L’entreprise « a été réduite au silence, mise à l’écart par crainte de contrarier le pouvoir », à un moment où l’administration américaine « s’attaque aux droits civiques, au droit de vote, aux droits des immigrants, des femmes et de la communauté LGBTQ », a expliqué Jerry Greenfield dans sa lettre.
L’entreprise « a été réduite au silence, mise à l’écart par crainte de contrarier le pouvoir », à un moment où l’administration américaine « s’attaque aux droits civiques, au droit de vote, aux droits des immigrants, des femmes et de la communauté LGBTQ », a expliqué Jerry Greenfield dans sa lettre.