Alors que la fermeture de cette station iséroise, qui compte 55 kilomètres de pistes de ski, avait été actée le 10 juillet, la communauté de communes a accepté un sursis d’un an. Un soubresaut qui raconte les difficultés d’un territoire à s’extraire d’un modèle économique.
Alors que la fermeture de cette station iséroise, qui compte 55 kilomètres de pistes de ski, avait été actée le 10 juillet, la communauté de communes a accepté un sursis d’un an. Un soubresaut qui raconte les difficultés d’un territoire à s’extraire d’un modèle économique.