A la fin des années 1980, la France entame une politique climatique ambitieuse, à la croisée de préoccupations écologiques et d’intérêts nucléaires. Elle sera abandonnée en raison du lobbying des industriels, en particulier celui des énergies fossiles.

Les mois de juin, de juillet et d’août ont dépassé de plus de 2 °C la température moyenne estivale de cette période, selon une étude publiée mardi dans « Nature », qui reconstitue le climat passé grâce aux cernes d’arbres.

Une croissance infinie de nos activités numériques n’est pas soutenable, souligne Frédéric Bordage, du collectif Green IT, dans un épisode du podcast « Chaleur humaine ».

De violents orages ont par ailleurs touché la Normandie et l’Ile-de-France dans la nuit de dimanche, avec parfois de la grêle.

Après avoir presque doublé en superficie dans la journée de dimanche, l’incendie qui s’étend désormais sur plus de 4 000 hectares pourrait toucher les habitations dès lundi matin, estime le service d’incendies de la province.

L’Agence internationale de l’énergie organise un sommet à Paris pour remettre ce sujet négligé au centre de l’agenda international. Il concerne près d’un milliard de personnes sur le continent.

Depuis la mi-avril, les inondations avaient déjà fait une centaine de morts dans dix provinces du pays, dont aucune région n’a été complètement épargnée.

Les deux pays se sont accordés, jeudi, sur un mémorandum explicatif afin de mettre fin aux débats sur le volet sécuritaire du traité. Le texte devrait entrer en vigueur d’ici à la fin de l’année.