25.04.2025 à 17:41
Les funérailles du pape François, Jorge Mario Bergoglio de son vrai nom, auront lieu samedi 26 avril à 10 heures. La cérémonie se tiendra sur la place Saint-Pierre de Rome, devant la basilique du même nom, a annoncé le Vatican ce matin. Le cercueil sera ensuite transféré à la basilique Sainte-Marie-Majeure dans le centre de […]
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Les funérailles du pape François, Jorge Mario Bergoglio de son vrai nom, auront lieu samedi 26 avril à 10 heures. La cérémonie se tiendra sur la place Saint-Pierre de Rome, devant la basilique du même nom, a annoncé le Vatican ce matin. Le cercueil sera ensuite transféré à la basilique Sainte-Marie-Majeure dans le centre de la capitale romaine, où le pape sera inhumé.
Comme pour son prédécesseur Jean-Paul II en 2005, des dizaines de dirigeants et de têtes couronnées devraient faire le déplacement en Italie pour rendre hommage au chef de l’Église catholique. Les dirigeants européens seront nombreux, à commencer par le président de la République Emmanuel Macron. Le chancelier allemand Olaf Scholz se rendra lui aussi dans la capitale du Saint-Siège, tout comme le Premier ministre britannique Keir Starmer. Sans oublier la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, qui accueillera plus d'une centaine de délégations étrangères dans la capitale. Du côté des institutions, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président du Conseil européen, António Costa, sont également attendus.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, saluant celui qui a "prié pour la paix en Ukraine", a aussi fait part de sa volonté de se rendre aux obsèques du pape François. "La présidence attend la date des funérailles du pape et prépare la visite du président à Rome pour qu’il fasse ses adieux au souverain pontife", a annoncé l’entourage du dirigeant. De l'autre côté de l'Atlantique, le président américain Donald Trump a indiqué qu’il serait présent avant même que la date des funérailles ne soit dévoilée, mardi en milieu de matinée.
Comme l’exige le protocole, après une période de deuil de neuf jours et les funérailles de François, connues sous le nom de Novendia, l'Église catholique organisera le prochain conclave pour désigner un nouveau pape. L’élection devrait débuter entre les 5 et 10 mai. Les papes sont traditionnellement choisis par des ecclésiastiques de haut rang, les cardinaux, dans le cadre d'un processus électoral tenu secret remontant à l'époque médiévale.
Alors que le premier pape sud-américain vient de s’éteindre, reste à savoir si le prochain sera de nouveau issu d’un autre continent que l'Europe. Parmi ses successeurs potentiels, 54 sont d’origine européenne, 24 viennent d’Asie, 22 d’Amérique centrale, 17 d’Afrique, 16 d’Amérique du Nord et 4 d’Océanie.
Allemagne
Autriche
Belgique
Bulgarie
Croatie
Espagne
Estonie
Finlande
France
Grèce
Hongrie
Irlande
Lettonie
Lituanie
Pays-Bas
Pologne
Portugal
République tchèque
Roumanie
Slovaquie
Slovénie
Suède
Union européenne
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25.04.2025 à 16:32
Prendre le volant en Europe ne se fait pas partout selon les mêmes conditions. Si l'âge minimum pour conduire varie d'un pays à l'autre, les règles encadrant l'usage du téléphone portable ou encore la signalisation routière diffèrent également. Quelles sont les principales divergences entre les Etats membres de l’Union européenne ? Tour d’horizon des réglementations […]
L’article Sécurité routière : les règles dans l'Union européenne est apparu en premier sur Touteleurope.eu.
Prendre le volant en Europe ne se fait pas partout selon les mêmes conditions. Si l'âge minimum pour conduire varie d'un pays à l'autre, les règles encadrant l'usage du téléphone portable ou encore la signalisation routière diffèrent également. Quelles sont les principales divergences entre les Etats membres de l’Union européenne ? Tour d’horizon des réglementations en vigueur sur le continent.
L'âge minimal de conduite est généralement de 18 ans, sauf en France (depuis le 1er janvier 2024), en Irlande et en Slovaquie où il est de 17 ans. A l'image de l'apprentissage anticipé de la conduite pratiqué dans l'Hexagone dès l'âge de 15 ans, d'autres pays soutiennent des approches d'accompagnement à la conduite. L'une des plus répandues consiste à permettre de passer l'examen du permis dès l'âge de 17 ans, tout en imposant de conduire sous la supervision d'un conducteur expérimenté jusqu'à l'âge de 18 ans. Ce système est notamment appliqué en Allemagne, en Autriche, au Danemark ou encore aux Pays-Bas. Il n'y a alors plus d'examen à passer par la suite.
