Le procès de l’épouse et du fils du président déchu Ali Bongo – qui sont installés à Londres – a mis en lumière un vaste réseau de détournement de fonds impliquant des sommes colossales.
Portés par un espoir de changement, les Irakiens ont massivement voté, malgré les appels de l’influent leader chiite Moqtada Al-Sadr à ignorer le scrutin.
Une vingtaine d’ONG ont jugé « sans fondement » les accusations visant celui qui est surnommé « le poète du hirak », en raison des vers qu’il a déclamés lors des manifestations massives ayant ponctué le mouvement prodémocratie en 2019.