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26.04.2024 à 01:13

Aya Nakamura et Gazo sacrés aux Flammes, les trophées du rap

FRANCE 24

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Aya Nakamura et Gazo ont été consacrés, respectivement, artiste féminine et artiste masculin de l'année aux Flammes, trophées du rap et de ses courants, jeudi soir à Paris. Ces récompenses sont nées en réaction aux Victoires de la Musique, qui ont pendant longtemps snobé ces styles musicaux.
Aya Nakamura et Gazo ont été consacrés, respectivement, artiste féminine et artiste masculin de l'année aux Flammes, trophées du rap et de ses courants, jeudi soir à Paris. Ces récompenses sont nées en réaction aux Victoires de la Musique, qui ont pendant longtemps snobé ces styles musicaux.

25.04.2024 à 23:57

Foot: Cinq choses à savoir sur Arne Slot, en discussion avec Liverpool

FRANCE24

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. Fan de Guardiola En trois saisons à la tête de Feyenoord (son deuxième club après avoir dirigé AZ Alkmaar), Slot s'est bâti la réputation d'un entraîneur audacieux, adepte d'un football spectaculaire mais efficace, capable de hausser le niveau de ses jeunes joueurs à l'image de son modèle... Pep Guardiola. "Les joueurs sont toujours très bons sous les ordres du manager de City alors qu'ils semblaient moins performants avec leurs coaches précédents", avait notamment indiqué Slot, 45 ans, au journal Algemeen Dagblad fin 2023. Récemment, la presse britannique l'a déjà surnommé Slot le "Pep Guardiola néerlandais" en raison de son style offensif très pressant, très apprécié des fans de Feyenoord. A la différence de Guardiola, Slot évolue cependant toujours avec un véritable numéro 9 et ne modifie jamais son schéma en 4-2-3-1 . Courir plus que l'adversaire Arne Slot a acquis la réputation d'un manager insistant sur l'impact physique de ses joueurs. "Au Feyenoord, je dis à mes joueurs: vous devez vous créer quatre fois plus d'occasions que votre adversaire et travailler deux fois plus dur", avait-il déclaré au Algemeen Dagblad. "Dans tous les matches que nous avons gagnés cette saison, nous voyons dans les données que nous avons couru 20 ou 30% de plus que l'adversaire. Dans les matches que nous n'avons pas gagnés, nous n'avons couru que trois ou six pour cent de plus. . Courtisé par Tottenham et Leeds Liverpool n'est pas le seul club de Premier League à s'être intéressé au coach néerlandais. En mai 2023, lorsque Tottenham était à la recherche d'un successeur à l'Italien Paolo Conte, les Spurs avaient été proches de le recruter. Slot avait alors préféré signer un nouveau contrat avec Feyenoord "ne s'estimant pas prêt pour l'Angleterre", avait indiqué l'agence de presse ANP. Un an plus tôt il avait aussi été cité à Leeds. "Le facteur décisif a été de jouer la Ligue des champions avec Feyenoord. D'un point de vue privé, rester à Rotterdam était à l'époque la meilleure option pour mon bien-être", avait déclaré Slot. La campagne de Feyenoord en Ligue des champions avait démarré en fanfare avec une victoire 2-0 à domicile contre le Celtic Glasgow, mais deux défaites contre l'Atlético de Madrid avaient scellé le sort du club, troisième du groupe E. . Liverpool devrait verser 10 MEUR Selon le magazine néerlandais Voetbal International, Slot fait partie de l'écurie de Rafaela Pimenta et cette ancienne avocate brésilienne réclamerait 10 millions d'euros à Liverpool pour racheter le contrat de son protégé, lié jusqu'au 30 juin 2026 avec Feyenoord. . Joueur modeste mais avec une passe à son nom Méconnu en Europe jusqu'à ces derniers jours, Arne Slot l'a aussi été au plat pays avant de prendre la direction de Feyenoord. Il fut un joueur moyen révélé au PEC Zwolle (où il a fini sa carrière après des passages à Breda et au Sparta Rotterdam). Réputé bon technicien mais peu combatif. "Beaucoup de gens pensaient qu'Arne était paresseux et flegmatique", a récemment déclaré son ancien entraîneur Jan Everse à la chaîne publique NOS. Ce dernier décrit son style de jeu comme "soyeux" et cultivé". Et, aux Pays-Bas, le futur coach de Liverpool a donné son nom à un geste technique la "Arne pass", une feinte en décalage vers l'arrière pour mieux lancer un ailier.