Par ailleurs, cet âge minimal est de 16 ans pour les motocycles légers, tricycles et quadricycles à moteur et de 21 ans pour les véhicules permettant de transporter plus de 8 personnes ou d'un poids élevé.
Pour louer une voiture, aucun âge n'est fixé au niveau européen. Celui-ci varie généralement entre 20 et 23 ans. Une limite d'âge maximum peut également s'appliquer et oscille entre 65 et 75 ans.
De plus, chez plusieurs de nos voisins, le permis doit être renouvelé par un examen médical, tous les dix ans en Espagne, en Italie et en Belgique. La République tchèque, l'Irlande et les Pays-Bas imposent respectivement des examens réguliers à partir de 65, 70 et 75 ans.
La plupart des pays européens (à l'exception de Chypre, Malte et l'Irlande) utilisent 8 types de panneaux (signaux) :
Il existe aussi des panneaux additionnels, généralement placés sous les signaux (zone de règlementation, stationnements réservés aux handicapés…).
Les panneaux dans ces pays sont quasiment identiques, sauf en ce qui concerne le design des pictogrammes et l'utilisation de certaines couleurs.
En ce qui concerne le sens de circulation, la conduite se fait à droite dans la plupart des Etats membres de l'UE. Elle se fait en revanche à gauche à Chypre, en Irlande et à Malte.
Il n'existe pas de règles communes en la matière dans l'UE.
La plupart des pays utilisent le système de permis à points : celui-ci implique le retrait de points en cas d'infraction (comme en France, Espagne ou Italie) ou l'ajout de points de pénalité jusqu'à un seuil maximal (comme en Allemagne ou en Irlande). Le capital initial de points ou le nombre de points de pénalité varie selon les pays. La plupart des pays partent avec un capital initial entre 12 et 20 points, à l'exception de la Bulgarie qui en prévoit 39. Concernant les points de pénalité, la fourchette s'échelonne de 18 (Allemagne, Hongrie et Slovénie) à 3 (Danemark).
Le Portugal a adopté le système du permis à points (sur le mode du retrait) le 1er juin 2016. Censée également se soumettre à ce régime en 2021, la Belgique tarde à le mettre en place.
Il est obligatoire dans tous les Etats membres :
A savoir : Le port de la ceinture est obligatoire depuis le 9 mai 2006 dans toute l'Union européenne pour les passagers d'autocars et de minibus.
L'utilisation du téléphone portable tenu en main au volant est explicitement ou implicitement interdite dans tous les Etats de l'UE.
Par ailleurs, la plupart des pays tolèrent l'utilisation de kits "mains libres". Certains pays imposent cependant des restrictions supplémentaires. C'est notamment le cas de la France et de l'Espagne, où l'utilisation d'oreillettes ou de casques audio est interdite, même avec un kit mains libres. Seuls les systèmes intégrés au véhicule ou fonctionnant via les haut-parleurs de la voiture sont autorisés.
Le taux maximal d'alcool autorisé dans le sang varie suivant la législation des Etats membres (de 0,2 à 0,5 gramme/litre en moyenne). Malte fait figure d'exception, autorisant un taux de 0,8 g/l.
Toutefois, certains pays appliquent des limites plus strictes, notamment pour les conducteurs novices ou professionnels. C'est le cas en Autriche, où la limite est de 0,5 g/l pour les conducteurs expérimentés, mais descend à 0,1 g/l pour les conducteurs novices pendant les deux premières années de conduite.
D'autres Etats vont encore plus loin en optant pour une tolérance zéro en matière d'alcool au volant. C'est le cas de la Hongrie, de la République tchèque, de la Roumanie et de la Slovaquie, où aucune présence d'alcool dans le sang n'est autorisée pour les conducteurs quel que soit leur âge.
