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28.12.2025 à 06:00

Gabon - Mozambique en direct : les Panthères veulent se relancer dans la CAN 2025

RFI
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Les Panthères du Gabon affrontent les Mambas du Mozambique, dimanche à 13 h 30 (heure de Paris), au Grand Stade d'Agadir dans le cadre de la deuxième journée de la CAN 2025. Après une défaite face au Cameroun, les Gabonais doivent s'imposer pour survivre au "groupe de la mort". Un match à suivre en direct grâce au live animé par nos confrères de RFI.
Les Panthères du Gabon affrontent les Mambas du Mozambique, dimanche à 13 h 30 (heure de Paris), au Grand Stade d'Agadir dans le cadre de la deuxième journée de la CAN 2025. Après une défaite face au Cameroun, les Gabonais doivent s'imposer pour survivre au "groupe de la mort". Un match à suivre en direct grâce au live animé par nos confrères de RFI.

28.12.2025 à 04:37

Zelensky en Floride pour plaider la cause de l'Ukraine auprès de Trump

FRANCE24
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Le chef d'Etat ukrainien, qui arrive avec ses dernières propositions sur la difficile question des territoires, n'aura "rien tant que je ne donne pas mon accord", avait déclaré le président américain au site internet Politico vendredi, plantant le décor. Donald Trump s'était néanmoins montré confiant. "Je pense que ça se passera bien avec lui. Je pense que ça se passera bien avec (le président russe Vladimir) Poutine", avec lequel il prévoit de s'entretenir "bientôt." Son homologue ukrainien a lui espéré, samedi lors d'une escale au Canada, que la rencontre soit "très constructive", et s'est entretenu au préalable avec ses alliés européens. Ces derniers l'ont assuré de leur "plein soutien", selon le chancelier allemand Friedrich Merz. Au Canada, M. Zelensky a obtenu une nouvelle aide économique de 2,5 milliards de dollars canadiens (1,5 milliard d'euros) de son homologue Mark Carney. Donald Trump recevra Volodymyr Zelensky à 13H00 (18H00 GMT) à Mar-a-Lago. Cette résidence privée de Palm Beach, où le républicain de 79 ans passe les fêtes, est devenue une sorte d'annexe de la Maison Blanche. Il doit y recevoir lundi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. "Tout le monde vient", s'était réjoui vendredi le maître des lieux, toujours cité par Politico. Nouvelle mouture La dernière rencontre entre les dirigeants américain et ukrainien en octobre, quand Volodymyr Zelensky avait demandé en vain des missiles Tomahawks, n'avait pas été particulièrement chaleureuse. Le sommet en Floride suit de peu la présentation par le président ukrainien d'une nouvelle version du plan américain visant à mettre fin à la guerre, remanié après des pourparlers avec l'Ukraine, au grand dam de Moscou. Après une première version qui reprenait de nombreuses revendications russes, le Kremlin juge qu'avec cette dernière mouture Kiev cherche à "torpiller" les pourparlers. A la veille de cette rencontre en Floride, Moscou a envoyé des centaines de drones et des dizaines de missiles bombarder Kiev et sa région, tuant deux personnes et laissant plus d'un million de foyers sans électricité. Une attaque qui illustre "la réponse de la Russie à nos efforts de paix", a estimé samedi Volodymyr Zelensky. Donald Trump ne cache plus son agacement face à l'étirement des négociations. Il "est extrêmement frustré par les deux camps", avait déclaré le 11 décembre sa porte-parole Karoline Leavitt. Donbass Le 19 décembre, le dirigeant américain avait pressé l'Ukraine de "bouger". Volodymyr Zelensky le convaincra-t-il d'adresser le même genre de message à Moscou, alors que la dernière version du plan paraît inacceptable pour les Russes? Le document en 20 points propose de geler les positions sur le front sans répondre à la demande russe d'un retrait des forces ukrainiennes des quelque 20% de la région orientale de Donetsk qu'elles contrôlent encore. Et le nouveau texte ne comprend plus aucune obligation juridique de non-adhésion à l'Otan pour l'Ukraine, une autre requête capitale du Kremlin. Outre le sort du Donbass, cette région de l'est de l'Ukraine que Moscou revendique, et celui de la centrale nucléaire de Zaporijjia occupée par les soldats russes, dans le sud, les deux dirigeants devraient évoquer les garanties de sécurité que les Occidentaux pourraient fournir dans le cadre d'un éventuel accord de paix. Ces "garanties de sécurité doivent arriver en même temps que la fin de la guerre," a insisté Volodymyr Zelensky samedi. Le président américain a récemment laissé entendre que selon lui, l'Ukraine avait tout intérêt à figer le plus vite possible la ligne de front face à de futures avancées russes, qu'il juge inévitables. "La Russie a l'avantage. Et elle l'a toujours eu", a-t-il lancé le 8 décembre. Mais la paix devra préserver la "souveraineté" et "l'intégrité territoriale" de l'Ukraine a souligné samedi la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, après un entretien téléphonique avec M. Zelensky. Dans une interview à l'agence Tass publiée tôt dimanche, le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a estimé que "l'Union européenne est devenue le principal obstacle à la paix". Sur le terrain, l'administration militaire ukrainienne a fait état d'une "attaque russe massive au lance-roquettes multiple" dans la nuit sur la ville de Kherson, affirmant que infrastructures et des zones résidentielles étaient en feu.
