Le jeune homme de 22 ans était déjà connu de la justice, notamment pour du « SIM swapping », des détournements de lignes téléphoniques. Il encourt, dans cette nouvelle affaire, une peine de dix ans de prison.
Il est notamment poursuivi pour « accès frauduleux en bande organisée dans un système de traitement automatisé de données à caractère personnel mis en œuvre par l’Etat ».
Le jeune homme de 19 ans a été mis en examen pour « association de malfaiteurs terroriste en vue de crimes contre les personnes », et une information judiciaire a été ouverte, a annoncé, samedi, le Parquet national antiterroriste.