Une école pour filles dans l’État de Kebbi, dans le nord-ouest du pays, avait été la cible d’une attaque par des hommes armés dans la nuit du 16 au 17 novembre. Le gouvernement est sous forte pression après l’enlèvement, en moins d’une semaine, de 350 personnes.
Le chef de l’Etat s’est s’exprimé mardi soir à l’issue d’une visioconférence de la « coalition des volontaires », qui réunit plus de 30 pays, disposés à apporter des « garanties de sécurité » à Kiev, en cas de conclusion d’un cessez-le-feu ou d’un accord de paix avec Moscou.
L’ancien président brésilien a épuisé tous les recours possibles contre sa condamnation, a annoncé, mardi, le Tribunal suprême fédéral. Il purgera sa peine dans les locaux de la police de Brasilia où il est détenu depuis samedi.