Texte intégral (737 mots)
Le chef d'Etat ukrainien, qui arrive avec ses dernières propositions sur la difficile question des territoires, n'aura "rien tant que je ne donne pas mon accord", avait déclaré le président américain au site internet Politico vendredi, plantant le décor. Donald Trump s'était néanmoins montré confiant. "Je pense que ça se passera bien avec lui. Je pense que ça se passera bien avec (le président russe Vladimir) Poutine", avec lequel il prévoit de s'entretenir "bientôt." Son homologue ukrainien a lui espéré, samedi lors d'une escale au Canada, que la rencontre soit "très constructive", et s'est entretenu au préalable avec ses alliés européens. Ces derniers l'ont assuré de leur "plein soutien", selon le chancelier allemand Friedrich Merz. Au Canada, M. Zelensky a obtenu une nouvelle aide économique de 2,5 milliards de dollars canadiens (1,5 milliard d'euros) de son homologue Mark Carney. Donald Trump recevra Volodymyr Zelensky à 13H00 (18H00 GMT) à Mar-a-Lago. Cette résidence privée de Palm Beach, où le républicain de 79 ans passe les fêtes, est devenue une sorte d'annexe de la Maison Blanche. Il doit y recevoir lundi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. "Tout le monde vient", s'était réjoui vendredi le maître des lieux, toujours cité par Politico. Nouvelle mouture La dernière rencontre entre les dirigeants américain et ukrainien en octobre, quand Volodymyr Zelensky avait demandé en vain des missiles Tomahawks, n'avait pas été particulièrement chaleureuse. Le sommet en Floride suit de peu la présentation par le président ukrainien d'une nouvelle version du plan américain visant à mettre fin à la guerre, remanié après des pourparlers avec l'Ukraine, au grand dam de Moscou. Après une première version qui reprenait de nombreuses revendications russes, le Kremlin juge qu'avec cette dernière mouture Kiev cherche à "torpiller" les pourparlers. A la veille de cette rencontre en Floride, Moscou a envoyé des centaines de drones et des dizaines de missiles bombarder Kiev et sa région, tuant deux personnes et laissant plus d'un million de foyers sans électricité. Une attaque qui illustre "la réponse de la Russie à nos efforts de paix", a estimé samedi Volodymyr Zelensky. Donald Trump ne cache plus son agacement face à l'étirement des négociations. Il "est extrêmement frustré par les deux camps", avait déclaré le 11 décembre sa porte-parole Karoline Leavitt. Donbass Le 19 décembre, le dirigeant américain avait pressé l'Ukraine de "bouger". Volodymyr Zelensky le convaincra-t-il d'adresser le même genre de message à Moscou, alors que la dernière version du plan paraît inacceptable pour les Russes? Le document en 20 points propose de geler les positions sur le front sans répondre à la demande russe d'un retrait des forces ukrainiennes des quelque 20% de la région orientale de Donetsk qu'elles contrôlent encore. Et le nouveau texte ne comprend plus aucune obligation juridique de non-adhésion à l'Otan pour l'Ukraine, une autre requête capitale du Kremlin. Outre le sort du Donbass, cette région de l'est de l'Ukraine que Moscou revendique, et celui de la centrale nucléaire de Zaporijjia occupée par les soldats russes, dans le sud, les deux dirigeants devraient évoquer les garanties de sécurité que les Occidentaux pourraient fournir dans le cadre d'un éventuel accord de paix. Ces "garanties de sécurité doivent arriver en même temps que la fin de la guerre," a insisté Volodymyr Zelensky samedi. Le président américain a récemment laissé entendre que selon lui, l'Ukraine avait tout intérêt à figer le plus vite possible la ligne de front face à de futures avancées russes, qu'il juge inévitables. "La Russie a l'avantage. Et elle l'a toujours eu", a-t-il lancé le 8 décembre. Mais la paix devra préserver la "souveraineté" et "l'intégrité territoriale" de l'Ukraine a souligné samedi la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, après un entretien téléphonique avec M. Zelensky. Dans une interview à l'agence Tass publiée tôt dimanche, le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a estimé que "l'Union européenne est devenue le principal obstacle à la paix". Sur le terrain, l'administration militaire ukrainienne a fait état d'une "attaque russe massive au lance-roquettes multiple" dans la nuit sur la ville de Kherson, affirmant que infrastructures et des zones résidentielles étaient en feu.

