en finale contre les All Blacks, les Bleus n'ont plus jamais franchi le cap des quarts, écrasés par les Néo-Zélandais à Cardiff en 2015 (62-13), puis battus d'un point (20-19) par les Gallois en 2019 au Japon et enfin d'un point encore en 2023 au Stade de France (29-28) face aux futurs champions du monde sud-africains. Bon augure, peut-être: le précédent Mondial australien, en 2003, est le seul à avoir couronné une équipe européenne, le XV de la Rose de Jonny Wilkinson.
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Premier Mondial à 24 équipes, contre 20 depuis l'édition 1999, premier Mondial à prévoir des huitièmes de finale, ce millésime australien sera peut être l'occasion d'un premier titre mondial pour l'équipe de France de rugby, après trois finales perdues (1987, 99 et 2011). Avantage, lors de ce tirage au sort: les joueurs de Fabien Galthié, cinquièmes mondiaux après les tests d'automne, seront protégés dans le chapeau 1, celui du top 6 mondial. Impossible donc pour Antoine Dupont, Romain Ntamack ou Damian Penaud de retrouver tout de suite les doubles champions du monde en titre sud-africains, les All Blacks néo-zélandais ou encore les Anglais, les Irlandais ou les Pumas argentins. Reste à espérer que le hasard n'offrira pas aux Bleus le pays hôte, les Wallabies australiens, septièmes mondiaux et cadors d'un chapeau 2 où il serait plus facile d'hériter du Japon ou d'un Pays de Galles moribond. Organisé à Sydney, dans les locaux d'une chaîne de télévision, ce tirage au sort va déterminer six groupes de quatre équipes, issues de quatre chapeaux. Un mauvais sort enverrait le XV de France dans une "poule de la mort", avec les Wallabies, la Géorgie et les Samoa. Hong Kong, Petit Poucet Chanceux, les Bleus hériteraient d'un groupe avec le Japon, le Chili, dont ce sera la deuxième participation, et Hong Kong, le Petit Poucet, qualifié pour la première fois. Six groupes donc, de A à F, dont sortiront 16 équipes pour les huitièmes de finale: les deux premiers de chaque groupe et les quatre meilleurs troisièmes. Une fois ces groupes connus, la fédération internationale (World Rugby) annoncera dans deux mois, le 3 février, le calendrier des 52 matches, ainsi que les stades qui les accueilleront. Seule certitude pour l'instant: le match d'ouverture, le 1er octobre 2027, avec l'Australie aura lieu au Kings Park de Perth (ouest), et la finale le 13 novembre à Sydney (est). Les autres villes hôtes de ce tournoi sont Melbourne, Adelaïde, Townsville, Newcastle et Brisbane -qui accueillera les Jeux olympiques d'été en 2032-, avec au total 2,5 millions de billets en vente à partir de la mi-février. Depuis le Mondial-2011 en Nouvelle-Zélande, où ils s'étaient inclinés 8-7 en finale contre les All Blacks, les Bleus n'ont plus jamais franchi le cap des quarts, écrasés par les Néo-Zélandais à Cardiff en 2015 (62-13), puis battus d'un point (20-19) par les Gallois en 2019 au Japon et enfin d'un point encore en 2023 au Stade de France (29-28) face aux futurs champions du monde sud-africains. Bon augure, peut-être: le précédent Mondial australien, en 2003, est le seul à avoir couronné une équipe européenne, le XV de la Rose de Jonny Wilkinson.
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