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09.05.2025 à 11:26

Élection de Léon XIV : dans la continuité du pape François ?

FRANCE24
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Successeur du pape François, Léon XIV a été élu le 8 mai 2025. Ancien missionnaire au Pérou, proche des plus vulnérables, il incarne une Église tournée vers le dialogue, la justice sociale et la paix. À peine élu, une question émerge : poursuivra-t-il l’héritage de son prédécesseur ou imprimera-t-il sa propre marque ?
Successeur du pape François, Léon XIV a été élu le 8 mai 2025. Ancien missionnaire au Pérou, proche des plus vulnérables, il incarne une Église tournée vers le dialogue, la justice sociale et la paix. À peine élu, une question émerge : poursuivra-t-il l’héritage de son prédécesseur ou imprimera-t-il sa propre marque ?

09.05.2025 à 11:11

Panasonic supprime 10.000 emplois pour se renforcer face à une conjoncture incertaine

FRANCE24
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L'entreprise va "optimiser ses effectifs à l'échelle mondiale", une opération "ciblant 10.000 employés (5.000 au Japon, et 5.000 à l'étranger) dans les entreprises consolidées", "principalement" sur l'exercice décalé 2025-26 entamé début avril, a-t-elle indiqué. Panasonic comptait fin mars quelque 228.400 employés. Ces suppressions d'emplois seront mises en oeuvre "conformément aux lois, règles et réglementations du travail de chaque pays et région", précise-t-il dans un communiqué. Dans le cadre de sa restructuration, le groupe "examinera en profondeur l'efficacité opérationnelle" de chaque branche et filiale, "réévaluera le nombre d'organisations et d'effectifs nécessaires", et "encouragera la cessation d'activités déficitaires sans perspective d'amélioration des bénéfices, ainsi que l'intégration et la fermeture de sites". Pionnier dans le domaine des appareils électroniques, des cuiseurs à riz aux magnétoscopes, le groupe nippon est devenu un géant mondial des appareils ménagers dans la seconde moitié du XXe siècle. Il étend aujourd'hui ses activités au secteur de l'énergie et aux batteries automobiles (c'est le fournisseur de l'américain Tesla), un créneau où il se renforce vigoureusement à coups d'importants investissements. Son horizon économique reste cependant complexe: sur l'exercice décalé 2024-2025 achevé fin mars, Panasonic reconnaît avoir dû affronter "un ralentissement progressif de l'économie mondiale". Face à une reprise poussive en Europe et au Japon, la Chine, un marché essentiel, voyait son économie "souffrir d'une faiblesse persistante, principalement en raison de l'essoufflement du marché immobilier". Panasonic a vu son chiffre d'affaires reculer en 2024-25 de 0,5% sur un an, à 8.458 milliards de yens (51,7 milliards d'euros), tandis que son bénéfice net fondait de 17,5% à 366 milliards de yens, le groupe expliquant ces contre-performances notamment par la liquidation de sa branche écrans à cristaux. Dans un entretien au journal Nikkei le mois dernier, le PDG de Panasonic, Yuki Kusumi, avait jugé des réductions d'effectifs nécessaires pour appliquer les réformes destinées à accroître l'efficacité et la rentabilité du groupe. "Pour rester compétitifs nous n'aurons d'autres choix que d'optimiser nos effectifs", avait-il commenté, faisant état de "jugements sévères" de la part d'investisseurs institutionnels suite à l'échec de restructurations engagées dans le passé. Panasonic supprime des emplois quand il est déficitaire, mais les augmente progressivement quand la rentabilité revient, avait-il assuré. -"Essoufflement de la demande"- Grâce à ces nouveaux efforts de restructuration, Panasonic entend améliorer son bénéfice d'au moins 150 milliards de yens (918 millions d'euros), dont 70 milliards via "l'optimisation de ses effectifs". Mais dans l'immédiat, la réforme s'annonce douloureuse: le bénéfice d'exploitation devrait se contracter de 13% en 2025-26 et le bénéfice net devrait plonger de 15%, notamment en raison du coût des restructurations, estimé à 130 milliards de yens (800 millions d'euros). Panasonic mise par ailleurs sur une nouvelle chute de 7,8% du chiffre d'affaires sur l'exercice 2025-2026. Son horizon ne s'éclaircit guère, à l'heure de l'offensive douanière lancée par le président américain Donald Trump qui bouleverse les chaînes de production du secteur électronique à travers l'Asie et cible fortement l'industrie automobile. "L'impact des droits de douane", objet de négociations en cours, "n'est pas pris en compte dans ces prévisions, le groupe continuant de surveiller la situation et s'efforçant de minimiser ses conséquences", précise le communiqué. Plus que jamais, Panasonic entend accélérer sur le secteur des batteries automobiles, qualifié de "domaine d'investissement prioritaire", mais il reconnaît "surveiller de près la demande, dans un contexte de changements continus de l'environnement commercial" avec "l'essoufflement de la demande de véhicules électriques".
