Après avoir examiné, jeudi 12 novembre, des offres de reprise du groupe NovAsco (ex-Ascometal), le tribunal se prononcera lundi 17 novembre sur l’avenir de ce fleuron français de la sidérurgie. Seul le site de Leffrinckoucke, près de Dunkerque, pourrait être sauvé. Ce qui laisserait les 558 salariés des trois autres sites sur le carreau.
Après avoir examiné, jeudi 12 novembre, des offres de reprise du groupe NovAsco (ex-Ascometal), le tribunal se prononcera lundi 17 novembre sur l’avenir de ce fleuron français de la sidérurgie. Seul le site de Leffrinckoucke, près de Dunkerque, pourrait être sauvé. Ce qui laisserait les 558 salariés des trois autres sites sur le carreau.