LePartisan - 1982 vues
MEDIAS REVUES BLOGS
Lien du flux RSS
Chaîne de service public - Actualité internationale.

Accès libre

▸ les 15 dernières parutions

17.11.2025 à 05:55

Trump soutient finalement un vote à la Chambre sur la publication du dossier Epstein

FRANCE24
img
"Les républicains de la Chambre devraient voter pour publier le dossier Epstein, parce que nous n'avons rien à cacher et qu'il est temps de mettre ce canular démocrate derrière nous", a écrit sur sa plateforme Truth Social le président, qui était jusque-là opposé à l'idée. "Le ministère de la Justice a déjà rendu publiques des dizaines de milliers de pages sur +Epstein+, et s'intéresse à plusieurs agents démocrates" concernant leur "relation" avec celui-ci, a ajouté Donald Trump, citant "Bill Clinton, Reid Hoffman, Larry Summers, etc". La Chambre des représentants doit examiner cette semaine une proposition de loi qui forcerait le ministère de la Justice à publier le reste du dossier du riche financier new-yorkais, mort en prison avant son procès. La position qu'il tenait avant son revirement a semé la division dans le camp républicain, habituellement loyal. Le milliardaire a pris ses distances avec de proches alliés issus de son mouvement "MAGA" (Make America Great Again), dont des parlementaires comme Marjorie Taylor Greene, à laquelle il a retiré ce week-end son soutien pour les élections de 2026. "Certains +membres+ du Parti républicain sont +utilisés+, et on ne peut pas laisser cela se produire", a-t-il lancé. "La Commission de surveillance de la Chambre peut avoir tout ce à quoi elle a légalement droit, JE M'EN FICHE!", a encore affirmé le président, qui avait promis pendant sa campagne des révélations fracassantes, puis tenté de clore le dossier une fois revenu au pouvoir. Révélations d'emails L'affaire a été relancée la semaine dernière par la publication de courriers électroniques de Jeffrey Epstein, que M. Trump a fréquenté quand ils étaient des figures de la jet-set new-yorkaise, avant de se brouiller avec lui. Avec sa complice Ghislaine Maxwell comme rabatteuse, M. Epstein faisait venir des mineures dans ses résidences notamment à New York et en Floride pour, sous le prétexte de massages, les agresser sexuellement. Il est mort en prison en 2019, par suicide selon les autorités. Ghislaine Maxwell purge, elle, une peine de 20 ans de prison pour exploitation sexuelle. Donald Trump "savait à propos des filles" agressées sexuellement et a même "passé plusieurs heures" avec l'une d'elles, affirment des emails de Jeffrey Epstein récemment dévoilés par des parlementaires démocrates. "Je ne sais rien de cela. (Sinon) cela aurait été dit il y a longtemps", a assuré le président américain vendredi. "Jeffrey Epstein et moi avons entretenu de très mauvaises relations pendant de nombreuses années", a-t-il ajouté. Dans ces courriers électroniques figurent aussi des échanges avec Larry Summers, qui a été conseiller économique de Barack Obama et a présidé la prestigieuse université Harvard. Bill Clinton a pour sa part fréquenté le financier new-yorkais dans les années 1990 et 2000. Après ces révélations, Donald Trump a réclamé une enquête fédérale contre M. Summers, l'ancien président Clinton et l'investisseur-entrepreneur Reid Hoffman, notamment. En juillet, le ministère de la Justice et la police fédérale (FBI) avaient pourtant annoncé qu'ils n'avaient "pas découvert de preuves sur lesquelles fonder une enquête contre des personnes jusqu'ici non poursuivies" dans l'affaire Epstein. Les deux institutions avaient aussi jugé qu'il ne serait "pas pertinent" de rendre public le "dossier Epstein", suscitant l'incompréhension, voire la colère, de nombreux partisans "MAGA".

