Pour le premier ministre britannique, les actes du président russe n’étaient pas « ceux de quelqu’un qui veut la paix ». Le président américain, lui, a reconnu que malgré les efforts de Washington, le Kremlin l’avait « vraiment laissé tomber ».
Pour le premier ministre britannique, les actes du président russe n’étaient pas « ceux de quelqu’un qui veut la paix ». Le président américain, lui, a reconnu que malgré les efforts de Washington, le Kremlin l’avait « vraiment laissé tomber ».