28.12.2025 à 04:19

Le Kosovo vote pour tenter de sortir d'un an de blocage politique

FRANCE24
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Avec un peu plus de 42% des voix, Vetevendosje (VV), le parti du Premier ministre sortant Albin Kurti, est arrivé en tête du précédent scrutin législatif, le 9 février 2025. Mais sans assez de sièges sur les 120 du parlement pour former seul une majorité. Dans une chambre divisée, les députés ont eu besoin de plus de 50 séances pour se mettre d'accord sur un président du Parlement, et jamais aucune coalition n'a réussi à être formée, ni aucun gouvernement élu par le parlement, comme le prévoit la constitution. Il a donc fallu se résoudre à des élections anticipées. Faisant figure de favori, M. Kurti espère, après une campagne express de deux semaines, "gagner largement" et "dépasser les 50%", a-t-il déclaré à l'AFP lors d'un entretien à Pristina mardi. Alors qu'il avait fait campagne en février en promettant de gouverner le Kosovo "d'un bout à l'autre", c'est-à-dire même dans les territoires habités majoritairement par des Serbes où l'influence de Belgrade est bien plus palpable que celle de Pristina, M. Kurti a surtout parlé d'économie ces dernières semaines. "Au-delà des polémiques, l'économie se porte très bien et nous allons, cette année encore enregistrer une croissance de 4% du PIB. Tout au long de mon mandat, nous ne sommes jamais descendus en dessous de 4%", a-t-il expliqué à l'AFP. Ces derniers jours, il a également annoncé que le gouvernement verserait 100 euros aux retraités et à chaque famille avec des enfants en bas âge d'ici la fin de l'année. De la "corruption électorale", ont attaqué les deux autres principaux parti, le Parti démocratique du Kosovo (PDK) et la Ligue démocratique du Kosovo (LDK). Eux aussi ont fait campagne sur l'économie et les catégories sociales les plus fragiles - mais en s'en prenant au bilan du gouvernement sortant. "Le Kosovo a été mal gouverné. Les prix ont augmenté de 40 à 50%, l’électricité est devenue plus chère, tandis que les salaires et les retraites sont restés presque inchangés. Cela changera avec le gouvernement du PDK", a promis le leader du PDK, Bedri Hamza. "Les projets de développement sont restés lettre morte à cause de mauvais choix politiques", et "l'inflation a grignoté les revenus", a fustigé en écho Lumir Abdixhiku, candidat du LDK. Qui a aussi attaqué le bilan diplomatique de M. Kurti - dont la politique de fermeté envers la minorité serbe a été critiquée par plusieurs alliés, dont les Etats-Unis. "Nous avons perdu des alliés, nous avons perdu la confiance de la communauté internationale, les institutions ont été bloquées", a accusé M. Abdixhiku. Au total, plus de deux millions d'électeurs sont appelés à voter - dont plusieurs dizaines de milliers inscrits à l'étranger. En février 2025, seuls 40,59% des électeurs s'étaient rendus aux urnes. Outre les trois grands partis, les électeurs doivent aussi se décider pour les 20 sièges réservés aux minorités - 10 pour la minorité serbe, 4 pour les Roms, Ashkalis et Egyptiens des Balkans, 3 pour les Bosniaques, 2 pour les Turcs et 1 pour les Gorans.
Texte intégral (526 mots)
Avec un peu plus de 42% des voix, Vetevendosje (VV), le parti du Premier ministre sortant Albin Kurti, est arrivé en tête du précédent scrutin législatif, le 9 février 2025. Mais sans assez de sièges sur les 120 du parlement pour former seul une majorité. Dans une chambre divisée, les députés ont eu besoin de plus de 50 séances pour se mettre d'accord sur un président du Parlement, et jamais aucune coalition n'a réussi à être formée, ni aucun gouvernement élu par le parlement, comme le prévoit la constitution. Il a donc fallu se résoudre à des élections anticipées. Faisant figure de favori, M. Kurti espère, après une campagne express de deux semaines, "gagner largement" et "dépasser les 50%", a-t-il déclaré à l'AFP lors d'un entretien à Pristina mardi. Alors qu'il avait fait campagne en février en promettant de gouverner le Kosovo "d'un bout à l'autre", c'est-à-dire même dans les territoires habités majoritairement par des Serbes où l'influence de Belgrade est bien plus palpable que celle de Pristina, M. Kurti a surtout parlé d'économie ces dernières semaines. "Au-delà des polémiques, l'économie se porte très bien et nous allons, cette année encore enregistrer une croissance de 4% du PIB. Tout au long de mon mandat, nous ne sommes jamais descendus en dessous de 4%", a-t-il expliqué à l'AFP. Ces derniers jours, il a également annoncé que le gouvernement verserait 100 euros aux retraités et à chaque famille avec des enfants en bas âge d'ici la fin de l'année. De la "corruption électorale", ont attaqué les deux autres principaux parti, le Parti démocratique du Kosovo (PDK) et la Ligue démocratique du Kosovo (LDK). Eux aussi ont fait campagne sur l'économie et les catégories sociales les plus fragiles - mais en s'en prenant au bilan du gouvernement sortant. "Le Kosovo a été mal gouverné. Les prix ont augmenté de 40 à 50%, l’électricité est devenue plus chère, tandis que les salaires et les retraites sont restés presque inchangés. Cela changera avec le gouvernement du PDK", a promis le leader du PDK, Bedri Hamza. "Les projets de développement sont restés lettre morte à cause de mauvais choix politiques", et "l'inflation a grignoté les revenus", a fustigé en écho Lumir Abdixhiku, candidat du LDK. Qui a aussi attaqué le bilan diplomatique de M. Kurti - dont la politique de fermeté envers la minorité serbe a été critiquée par plusieurs alliés, dont les Etats-Unis. "Nous avons perdu des alliés, nous avons perdu la confiance de la communauté internationale, les institutions ont été bloquées", a accusé M. Abdixhiku. Au total, plus de deux millions d'électeurs sont appelés à voter - dont plusieurs dizaines de milliers inscrits à l'étranger. En février 2025, seuls 40,59% des électeurs s'étaient rendus aux urnes. Outre les trois grands partis, les électeurs doivent aussi se décider pour les 20 sièges réservés aux minorités - 10 pour la minorité serbe, 4 pour les Roms, Ashkalis et Egyptiens des Balkans, 3 pour les Bosniaques, 2 pour les Turcs et 1 pour les Gorans.