Texte intégral (578 mots)
. Fan de Guardiola En trois saisons à la tête de Feyenoord (son deuxième club après avoir dirigé AZ Alkmaar), Slot s'est bâti la réputation d'un entraîneur audacieux, adepte d'un football spectaculaire mais efficace, capable de hausser le niveau de ses jeunes joueurs à l'image de son modèle... Pep Guardiola. "Les joueurs sont toujours très bons sous les ordres du manager de City alors qu'ils semblaient moins performants avec leurs coaches précédents", avait notamment indiqué Slot, 45 ans, au journal Algemeen Dagblad fin 2023. Récemment, la presse britannique l'a déjà surnommé Slot le "Pep Guardiola néerlandais" en raison de son style offensif très pressant, très apprécié des fans de Feyenoord. A la différence de Guardiola, Slot évolue cependant toujours avec un véritable numéro 9 et ne modifie jamais son schéma en 4-2-3-1 . Courir plus que l'adversaire Arne Slot a acquis la réputation d'un manager insistant sur l'impact physique de ses joueurs. "Au Feyenoord, je dis à mes joueurs: vous devez vous créer quatre fois plus d'occasions que votre adversaire et travailler deux fois plus dur", avait-il déclaré au Algemeen Dagblad. "Dans tous les matches que nous avons gagnés cette saison, nous voyons dans les données que nous avons couru 20 ou 30% de plus que l'adversaire. Dans les matches que nous n'avons pas gagnés, nous n'avons couru que trois ou six pour cent de plus. . Courtisé par Tottenham et Leeds Liverpool n'est pas le seul club de Premier League à s'être intéressé au coach néerlandais. En mai 2023, lorsque Tottenham était à la recherche d'un successeur à l'Italien Paolo Conte, les Spurs avaient été proches de le recruter. Slot avait alors préféré signer un nouveau contrat avec Feyenoord "ne s'estimant pas prêt pour l'Angleterre", avait indiqué l'agence de presse ANP. Un an plus tôt il avait aussi été cité à Leeds. "Le facteur décisif a été de jouer la Ligue des champions avec Feyenoord. D'un point de vue privé, rester à Rotterdam était à l'époque la meilleure option pour mon bien-être", avait déclaré Slot. La campagne de Feyenoord en Ligue des champions avait démarré en fanfare avec une victoire 2-0 à domicile contre le Celtic Glasgow, mais deux défaites contre l'Atlético de Madrid avaient scellé le sort du club, troisième du groupe E. . Liverpool devrait verser 10 MEUR Selon le magazine néerlandais Voetbal International, Slot fait partie de l'écurie de Rafaela Pimenta et cette ancienne avocate brésilienne réclamerait 10 millions d'euros à Liverpool pour racheter le contrat de son protégé, lié jusqu'au 30 juin 2026 avec Feyenoord. . Joueur modeste mais avec une passe à son nom Méconnu en Europe jusqu'à ces derniers jours, Arne Slot l'a aussi été au plat pays avant de prendre la direction de Feyenoord. Il fut un joueur moyen révélé au PEC Zwolle (où il a fini sa carrière après des passages à Breda et au Sparta Rotterdam). Réputé bon technicien mais peu combatif. "Beaucoup de gens pensaient qu'Arne était paresseux et flegmatique", a récemment déclaré son ancien entraîneur Jan Everse à la chaîne publique NOS. Ce dernier décrit son style de jeu comme "soyeux" et cultivé". Et, aux Pays-Bas, le futur coach de Liverpool a donné son nom à un geste technique la "Arne pass", une feinte en décalage vers l'arrière pour mieux lancer un ailier.

25.04.2024 à 23:49

"Tous les moyens sont bons" : la Chine poursuit l'autonomie "technologique et économique"

FRANCE24

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Nicolas Arpagian, Vice-Président du cabinet HeadMind Partners, spécialiste en cybersécurité, évoque "la concrétisation du plan China 2025" par laquelle les autorités chinoises "ont déterminé une liste des domaines technologiques notamment qui doit permettre à la Chine d'être autonome". La Chine tous azimuts ! Et "tous les moyens sont bons".
Texte intégral (578 mots)
Nicolas Arpagian, Vice-Président du cabinet HeadMind Partners, spécialiste en cybersécurité, évoque "la concrétisation du plan China 2025" par laquelle les autorités chinoises "ont déterminé une liste des domaines technologiques notamment qui doit permettre à la Chine d'être autonome". La Chine tous azimuts ! Et "tous les moyens sont bons".

