Forte de sa supériorité technologique, la société du milliardaire a su se rendre indispensable, notamment en Ukraine. Ce proche de Donald Trump bénéficie désormais de leviers inédits, en matière de télécommunications par satellite, alors que la Chine et l’Europe cherchent à occuper le terrain.

Du Pas-de-Calais au Gard, en passant par la Seine-et-Marne, les élus et militants du Rassemblement national mobilisent leurs électeurs, entretenant le récit d’un complot contre la cheffe de file du parti d’extrême droite.

Les exigences américaines sèment le trouble au sein des sociétés, notamment chez celles qui ont une présence aux Etats-Unis. Si beaucoup assurent qu’elles vont maintenir leur politique inclusive, d’autres ont déjà tourné casaque.

Le député de la Somme, qui a rompu avec La France insoumise, estime, dans un entretien à « La Tribune Dimanche », que face au Rassemblement national, « une candidature commune à gauche ne relève pas du souhait mais de la nécessité ».

Il s’agit de la première mesure à viser tous les citoyens d’un pays depuis le retour au pouvoir de Donald Trump. Le pays africain est au bord de la guerre civile, selon l’ONU.

Français et Britanniques proposent depuis plusieurs semaines de déployer un contingent militaire de pays européens en Ukraine pour constituer une « force de réassurance » destinée à prévenir une reprise du conflit une fois un cessez-le-feu mis en place.

Pékin a décidé, vendredi, d’appliquer 34 % de droits de douane sur les produits américains, en réponse à la stratégie adoptée par le Républicain à Washington. « Cela ne sera pas facile, mais le résultat final sera historique », a insisté ce dernier, samedi.