Dans l’attente de la reconnaissance de leur minorité, ces jeunes vivent le plus souvent à la rue, dans des conditions « dégradantes », en violation des traités internationaux de protection des mineurs, dénonce le Comité des droits de l’enfant des Nations unies.
Dans l’attente de la reconnaissance de leur minorité, ces jeunes vivent le plus souvent à la rue, dans des conditions « dégradantes », en violation des traités internationaux de protection des mineurs, dénonce le Comité des droits de l’enfant des Nations unies.