Lien du flux RSS
Chaîne de service public - Actualité internationale.

▸ les 15 dernières parutions

11.12.2025 à 07:29

Coupe NBA: les Spurs dominent les Lakers pour voir Las Vegas

FRANCE24
img
Deuxièmes à l'Ouest avant la rencontre, les Lakers ont subi toute la partie la profondeur de l'effectif des Texans, dont le banc a inscrit 46 points (contre 28 pour les Lakers). Touché à un mollet mi-novembre, Victor Wembanyama a manqué son 12e match de suite mais pu participer à l'échauffement, sous les yeux de son père et du manager de l'équipe de France Boris Diaw. Le prodige tricolore est "très très proche d'un retour", a assuré son entraîneur Mitch Johnson. Grâce à ses coéquipiers, "Wemby" peut envisager de retrouver les parquets à Las Vegas, où les Spurs affronteront samedi en demi-finale le Thunder d'Oklahoma City, champion NBA au printemps. Le Magic d'Orlando et les New York Knicks se disputeront l'autre ticket pour la finale, prévue mardi dans le cité du jeu. A Los Angeles, Luka Doncic avait pourtant bien attaqué son match avec 11 points dans le premier quart-temps, 24 à la mi-temps (35 au total), et beaucoup de temps passé à râler sur les arbitres (une faute technique sifflée contre lui), ce qui d'habitude est très bon signe. Mais les Lakers se sont montrés nerveux, à l'image du coach JJ Redick, excédé sur le banc. Début de saison record pour OKC Lors du deuxième quart-temps, LeBron James (19 points, 15 rebonds, 8 passes) a fait rugir la Crypto.com arena avec l'un des dunks de la saison: une prise d'élan façon bulldozer depuis la ligne à 3 points et un saut massif pour enfoncer le costaud Luke Kornet (2,16 m, 113 kg) et écraser un dunk terrible main droite par dessus l'ancien Celtic, à trois semaines de fêter ses 41 ans. Mais les Spurs ont maintenu le rythme, poussé dès le retour des vestiaires (+20), compté 23 points d'avance en cours de 3e quart-temps, dans le sillage de Stephon Castle (30 points, 10 rebonds, 6 passes). Seul Marcus Smart maintenant les Lakers dans le coup (26 points à 8 sur 13 de loin), permettant de revenir à moins de 10 points dans les dernières minutes, en vain. Si les Spurs foncent à Vegas, ils n'ont pas tiré le jackpot pour leur futur adversaire avec un Thunder au sommet de son art. Les Phoenix Suns peuvent en témoigner, eux qui ont pris la foudre comme jamais en Oklahoma, fessés 138 à 89, plus large défaite de l'histoire de la franchise de l'Arizona. L'écart n'a fait que grimper pour atteindre 53 points, les remplaçants des deux équipes étant même envoyés pour tout le quatrième quart-temps, sans enjeu. Le MVP Shai Gilgeous-Alexander a inscrit 28 points en 26 minutes et mené les siens à un 24e succès en 25 rencontres cette saison, égalant ainsi le meilleur début de saison de l'histoire de la NBA après 25 rencontres, réussi par les Golden State Warriors il y a 10 ans, qui avaient toutefois attendu leur 25e match pour subir une défaite. Le Français Ousmane Dieng a profité de l'écart pour inscrire 11 points pour OKC.

11.12.2025 à 06:54

Ukraine en direct : Trump s'impatiente face à Kiev, réunion de la "coalition des volontaires"

FRANCE 24
img
Une nouvelle réunion de la "coalition des volontaires", coprésidée par Paris et Londres et qui rassemble des soutiens de Kiev, se tiendra jeudi pour avancer sur les "garanties de sécurité" pour l'Ukraine. La veille, le président américain Donald Trump avait redit son impatience face à Kiev et aux Européens. Suivez notre direct.
Lire plus (485 mots)
Une nouvelle réunion de la "coalition des volontaires", coprésidée par Paris et Londres et qui rassemble des soutiens de Kiev, se tiendra jeudi pour avancer sur les "garanties de sécurité" pour l'Ukraine. La veille, le président américain Donald Trump avait redit son impatience face à Kiev et aux Européens. Suivez notre direct.