Texte intégral (605 mots)
L'entreprise va "optimiser ses effectifs à l'échelle mondiale", une opération "ciblant 10.000 employés (5.000 au Japon, et 5.000 à l'étranger) dans les entreprises consolidées", "principalement" sur l'exercice décalé 2025-26 entamé début avril, a-t-elle indiqué. Panasonic comptait fin mars quelque 228.400 employés. Ces suppressions d'emplois seront mises en oeuvre "conformément aux lois, règles et réglementations du travail de chaque pays et région", précise-t-il dans un communiqué. Dans le cadre de sa restructuration, le groupe "examinera en profondeur l'efficacité opérationnelle" de chaque branche et filiale, "réévaluera le nombre d'organisations et d'effectifs nécessaires", et "encouragera la cessation d'activités déficitaires sans perspective d'amélioration des bénéfices, ainsi que l'intégration et la fermeture de sites". Pionnier dans le domaine des appareils électroniques, des cuiseurs à riz aux magnétoscopes, le groupe nippon est devenu un géant mondial des appareils ménagers dans la seconde moitié du XXe siècle. Il étend aujourd'hui ses activités au secteur de l'énergie et aux batteries automobiles (c'est le fournisseur de l'américain Tesla), un créneau où il se renforce vigoureusement à coups d'importants investissements. Son horizon économique reste cependant complexe: sur l'exercice décalé 2024-2025 achevé fin mars, Panasonic reconnaît avoir dû affronter "un ralentissement progressif de l'économie mondiale". Face à une reprise poussive en Europe et au Japon, la Chine, un marché essentiel, voyait son économie "souffrir d'une faiblesse persistante, principalement en raison de l'essoufflement du marché immobilier". Panasonic a vu son chiffre d'affaires reculer en 2024-25 de 0,5% sur un an, à 8.458 milliards de yens (51,7 milliards d'euros), tandis que son bénéfice net fondait de 17,5% à 366 milliards de yens, le groupe expliquant ces contre-performances notamment par la liquidation de sa branche écrans à cristaux. Dans un entretien au journal Nikkei le mois dernier, le PDG de Panasonic, Yuki Kusumi, avait jugé des réductions d'effectifs nécessaires pour appliquer les réformes destinées à accroître l'efficacité et la rentabilité du groupe. "Pour rester compétitifs nous n'aurons d'autres choix que d'optimiser nos effectifs", avait-il commenté, faisant état de "jugements sévères" de la part d'investisseurs institutionnels suite à l'échec de restructurations engagées dans le passé. Panasonic supprime des emplois quand il est déficitaire, mais les augmente progressivement quand la rentabilité revient, avait-il assuré. -"Essoufflement de la demande"- Grâce à ces nouveaux efforts de restructuration, Panasonic entend améliorer son bénéfice d'au moins 150 milliards de yens (918 millions d'euros), dont 70 milliards via "l'optimisation de ses effectifs". Mais dans l'immédiat, la réforme s'annonce douloureuse: le bénéfice d'exploitation devrait se contracter de 13% en 2025-26 et le bénéfice net devrait plonger de 15%, notamment en raison du coût des restructurations, estimé à 130 milliards de yens (800 millions d'euros). Panasonic mise par ailleurs sur une nouvelle chute de 7,8% du chiffre d'affaires sur l'exercice 2025-2026. Son horizon ne s'éclaircit guère, à l'heure de l'offensive douanière lancée par le président américain Donald Trump qui bouleverse les chaînes de production du secteur électronique à travers l'Asie et cible fortement l'industrie automobile. "L'impact des droits de douane", objet de négociations en cours, "n'est pas pris en compte dans ces prévisions, le groupe continuant de surveiller la situation et s'efforçant de minimiser ses conséquences", précise le communiqué. Plus que jamais, Panasonic entend accélérer sur le secteur des batteries automobiles, qualifié de "domaine d'investissement prioritaire", mais il reconnaît "surveiller de près la demande, dans un contexte de changements continus de l'environnement commercial" avec "l'essoufflement de la demande de véhicules électriques".