25.04.2024 à 23:39

Dette de la France : les agences de notation vont rendre leur verdict

FRANCE 24

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Moody's et Fitch doivent se prononcer, vendredi, sur la note de la dette souveraine de la France. L'agence de notation S&P se prononcera à son tour le 31 mai. Ces évaluations interviennent après que Bercy a revu à la hausse ses prévisions de déficit pour 2024.
Texte intégral (578 mots)
Moody's et Fitch doivent se prononcer, vendredi, sur la note de la dette souveraine de la France. L'agence de notation S&P se prononcera à son tour le 31 mai. Ces évaluations interviennent après que Bercy a revu à la hausse ses prévisions de déficit pour 2024.

25.04.2024 à 23:17

Wall Street finit en baisse, plombée par Meta et la faible croissance américaine

FRANCE24

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Le Dow Jones a reculé de 0,98%, l'indice Nasdaq a abandonné 0,64% et l'indice élargi S&P 500 a perdu 0,46%. Pour Angelo Kourkafas, d'Edard Jones, les résultats de Meta, mercredi après Bourse, ont donné le la à la séance de jeudi. Le géant des réseaux sociaux a dépassé les projections du marché au premier trimestre, mais les opérateurs ont surtout retenu les prévisions du deuxième trimestre, considérées comme timorées. Par ailleurs, le relèvement de la fourchette d'investissements pour l'exercice en cours a également déplu et le titre a plongé de 10,56%. Le PDG Mark Zuckerberg a indiqué que le groupe de Menlo Park entendait faire de gros efforts financiers pour développer ses propres outils et modèles d'intelligence artificielle (IA). "Les prévisions de Meta pour le deuxième trimestre font redouter aux investisseurs que les dépenses consacrées à l'IA amputent aussi les bénéfices d'autres actions technologiques", a expliqué, dans une note, Matthew Weller, de Forex.com. "Les attentes du marché sont si élevées pour la tech, que l'on assiste à un ajustement des valorisations", a commenté Angelo Kourkafas. Le léger manque d'allant de Meta a aussi pénalisé ses grands rivaux de l'IA, Microsoft (-2,45%) et Alphabet (-1,97%), qui publiaient leurs résultats après Bourse. Déja déstabilisée, la place new-yorkaise a franchement vacillé après que le département du Commerce a annoncé que la croissance n'avait atteint que 1,6% en rythme annualisé au premier trimestre, alors que les économistes attendaient 2,5%. Pire, les éléments relatifs aux prix dans le rapport de jeudi ont montré une accélération de l'inflation, avec un taux de 3,7% contre 3,4% annoncé, en rythme annualisé. "La combinaison d'une croissance bien en deçà des projections et d'un indice de prix au-dessus fait planner le spectre de la stagflation", situation économique redoutée, qui conjuge activité économique anémique et hausses de prix importantes, a résumé, dans une note, José Torres, d'Interactive Brokers. Mais après avoir frôlé le K.-O., Wall Street a recoupé une bonne partie de ses pertes en fin de séance. "Les détails (du rapport sur la croissance) sont meilleurs que ne le laisse penser le chiffre principal", a indiqué Angelo Kourkafas. La croissance de base, c'est-à-dire hors dépenses publiques, exportations et variation des stocks, a atteint 2,8%, un niveau beaucoup plus élevé que le chiffre global. "L'économie ralentit, mais pas autant que l'on pourrait le croire en regardant à la surface des choses", a insisté Angelo Kourkafas. Bien qu'ayant fait état d'une forte demande pour l'informatique à distance (cloud) et l'IA, IBM (-8,25%) a manqué la cible sur son chiffre d'affaires du premier trimestre et était également sanctionné. Le groupe d'Armonk (Etat de New York) a par ailleurs annoncé, mercredi après Bourse, l'acquisition du spécialiste du cloud HashiCorp, pour 6,4 milliards de dollars. Bien qu'introduit lors d'une séance mouvementée, le spécialiste de cybersécurité Rubrik a brillé pour ses débuts en Bourse (+15,62%). Le groupe de Palo Alto, dont Microsoft est actionnaire, a levé quelque 752 millions de dollars lors de cette opération. Ailleurs à la cote, Caterpillar a dérapé (-7,02%), après avoir indiqué une décélération de la demande, en particulier dans le secteur de la construction. Le titre d'American Airlines a pris 1,51%, malgré une perte plus lourde qu'espéré sur les trois premiers mois de l'année. Le directeur financier, Devon May, a indiqué que les réservations estivales dépassaient celles de l'an dernier. Son concurrent Southwest a lui piqué du nez (-6,96%), après avoir également dévoilé une perte plus importante que prévu et annoncé des mesures visant à s'ajuster à un plus faible nombre d'appareils livrés par Boeing, notamment la suppression de quatre dessertes.