11.12.2025 à 06:19

Birmanie: une frappe aérienne de la junte sur un hôpital fait 31 morts

FRANCE24
img
"La situation est terrible", a déclaré Wai Hun Aung, évoquant une frappe mercredi soir d'un avion militaire contre l'hôpital général de la ville de Mrauk U, dans l'Etat Rakhine, près de la frontière avec le Bangladesh. "Il y a 31 morts et nous pensons qu'il y en aura davantage. Il y a 68 blessés également et il y en aura de plus en plus", a ajouté le travailleur humanitaire. Contacté, un porte-parole de la junte n'a pas répondu dans l'immédiat. Une vingtaine de corps enveloppés dans des couvertures reposent à l'extérieur de l'hôpital. Une aile entière a été détruite par l'explosion, qui a laissé un large cratère au sol et de nombreux gravats sur les lits. Maung Bu Chay, un menuisier local, dit avoir perdu trois de ses proches, sa femme, sa belle-fille et le père de celle-ci. "J'ai entendu l'explosion depuis mon village", raconte cet homme de 61 ans. "J'ai passé toute la nuit sans savoir où les bombes étaient tombées". "Quand j'ai appris qu'ils (ses proches) se trouvaient dans le bâtiment complètement détruit, j'ai compris qu’ils n’avaient pas survécu", poursuit-il. "Je ressens une forte colère et de la défiance dans mon coeur". Armée d'Arakan Selon les observateurs de la guerre civile birmane, la junte a intensifié ses frappes aériennes année après année après avoir pris le pouvoir lors d'un coup d'Etat en 2021, qui a mis fin à une décennie d'expérience démocratique. L'armée a programmé des élections législatives à partir du 28 décembre, les présentant comme une issue possible aux conflit. Mais les rebelles ont promis d'empêcher le scrutin dans les territoires qu'ils contrôlent et que la junte tente de reconquérir. L'Etat de Rakhine est presque entièrement contrôlé par l'Armée d'Arakan (AA), un groupe ethnique armé actif bien avant que l'armée ne renverse le gouvernement civil d'Aung San Suu Kyi. Le groupe a annoncé mercredi soir dans un communiqué que dix patients de l'hôpital avaient été "tués sur le coup" lors de la frappe aérienne aux alentours de 21H00 (14H30 GMT). L'AA est devenue l'un des groupes rebelles les plus puissants dans la guerre civile qui ravage la Birmanie, aux côtés d'autres combattants issus de minorités ethniques et de partisans pro-démocratie ayant pris les armes après le coup d'Etat de 2021. Les rebelles, dispersés, ont d'abord eu du mal à progresser avant que trois groupes ne lancent une offensive conjointe en 2023, mettant l'armée en difficulté et la poussant à renforcer ses troupes par la conscription. Faim L'AA a joué un rôle clé dans cette "Alliance des trois frères", mais ses deux factions alliées ont accepté cette année des trêves négociées par la Chine, la laissant seule à combattre. Alors que les élections organisées par la junte sont vivement critiquées par de nombreux pays et les Nations unies, Pékin estime qu'elles devraient contribuer à "rétablir la stabilité sociale" chez son voisin birman. Même si l'AA s'est révélée être un adversaire redoutable pour la junte, ses ambitions restent largement limitées à son territoire natal du Rakhine, bordé au sud par la baie du Bengale et au nord par des montagnes boisées. L'armée a imposé de son côté un blocus à l'Etat de Rakhine, contribuant à une "augmentation spectaculaire de la faim et de la malnutrition", selon le Programme alimentaire mondial.
Texte intégral (600 mots)
"La situation est terrible", a déclaré Wai Hun Aung, évoquant une frappe mercredi soir d'un avion militaire contre l'hôpital général de la ville de Mrauk U, dans l'Etat Rakhine, près de la frontière avec le Bangladesh. "Il y a 31 morts et nous pensons qu'il y en aura davantage. Il y a 68 blessés également et il y en aura de plus en plus", a ajouté le travailleur humanitaire. Contacté, un porte-parole de la junte n'a pas répondu dans l'immédiat. Une vingtaine de corps enveloppés dans des couvertures reposent à l'extérieur de l'hôpital. Une aile entière a été détruite par l'explosion, qui a laissé un large cratère au sol et de nombreux gravats sur les lits. Maung Bu Chay, un menuisier local, dit avoir perdu trois de ses proches, sa femme, sa belle-fille et le père de celle-ci. "J'ai entendu l'explosion depuis mon village", raconte cet homme de 61 ans. "J'ai passé toute la nuit sans savoir où les bombes étaient tombées". "Quand j'ai appris qu'ils (ses proches) se trouvaient dans le bâtiment complètement détruit, j'ai compris qu’ils n’avaient pas survécu", poursuit-il. "Je ressens une forte colère et de la défiance dans mon coeur". Armée d'Arakan Selon les observateurs de la guerre civile birmane, la junte a intensifié ses frappes aériennes année après année après avoir pris le pouvoir lors d'un coup d'Etat en 2021, qui a mis fin à une décennie d'expérience démocratique. L'armée a programmé des élections législatives à partir du 28 décembre, les présentant comme une issue possible aux conflit. Mais les rebelles ont promis d'empêcher le scrutin dans les territoires qu'ils contrôlent et que la junte tente de reconquérir. L'Etat de Rakhine est presque entièrement contrôlé par l'Armée d'Arakan (AA), un groupe ethnique armé actif bien avant que l'armée ne renverse le gouvernement civil d'Aung San Suu Kyi. Le groupe a annoncé mercredi soir dans un communiqué que dix patients de l'hôpital avaient été "tués sur le coup" lors de la frappe aérienne aux alentours de 21H00 (14H30 GMT). L'AA est devenue l'un des groupes rebelles les plus puissants dans la guerre civile qui ravage la Birmanie, aux côtés d'autres combattants issus de minorités ethniques et de partisans pro-démocratie ayant pris les armes après le coup d'Etat de 2021. Les rebelles, dispersés, ont d'abord eu du mal à progresser avant que trois groupes ne lancent une offensive conjointe en 2023, mettant l'armée en difficulté et la poussant à renforcer ses troupes par la conscription. Faim L'AA a joué un rôle clé dans cette "Alliance des trois frères", mais ses deux factions alliées ont accepté cette année des trêves négociées par la Chine, la laissant seule à combattre. Alors que les élections organisées par la junte sont vivement critiquées par de nombreux pays et les Nations unies, Pékin estime qu'elles devraient contribuer à "rétablir la stabilité sociale" chez son voisin birman. Même si l'AA s'est révélée être un adversaire redoutable pour la junte, ses ambitions restent largement limitées à son territoire natal du Rakhine, bordé au sud par la baie du Bengale et au nord par des montagnes boisées. L'armée a imposé de son côté un blocus à l'Etat de Rakhine, contribuant à une "augmentation spectaculaire de la faim et de la malnutrition", selon le Programme alimentaire mondial.