09.05.2025 à 11:09

🔴 En direct - Léon XIV : suivez la première messe du nouveau pape dans la chapelle Sixtine

FRANCE24
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Texte intégral (605 mots)

09.05.2025 à 10:59

Athlétisme: Akani Simbine, l'année de la médaille pour le sprinteur "roi du sub-10" ?

FRANCE24
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Le 12 avril, depuis Gaborone au Botswana, Akani Simbine a battu dans l'indifférence quasi-générale un record de la légende Usain Bolt. Il est devenu le premier athlète à courir sous les dix secondes aux 100 mètres pendant onze saisons consécutives (2015-2025), en bouclant sa première ligne droite de l'été en 9 sec 90, actuelle meilleure performance mondiale de l'année. Mais si certains le surnomment depuis le nouveau "roi du Sub-10", d'autres continuent de le qualifier d'athlète "presque", souvent tout près du podium mais quasiment jamais sur la boîte en grands championnats. Deux fois quatrième (2021, 2023) et une fois cinquième (2016) aux JO, une fois quatrième (2019) et deux fois cinquième (2017, 2022) aux Mondiaux, Akani Simbine rate rarement les finales du 100 mètres mais n'a encore jamais réussi à décrocher le moindre podium dans sa discipline de prédilection. "Cerise sur le gâteau" Pour autant, "je ne me vois pas comme un athlète +presque+", balaye en souriant Simbine, lors d'un point presse organisé mardi avec des journalistes, en amont des relais mondiaux samedi et dimanche à Canton (Chine). "Je me vois comme un athlète qui n'a jamais cessé de vouloir performer et de vouloir être le meilleur." "Bien sûr, une médaille serait la cerise sur le gâteau, ajoute le sprinteur le plus expérimenté du circuit. Mais j'ai changé de mentalité par rapport à ça. Je veux être heureux en tant qu'athlète, sans que mes performances sur la piste ne définissent toute ma carrière. Je sais ce que j'ai accompli, je fais partie de l'élite du sprint et je n'ai pas besoin d'une médaille pour me le prouver." N'empêche, Akani Simbine espère bien mettre fin à la disette et le vice-champion olympique du 4x100 mètres l'affirme, il "veut monter sur le podium" de la course reine lors des Mondiaux d'athlétisme à Tokyo en septembre. La saison est encore longue mais il peut déjà s'appuyer sur ses excellentes performances du printemps. Médaillé de bronze mondial sur 60 mètres cet hiver, il a couru trois 100 mètres depuis mi-avril, tous sous les dix secondes. "Faire la saison en salle m'a aidé", se réjouit Simbine, qui reste lucide : "je cours bien en ce moment mais l'idée, c'est d'être le plus rapide en septembre." Petite satisfaction du début de saison, il a mis à l'amende la semaine dernière des grands noms du circuit lors du meeting de Shanghai, où il s'est imposé devant son grand rival d'Afrique australe, le champion olympique du 200 m botswanais Letsile Tebogo, et le vice-champion olympique jamaïcain du 100 m Kishane Thompson. "Sprint africain" "C'est sûr, il y a une rivalité particulière entre Letsile (Tebogo) et moi, c'est amical mais sur la piste, on veut battre l'autre", raconte Akani Simbine, qui vante les qualités du Botswanais de dix ans son cadet. "C'est encore un gamin (21 ans) mais je sais qu'il va faire de belles choses", assure-t-il. Avec Simbine, Tebogo et "sans oublier (le Kenyan) Ferdinand Omanyala", "c'est toute l'histoire du sprint africain qui se joue et je trouve ça génial", affirme Simbine. "On a toujours été vu comme un continent de coureurs de fond et là, on commence à nous remarquer aussi comme un continent de sprinteurs." Et tant qu'il continue de battre les jeunes, pas question pour Simbine de se freiner en raison de son âge, lui qui se projette déjà - "bien sûr !" - aux Jeux de Los Angeles en 2028. "Bon, ce seront peut-être mes derniers JO... On verra... Si le corps le permet, je resterai car j'adore ce sport. J'adore courir, j'adore voyager, j'adore pousser mon corps pour être rapide. Je trouve ça trop fun."
Texte intégral (631 mots)
