La justice à laquelle aspirent les Syriens passe par la poursuite des coupables de crimes de guerre et par une transition vers un Etat civil qui préserve la pluralité religieuse et ethnique du pays, et protège les droits humains, notamment ceux des femmes, affirme la romancière et poétesse syrienne dans une tribune au « Monde ».
La justice à laquelle aspirent les Syriens passe par la poursuite des coupables de crimes de guerre et par une transition vers un Etat civil qui préserve la pluralité religieuse et ethnique du pays, et protège les droits humains, notamment ceux des femmes, affirme la romancière et poétesse syrienne dans une tribune au « Monde ».