Selon le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), la situation reste « critique » en dépit d’un « meilleur accès pour les livraisons alimentaires humanitaires et commerciales ».
La junte militaire au pouvoir avait fait savoir fin novembre qu’elle allait vendre sur le marché international l’uranium produit sur le site de la Somaïr, une filiale du géant français. Ce site avait été nationalisé en juin.
Evoquant la menace terroriste et les risques de troubles à l’ordre public, le ministre de l’intérieur a demandé, vendredi, aux préfets et aux responsables de la sécurité un renforcement « des dispositifs de sécurité sur l’ensemble du territoire » et la mise en place d’« une présence visible et dissuasive ».