La chercheuse approuve, dans une tribune au « Monde », la décision de l’administrateur de l’institution de ne plus accueillir le colloque, prévu les 13 et 14 novembre, en raison de l’orientation militante de l’événement. A ses yeux, « la liberté académique ne signifie pas la liberté pour un universitaire de faire ou de dire tout ce qu’il souhaite ».
La chercheuse approuve, dans une tribune au « Monde », la décision de l’administrateur de l’institution de ne plus accueillir le colloque, prévu les 13 et 14 novembre, en raison de l’orientation militante de l’événement. A ses yeux, « la liberté académique ne signifie pas la liberté pour un universitaire de faire ou de dire tout ce qu’il souhaite ».