L’action de l’entreprise iséroise a plongé de 30 % après la publication de perspectives moroses. Pourtant cette firme, dont l’Etat est actionnaire indirect, travaille sur des solutions pour rendre les composants électroniques moins gourmands en électricité, un angle prometteur, constate Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».
L’action de l’entreprise iséroise a plongé de 30 % après la publication de perspectives moroses. Pourtant cette firme, dont l’Etat est actionnaire indirect, travaille sur des solutions pour rendre les composants électroniques moins gourmands en électricité, un angle prometteur, constate Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».