Unilever s’est délesté en Bourse de Magnum, Ben & Jerry’s et Carte d’or afin d’en pimenter la croissance, dans un contexte où les industriels de l’agroalimentaire, menacés par les changements d’habitude et les médicaments antiobésité, se recomposent en toute hâte, observe Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».
Unilever s’est délesté en Bourse de Magnum, Ben & Jerry’s et Carte d’or afin d’en pimenter la croissance, dans un contexte où les industriels de l’agroalimentaire, menacés par les changements d’habitude et les médicaments antiobésité, se recomposent en toute hâte, observe Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».