11.12.2025 à 05:03

L'interdiction du voile à l'école pour les fillettes au menu des députés autrichiens

FRANCE24
img
En Autriche, un petit pays alpin de neuf millions d'habitants, où le sentiment anti-immigration n'a cessé de croître ces dernières années, en particulier vis-à-vis des populations musulmanes, le gouvernement dirigé par les conservateurs a défendu son projet de loi au nom de la protection des fillettes et des adolescentes, assurant qu'il était cette fois conforme à la Constitution. Une première tentative de bannir le voile à l'école sous l'impulsion d'un gouvernement de coalition conservateurs-extrême droite en 2019 avait été retoquée un an plus tard par la Cour constitutionnelle autrichienne qui l'avait jugée discriminatoire. "Lorsqu'une fillette de huit ou neuf ans est obligée de cacher son corps (...) pour se protéger du regard des hommes, il ne s'agit pas de rituel religieux mais d'oppression", a déclaré la ministre de l'Intégration Claudia Plakolm au moment de la présentation de la loi. L'interdiction, qui s’applique à "toutes les formes" de voile islamique, doit entrer pleinement en vigueur à la rentrée scolaire de septembre, a précisé Mme Plakolm. Mais, dès février, une phase initiale sera lancée, pendant laquelle les nouvelles règles seront expliquées aux éducateurs et aux enfants, sans sanctions en cas d'infraction. En cas de non-respect répété, les parents risquent des amendes allant de 150 à 800 euros Selon le gouvernement, environ 12.000 filles et adolescentes sont concernées par la nouvelle loi. Une évaluation extrapolée d'une étude datant de 2020 d'après laquelle 3.000 enfants de moins de 14 ans portaient le voile. Les organisations de défense des droits dénoncent quant à elle une mesure discriminatoire qui risque de diviser davantage la société autrichienne et d'alimenter le racisme antimusulman. "Isoler davantage" Pour Amnesty International Autriche, elle "constitue une discrimination flagrante à l'encontre des filles musulmanes" et risque d'"alimenter les préjugés et les stéréotypes existants à l'égard des musulmans". L'organisation qui représente officiellement les communautés musulmanes du pays, l'IGGÖ, estime que cette loi va stigmatiser les enfants concernées, "affaiblir la confiance dans l'Etat de droit et met en péril la cohésion sociale". Angelika Atzinger, la directrice de l'association Amazone dans le Vorarlberg (ouest), a pour sa part dénoncé une loi qui risque d'"isoler davantage" les enfants concernées et de leur donner l'impression qu'il est "légitime" de contrôler leur corps, selon un communiqué diffusé par l'organisation antiraciste SOS Mitmensch. Le parti d'extrême droite FPOe, arrivé en tête des législatives en 2024 sans parvenir à former un gouvernement, considère cependant que la loi ne va pas assez loin et réclame que l'interdiction soit étendue aux étudiantes, enseignantes et autres membres du personnel éducatif. La coalition au pouvoir s'est dite convaincue que l'interdiction révisée ne sera pas annulée une seconde fois, faisant valoir que la loi se veut protectrice des droits des enfants, consacrés par la Constitution. Toutefois, l'expert en droit constitutionnel et professeur à l'université de Vienne Heinz Mayer en doute, rappelant la décision rendue en 2020 par la plus haute juridiction autrichienne qui avait conclu qu'en s'attaquant au seul foulard islamique, "c'est une religion qui était discriminée" par rapport aux autres. Elle avait également estimé que "si le voile est un symbole d’oppression", l'interdire à l'école c'est placer les enfants concernées dans "une situation inconfortable" vis-à-vis des personnes qui le leur imposent, a-t-il déclaré à l'AFP. En France, au nom de la laïcité, les autorités ont interdit en 2004 aux élèves de porter "des signes ou tenues" par lesquels ils "manifestent ostensiblement une appartenance religieuse", tels que les voiles, les turbans et les kippas.