Le 12 avril, depuis Gaborone au Botswana, Akani Simbine a battu dans l'indifférence quasi-générale un record de la légende Usain Bolt. Il est devenu le premier athlète à courir sous les dix secondes aux 100 mètres pendant onze saisons consécutives (2015-2025), en bouclant sa première ligne droite de l'été en 9 sec 90, actuelle meilleure performance mondiale de l'année. Mais si certains le surnomment depuis le nouveau "roi du Sub-10", d'autres continuent de le qualifier d'athlète "presque", souvent tout près du podium mais quasiment jamais sur la boîte en grands championnats. Deux fois quatrième (2021, 2023) et une fois cinquième (2016) aux JO, une fois quatrième (2019) et deux fois cinquième (2017, 2022) aux Mondiaux, Akani Simbine rate rarement les finales du 100 mètres mais n'a encore jamais réussi à décrocher le moindre podium dans sa discipline de prédilection. "Cerise sur le gâteau" Pour autant, "je ne me vois pas comme un athlète +presque+", balaye en souriant Simbine, lors d'un point presse organisé mardi avec des journalistes, en amont des relais mondiaux samedi et dimanche à Canton (Chine). "Je me vois comme un athlète qui n'a jamais cessé de vouloir performer et de vouloir être le meilleur." "Bien sûr, une médaille serait la cerise sur le gâteau, ajoute le sprinteur le plus expérimenté du circuit. Mais j'ai changé de mentalité par rapport à ça. Je veux être heureux en tant qu'athlète, sans que mes performances sur la piste ne définissent toute ma carrière. Je sais ce que j'ai accompli, je fais partie de l'élite du sprint et je n'ai pas besoin d'une médaille pour me le prouver." N'empêche, Akani Simbine espère bien mettre fin à la disette et le vice-champion olympique du 4x100 mètres l'affirme, il "veut monter sur le podium" de la course reine lors des Mondiaux d'athlétisme à Tokyo en septembre. La saison est encore longue mais il peut déjà s'appuyer sur ses excellentes performances du printemps. Médaillé de bronze mondial sur 60 mètres cet hiver, il a couru trois 100 mètres depuis mi-avril, tous sous les dix secondes. "Faire la saison en salle m'a aidé", se réjouit Simbine, qui reste lucide : "je cours bien en ce moment mais l'idée, c'est d'être le plus rapide en septembre." Petite satisfaction du début de saison, il a mis à l'amende la semaine dernière des grands noms du circuit lors du meeting de Shanghai, où il s'est imposé devant son grand rival d'Afrique australe, le champion olympique du 200 m botswanais Letsile Tebogo, et le vice-champion olympique jamaïcain du 100 m Kishane Thompson. "Sprint africain" "C'est sûr, il y a une rivalité particulière entre Letsile (Tebogo) et moi, c'est amical mais sur la piste, on veut battre l'autre", raconte Akani Simbine, qui vante les qualités du Botswanais de dix ans son cadet. "C'est encore un gamin (21 ans) mais je sais qu'il va faire de belles choses", assure-t-il. Avec Simbine, Tebogo et "sans oublier (le Kenyan) Ferdinand Omanyala", "c'est toute l'histoire du sprint africain qui se joue et je trouve ça génial", affirme Simbine. "On a toujours été vu comme un continent de coureurs de fond et là, on commence à nous remarquer aussi comme un continent de sprinteurs." Et tant qu'il continue de battre les jeunes, pas question pour Simbine de se freiner en raison de son âge, lui qui se projette déjà - "bien sûr !" - aux Jeux de Los Angeles en 2028. "Bon, ce seront peut-être mes derniers JO... On verra... Si le corps le permet, je resterai car j'adore ce sport. J'adore courir, j'adore voyager, j'adore pousser mon corps pour être rapide. Je trouve ça trop fun."

09.05.2025 à 10:47

Léon XIV : le Pérou réagit à l’élection du nouveau pape

FRANCE24
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L’annonce de l’élection de Léon XIV, ancien évêque de Chiclayo, a suscité une vague d’émotion et de fierté au Pérou.
Texte intégral (631 mots)
L’annonce de l’élection de Léon XIV, ancien évêque de Chiclayo, a suscité une vague d’émotion et de fierté au Pérou.
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