F.G.
■ En certains moments historiques où la stupéfaction devant l'horreur d'une guerre d'agression nous lie de facto au camp de l'agressé, il n'est jamais vain de chercher notre voie – celle de la nécessaire raison critique – dans nos archives de mémoire. Ce texte datant de 1977 de Santiago Parane – pseudonyme de Louis Mercier (1914-1977), à qui nous avions consacré, il y a vingt ans de cela, un numéro thématique d'À contretemps – nous aide, pensons-nous, à réaffirmer certains principes : penser avec sa propre (...)
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Marginalia