17.11.2025 à 05:37

Bangladesh: l'heure du verdict pour l'ex-Première ministre Sheikh Hasina

FRANCE24
img
En Inde depuis sa fuite en hélicoptère, la "bégum de fer" est jugée en son absence depuis juin par un tribunal de Dacca pour cinq chefs d'accusation relevant des crimes contre l'humanité. En juillet et août 2024, les manifestations antigouvernementales qui l'ont contrainte à quitter le pays après quinze ans de règne ont fait au moins 1.400 morts, selon l'ONU, pour la plupart des civils. Le tribunal doit se prononcer sur sa culpabilité et pourrait, dans la foulée, annoncer la peine infligée à Mme Hasina. Dans un pays sous fortes tensions politiques déjà tourné vers les élections législatives prévues dans trois mois, sa décision est très attendue. La police de la capitale a été placée en alerte et déployée en nombre pour procéder à des contrôles dans toute la ville, a déclaré son porte-parole, Talebur Rahman. Au terme des débats, le représentant de l'accusation avait réclamé le mois dernier, sans surprise, la condamnation de Sheikh Hasina à la peine capitale. "Pour un simple meurtre, la peine de mort est la règle. Pour 1.400 meurtres, elle la mérite 1.400 fois", avait-il déclaré devant les juges. "Elle est une criminelle endurcie et n'a fait preuve d'aucun remord pour sa brutalité". "Procès politique" Jusque-là silencieuse, Sheikh Hasina a pris la parole en octobre auprès de plusieurs médias étrangers, dont l'AFP, pour rejeter la "totalité" des charges à ses yeux "infondées" retenues contre elle. Les enregistrements produits par l'accusation suggérant qu'elle avait autorisé le recours aux "armes létales" contre la contestation ont été "sortis de leur contexte", a jugé l'ex-Première ministre. "Un verdict de culpabilité est préétabli, malheureusement", a-t-elle poursuivi, "il s'agit clairement d'une procédure à motivation politique". Victorieuse des élections législatives, largement considérées comme frauduleuses début 2024, son parti, la Ligue Awami, a été interdit par le gouvernement provisoire du prix Nobel de la paix Muhammad Yunus. Dans l'opposition sous le règne de Mme Hasina, le Parti nationaliste du Bangladesh (BNP) est considéré comme le grand favori du prochain scrutin. Interrogée par l'AFP sur un éventuel retour en politique, l'ex-Première ministre a botté en touche en assurant que sa "priorité est le bien-être et la stabilité" du pays. Le tribunal doit également se prononcer lundi sur la culpabilité de l'ancien ministre de l'Intérieur, Asaduzzaman Khan Kamal, lui aussi en fuite, et de l'ex-chef de la police, Chowdhury Abdullah Al Mamun, en détention et qui a plaidé coupable. Le parcours judiciaire de Sheikh Hasina ne se limite pas à ce procès. Elle fait également l'objet de multiples plaintes pour les multiples meurtres ou enlèvements dont l'ont accusé, tout au long de ses mandats, ses adversaires politiques et les ONG. Une commission d'enquête a récemment chiffré à plus de 250 le nombre de disparitions d'opposants ordonnées par son gouvernement.

17.11.2025 à 05:18

Vote attendu du Conseil de sécurité de l'ONU sur un projet américain de résolution sur Gaza

FRANCE24
img
L'avenir d'un possible État palestinien à nouveau au coeur du vote d'un projet américain de résolution sur Gaza, aujourd'hui, au Conseil de sécurité de l'ONU. Le Premier ministre israélien a dit son opposition. Le nouveau projet de résolution "autorise" la mise en place d'une "force de stabilisation internationale" (ISF) chargée notamment de l'appui à la sécurisation des frontières de la démilitarisation de Gaza, du désarmement "des groupes armés non étatiques" et de la protection des civils.
6 / 15

 

  GÉNÉRALISTES
Basta
Blast
L'Autre Quotidien
Alternatives Eco.
Le Canard Enchaîné
La Croix
Le Figaro
France 24
France-Culture
FTVI
HuffPost
L'Humanité
LCP / Public Senat
Le Media
Le Monde
Libération
Mediapart
La Tribune
 
  EUROPE ‧ RUSSIE
Courrier Europe Centrale
Desk-Russie
Euractiv
Euronews
Toute l'Europe
 
  Afrique du Nord ‧ Proche-Orient
Haaretz
Info Asie
Inkyfada
Jeune Afrique
Kurdistan au féminin
L'Orient - Le Jour
Orient XXI
Rojava I.C
 
  INTERNATIONAL
CADTM
Courrier International
Equaltimes
Global Voices
I.R.I.S
The New-York Times
 
  OSINT ‧ INVESTIGATION
OFF Investigation
OpenFacto°
Bellingcat
Disclose
Global.Inv.Journalism
 
  MÉDIAS D'OPINION
AOC
Au Poste
Cause Commune
CrimethInc.
Hors-Serie
L'Insoumission
Là-bas si j'y suis
Les Jours
LVSL
Médias Libres
Politis
Quartier Général
Rapports de force
Reflets
Reseau Bastille
Rézo
StreetPress
 
  OBSERVATOIRES
Armements
Acrimed
Catastrophes naturelles
Conspis
Culture
Curation IA
Extrême-droite
Human Rights Watch
Inégalités
Information
Internet actu ✝
Justice fiscale
Liberté de création
Multinationales
Situationnisme
Sondages
Street-Médics
Routes de la Soie
🌞
";