Texte intégral (640 mots)
Le Dow Jones a reculé de 0,98%, l'indice Nasdaq a abandonné 0,64% et l'indice élargi S&P 500 a perdu 0,46%. Pour Angelo Kourkafas, d'Edard Jones, les résultats de Meta, mercredi après Bourse, ont donné le la à la séance de jeudi. Le géant des réseaux sociaux a dépassé les projections du marché au premier trimestre, mais les opérateurs ont surtout retenu les prévisions du deuxième trimestre, considérées comme timorées. Par ailleurs, le relèvement de la fourchette d'investissements pour l'exercice en cours a également déplu et le titre a plongé de 10,56%. Le PDG Mark Zuckerberg a indiqué que le groupe de Menlo Park entendait faire de gros efforts financiers pour développer ses propres outils et modèles d'intelligence artificielle (IA). "Les prévisions de Meta pour le deuxième trimestre font redouter aux investisseurs que les dépenses consacrées à l'IA amputent aussi les bénéfices d'autres actions technologiques", a expliqué, dans une note, Matthew Weller, de Forex.com. "Les attentes du marché sont si élevées pour la tech, que l'on assiste à un ajustement des valorisations", a commenté Angelo Kourkafas. Le léger manque d'allant de Meta a aussi pénalisé ses grands rivaux de l'IA, Microsoft (-2,45%) et Alphabet (-1,97%), qui publiaient leurs résultats après Bourse. Déja déstabilisée, la place new-yorkaise a franchement vacillé après que le département du Commerce a annoncé que la croissance n'avait atteint que 1,6% en rythme annualisé au premier trimestre, alors que les économistes attendaient 2,5%. Pire, les éléments relatifs aux prix dans le rapport de jeudi ont montré une accélération de l'inflation, avec un taux de 3,7% contre 3,4% annoncé, en rythme annualisé. "La combinaison d'une croissance bien en deçà des projections et d'un indice de prix au-dessus fait planner le spectre de la stagflation", situation économique redoutée, qui conjuge activité économique anémique et hausses de prix importantes, a résumé, dans une note, José Torres, d'Interactive Brokers. Mais après avoir frôlé le K.-O., Wall Street a recoupé une bonne partie de ses pertes en fin de séance. "Les détails (du rapport sur la croissance) sont meilleurs que ne le laisse penser le chiffre principal", a indiqué Angelo Kourkafas. La croissance de base, c'est-à-dire hors dépenses publiques, exportations et variation des stocks, a atteint 2,8%, un niveau beaucoup plus élevé que le chiffre global. "L'économie ralentit, mais pas autant que l'on pourrait le croire en regardant à la surface des choses", a insisté Angelo Kourkafas. Bien qu'ayant fait état d'une forte demande pour l'informatique à distance (cloud) et l'IA, IBM (-8,25%) a manqué la cible sur son chiffre d'affaires du premier trimestre et était également sanctionné. Le groupe d'Armonk (Etat de New York) a par ailleurs annoncé, mercredi après Bourse, l'acquisition du spécialiste du cloud HashiCorp, pour 6,4 milliards de dollars. Bien qu'introduit lors d'une séance mouvementée, le spécialiste de cybersécurité Rubrik a brillé pour ses débuts en Bourse (+15,62%). Le groupe de Palo Alto, dont Microsoft est actionnaire, a levé quelque 752 millions de dollars lors de cette opération. Ailleurs à la cote, Caterpillar a dérapé (-7,02%), après avoir indiqué une décélération de la demande, en particulier dans le secteur de la construction. Le titre d'American Airlines a pris 1,51%, malgré une perte plus lourde qu'espéré sur les trois premiers mois de l'année. Le directeur financier, Devon May, a indiqué que les réservations estivales dépassaient celles de l'an dernier. Son concurrent Southwest a lui piqué du nez (-6,96%), après avoir également dévoilé une perte plus importante que prévu et annoncé des mesures visant à s'ajuster à un plus faible nombre d'appareils livrés par Boeing, notamment la suppression de quatre dessertes.
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