Texte intégral (613 mots)
En Autriche, un petit pays alpin de neuf millions d'habitants, où le sentiment anti-immigration n'a cessé de croître ces dernières années, en particulier vis-à-vis des populations musulmanes, le gouvernement dirigé par les conservateurs a défendu son projet de loi au nom de la protection des fillettes et des adolescentes, assurant qu'il était cette fois conforme à la Constitution. Une première tentative de bannir le voile à l'école sous l'impulsion d'un gouvernement de coalition conservateurs-extrême droite en 2019 avait été retoquée un an plus tard par la Cour constitutionnelle autrichienne qui l'avait jugée discriminatoire. "Lorsqu'une fillette de huit ou neuf ans est obligée de cacher son corps (...) pour se protéger du regard des hommes, il ne s'agit pas de rituel religieux mais d'oppression", a déclaré la ministre de l'Intégration Claudia Plakolm au moment de la présentation de la loi. L'interdiction, qui s’applique à "toutes les formes" de voile islamique, doit entrer pleinement en vigueur à la rentrée scolaire de septembre, a précisé Mme Plakolm. Mais, dès février, une phase initiale sera lancée, pendant laquelle les nouvelles règles seront expliquées aux éducateurs et aux enfants, sans sanctions en cas d'infraction. En cas de non-respect répété, les parents risquent des amendes allant de 150 à 800 euros Selon le gouvernement, environ 12.000 filles et adolescentes sont concernées par la nouvelle loi. Une évaluation extrapolée d'une étude datant de 2020 d'après laquelle 3.000 enfants de moins de 14 ans portaient le voile. Les organisations de défense des droits dénoncent quant à elle une mesure discriminatoire qui risque de diviser davantage la société autrichienne et d'alimenter le racisme antimusulman. "Isoler davantage" Pour Amnesty International Autriche, elle "constitue une discrimination flagrante à l'encontre des filles musulmanes" et risque d'"alimenter les préjugés et les stéréotypes existants à l'égard des musulmans". L'organisation qui représente officiellement les communautés musulmanes du pays, l'IGGÖ, estime que cette loi va stigmatiser les enfants concernées, "affaiblir la confiance dans l'Etat de droit et met en péril la cohésion sociale". Angelika Atzinger, la directrice de l'association Amazone dans le Vorarlberg (ouest), a pour sa part dénoncé une loi qui risque d'"isoler davantage" les enfants concernées et de leur donner l'impression qu'il est "légitime" de contrôler leur corps, selon un communiqué diffusé par l'organisation antiraciste SOS Mitmensch. Le parti d'extrême droite FPOe, arrivé en tête des législatives en 2024 sans parvenir à former un gouvernement, considère cependant que la loi ne va pas assez loin et réclame que l'interdiction soit étendue aux étudiantes, enseignantes et autres membres du personnel éducatif. La coalition au pouvoir s'est dite convaincue que l'interdiction révisée ne sera pas annulée une seconde fois, faisant valoir que la loi se veut protectrice des droits des enfants, consacrés par la Constitution. Toutefois, l'expert en droit constitutionnel et professeur à l'université de Vienne Heinz Mayer en doute, rappelant la décision rendue en 2020 par la plus haute juridiction autrichienne qui avait conclu qu'en s'attaquant au seul foulard islamique, "c'est une religion qui était discriminée" par rapport aux autres. Elle avait également estimé que "si le voile est un symbole d’oppression", l'interdire à l'école c'est placer les enfants concernées dans "une situation inconfortable" vis-à-vis des personnes qui le leur imposent, a-t-il déclaré à l'AFP. En France, au nom de la laïcité, les autorités ont interdit en 2004 aux élèves de porter "des signes ou tenues" par lesquels ils "manifestent ostensiblement une appartenance religieuse", tels que les voiles, les turbans et les kippas.

