Alors que la COP 29 soulève une fois de plus l’urgence de tourner la page des énergies fossiles, la réserve naturelle de Tariquía, dans le sud-est de la Bolivie, incarne à elle seule un dilemme mondial : protéger la nature ou céder à la dépendance aux hydrocarbures. Ce sanctuaire de la biodiversité, menacé par des projets gaziers, est devenu le théâtre d’un bras de fer acharné. Depuis dix ans, les communautés locales tentent de résister à l’intrusion des compagnies pétrolières, mais la crise économique pousse le gouvernement à intensifier la pression.
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Alors que la COP 29 soulève une fois de plus l’urgence de tourner la page des énergies fossiles, la réserve naturelle de Tariquía, dans le sud-est de la Bolivie, incarne à elle seule un dilemme mondial : protéger la nature ou céder à la dépendance aux hydrocarbures. Ce sanctuaire de la biodiversité, menacé par des projets gaziers, est devenu le théâtre d’un bras de fer acharné. Depuis dix ans, les communautés locales tentent de résister à l’intrusion des compagnies pétrolières, mais la crise économique pousse le gouvernement à intensifier la pression.