28.12.2025 à 01:31

Birmanie : début des élections législatives organisées par la junte après cinq ans de guerre civile

FRANCE 24
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La Birmanie tient dimanche des élections législatives à l'initiative de la junte au pouvoir. L'élection est "libre et équitable", a déclaré Min Aung Hlaing, le chef de la junte, près de cinq ans après avoir renversé le gouvernement et déclenché une guerre civile. Des élections contestées à l'international, notamment par l'ONU.
Texte intégral (526 mots)
La Birmanie tient dimanche des élections législatives à l'initiative de la junte au pouvoir. L'élection est "libre et équitable", a déclaré Min Aung Hlaing, le chef de la junte, près de cinq ans après avoir renversé le gouvernement et déclenché une guerre civile. Des élections contestées à l'international, notamment par l'ONU.

27.12.2025 à 23:45

CAN 2025 : Après l'Egypte, le Nigeria se qualifie en 8èmes

Sérine BEY
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Match intense entre le Nigeria et la Tunisie. Les Super Eagles sont venus à bout des Aigles de Carthage et se qualifient en 8èmes de finale. Dans ce même groupe C, la Tanzanie et l'Ouganda ont fait match nul 1-1. Le Sénégal a lui buté sur la République démocratique du Congo, 1-1. Le Bénin retrouve des couleurs après sa victoire face au Botswana, 1-0. 
Texte intégral (526 mots)
Match intense entre le Nigeria et la Tunisie. Les Super Eagles sont venus à bout des Aigles de Carthage et se qualifient en 8èmes de finale. Dans ce même groupe C, la Tanzanie et l'Ouganda ont fait match nul 1-1. Le Sénégal a lui buté sur la République démocratique du Congo, 1-1. Le Bénin retrouve des couleurs après sa victoire face au Botswana, 1-0. 
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