11.12.2025 à 04:53

Affrontements Thaïlande-Cambodge : Trump va appeler les dirigeants des deux pays

FRANCE 24
img
Les combats frontaliers entre la Thaïlande et le Cambodge se poursuivent jeudi avant un appel attendu de Donald Trump aux dirigeants des deux pays pour leur demander de cesser les hostilités, qui ont fait au moins 19 morts.
Texte intégral (613 mots)
Les combats frontaliers entre la Thaïlande et le Cambodge se poursuivent jeudi avant un appel attendu de Donald Trump aux dirigeants des deux pays pour leur demander de cesser les hostilités, qui ont fait au moins 19 morts.
10 / 15

 

  GÉNÉRALISTES
Alternatives Eco.✝
L'Autre Quotidien
Le Canard Enchaîné
La Croix
Le Figaro
France 24
France-Culture
FTVI
HuffPost
L'Humanité
LCP / Public Senat
Le Media
La Tribune
 
  EUROPE ‧ RUSSIE
Courrier Europe Centrale
Desk-Russie
Euractiv
Euronews
Toute l'Europe
 
  Afrique du Nord ‧ Proche-Orient
Haaretz
Info Asie
Inkyfada
Jeune Afrique
Kurdistan au féminin
L'Orient - Le Jour
Orient XXI
Rojava I.C
 
  INTERNATIONAL
CADTM
Courrier International
Equaltimes
Global Voices
I.R.I.S
The New-York Times
 
  OSINT ‧ INVESTIGATION
OFF Investigation
OpenFacto°
Bellingcat
Disclose
Global.Inv.Journalism
 
  MÉDIAS D'OPINION
Au Poste
Cause Commune
CrimethInc.
Hors-Serie
L'Insoumission
Là-bas si j'y suis
Les Jours
LVSL
Politis
Quartier Général
Rapports de force
Reflets
Reseau Bastille
StreetPress
 
  OBSERVATOIRES
Armements
Acrimed
Catastrophes naturelles
Conspis
Culture
Curation IA
Extrême-droite
Human Rights Watch
Inégalités
Information
Internet actu ✝
Justice fiscale
Liberté de création
Multinationales
Situationnisme
Sondages
Street-Médics
Routes de la Soie
🌞