En France, le taux maximal d’alcool autorisé dans le sang est de 0,5 gramme par litre pour la plupart des conducteurs expérimentés, ce qui correspond à environ un verre standard d’alcool. Pour les conducteurs en période probatoire (jeunes conducteurs ou permis en apprentissage), la limite est abaissée à 0,2 gramme par litre de sang, soit une tolérance quasiment zéro, car ce seuil est atteint dès moins d’un verre d’alcool consommé.
Il est important de noter que les législations évoluent. Par exemple, en septembre 2024, le gouvernement espagnol envisageait de réduire la limite légale d'alcoolémie de 0,5 g/l à 0,2 g/l pour tous les conducteurs, afin d'améliorer la sécurité routière.
L'interdiction de substances psychoactives au volant existe dans de nombreux pays (Portugal, Suède, France). En France, l'usage de ces substances est strictement interdite au volant, quelle que soit la quantité absorbée, et réprimée (peines principales de 2 ans d'emprisonnement, amende d'un montant de 4 500 euros et retrait de 6 points sur le permis de conduire, assortis de peines complémentaires possibles, notamment d'une suspension ou annulation du permis…).
D'autres pays (Espagne, Irlande, Pays-Bas…) pénalisent le fait que la capacité à conduire soit dégradée si elle est due à la consommation de drogues ou de médicaments. L'Irlande précise par ailleurs que "l'élément majeur pris en compte est l'aptitude à conduire ou la sécurité, plutôt que le statut légal du produit".
Enfin, quelques-uns (Belgique, Finlande…) sanctionnent de façon différente l'usage de ces substances en associant les deux approches.
Les pays où les feux de jour sont obligatoires incluent la Croatie, le Danemark, l'Estonie, la Finlande, la Hongrie (hors agglomérations), l'Islande, l'Italie (hors agglomérations), la Lettonie (du 1er octobre au 1er avril), la Lituanie (du 1er novembre au 1er mars), la Pologne, la République tchèque, la Roumanie (hors agglomérations), la Slovaquie (du 15 octobre au 15 mars), la Slovénie, la Suède et la Suisse.
En Allemagne, en Autriche, en Belgique, en France, en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Grèce et aux Pays-Bas, l'utilisation des feux de jour est recommandée mais pas obligatoire, sauf en cas de mauvaise visibilité ou dans certains cas spécifiques (tunnels, etc.).
Malgré le souhait de l'UE d'harmoniser les modalités d'utilisation des routes (notamment sur les systèmes de télépéage), celles-ci varient encore fortement en Europe. Les formules et les tarifs sont multiples.
On notera que le Luxembourg et la Finlande sont les seuls pays de l'UE dont les routes sont entièrement gratuites.
Quant à Malte il n'y existe tout simplement pas d'autoroute.
La plupart des pays européens exigent un certain nombre d'équipements ou accessoires obligatoires à bord des véhicules.
Ce peut être, par exemple :
Depuis le 7 juillet 2024, tous les véhicules neufs vendus dans l’Union européenne doivent être équipés de nouveaux dispositifs de sécurité automatisés, tels que l’aide au freinage d’urgence, l’alerte de franchissement de ligne, la boîte noire, un pré-équipement pour éthylotest anti-démarrage, ou encore la détection d’usagers vulnérables.
La Commission européenne, par le biais de ses différents programmes et orientations, cherche à harmoniser les règles de sécurité au sein des Etats membres de l'Union européenne afin de réduire le nombre des victimes de la route.
Pour parvenir à baisser le nombre de victimes, plusieurs objectifs ont été fixés :
Ces objectifs ont été formalisé dans le cadre de différents plans d'actions :
En 2024, environ 19 800 personnes ont été tuées dans des accidents de la route, soit une légère baisse de 3 % par rapport à 2023. Les routes les plus sûres restent celles de la Suède et du Danemark, tandis que la Roumanie et la Bulgarie ont enregistré les taux les plus élevés, bien qu'elles aient réalisé des progrès significatifs avec des baisses de plus de 20 % depuis 2019. La moyenne de l'UE était de 44 décès sur la route pour un million d'habitants.
Pour atteindre son but, la Commission encourage notamment la sensibilisation et la coopération entre les Etats membres, les organisations non gouvernementales, et le secteur privé. Cependant, selon la Cour des comptes européenne, l'UE est actuellement loin d'atteindre ses objectifs, avec une réduction attendue de seulement 25 % des décès routiers de 2019 à 2030.
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25.04.2025 à 16:05
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