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18.11.2025 à 10:54

Gaza : le Conseil de sécurité des Nations unies adopte le plan de paix défendu par Donald Trump

Florian Chaaban
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"Une victoire diplomatique majeure" pour l'administration américaine, résume The Washington Post. Lundi 17 novembre, le Conseil de sécurité des Nations unies a "approuvé la résolution inspirée du plan de paix pour Gaza promu par le président américain Donald Trump" [El País]. "La mesure a été approuvée par 13 membres, la Chine et la Russie s'étant […]

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Texte intégral (2035 mots)
Le vote du Conseil de sécurité des Nations unies prévoit notamment "le déploiement d'une force internationale" dans l'enclave palestinienne - Crédits : Richard Koek / Ministerie van Buitenlandse Zaken PDM 1.0
Le vote du Conseil de sécurité des Nations unies prévoit notamment "le déploiement d'une force internationale" dans l'enclave palestinienne - Crédits : Richard Koek / Ministerie van Buitenlandse Zaken PDM 1.0

"Une victoire diplomatique majeure" pour l'administration américaine, résume The Washington Post. Lundi 17 novembre, le Conseil de sécurité des Nations unies a "approuvé la résolution inspirée du plan de paix pour Gaza promu par le président américain Donald Trump" [El País]. "La mesure a été approuvée par 13 membres, la Chine et la Russie s'étant abstenues", complète le quotidien espagnol.

Ce vote, "que l'ambassadeur américain aux Nations unies Mike Waltz a qualifié d''historique et constructif'" [Le Parisien], prévoit notamment "le déploiement d'une force internationale" dans l'enclave palestinienne. "Ravagé par deux années de guerre provoquée par l'attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien du 7 octobre 2023", le territoire fait l'objet d'un fragile cessez-le-feu depuis l'Accord de Charm-el-Cheikh le 10 octobre.

Donald Trump, "l'instigateur de ce plan, s'est félicité d'une 'des approbations les plus importantes de l'histoire des Nations unies'", observent Les Echos. Soutenu par l'Autorité palestinienne, le projet est en revanche de nouveau critiqué par le Hamas, selon qui ce dernier "ne répond pas aux exigences et aux droits politiques et humains" des Palestiniens et "impose un mécanisme de tutelle internationale".

Une "force de stabilisation internationale"

Concrètement, le texte "autorise la mise en place d'une force de stabilisation internationale chargée notamment de l'appui à la sécurisation des frontières en coopération avec Israël et l'Égypte, de la démilitarisation de Gaza [et] du désarmement 'des groupes armés non étatiques'", relate Le Parisien. Cette force, dont la composition n'a pas été précisée, doit aussi assurer "la protection des civils et la formation d'une police palestinienne".

La résolution donne également mandat "jusqu’au 31 décembre 2027 à un 'comité de la paix', organe de 'gouvernance de transition' jusqu’à la réforme de l'Autorité palestinienne" [Libération]. Selon le plan en 20 points qui y est annexé, ce comité doit être présidé par Donald Trump lui-même.

Contrairement aux premières versions, le texte, plusieurs fois modifié lors de négociations sensibles, "évoque l'éventualité d'un État palestinien" [Le Figaro]. "Après la réforme de l'Autorité palestinienne et l'avancée de la reconstruction de Gaza, 'les conditions pourraient finalement être en place pour un chemin crédible vers une autodétermination palestinienne et un statut d'État'", est-il écrit.

Israël toujours opposé à l'éventualité d'un État palestinien

Un avenir clairement rejeté par Israël. "À la veille du vote à l'ONU, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a réaffirmé l'opposition catégorique de son gouvernement à la création d'un État palestinien, soulevant des questions quant à savoir si Israël autorisera la mise en œuvre des propositions sous mandat de l'ONU" [The Guardian].

"Son ministre de la Sécurité intérieure, Itamar Ben Gvir, figure de l'extrême droite, a lui appelé lundi à l'arrestation du président Mahmoud Abbas et à l'assassinat d'autres hauts responsables palestiniens si l'ONU venait à reconnaître un État palestinien", relaie Le Figaro.

"Préalablement au vote, l'ambassadeur d'Israël aux Nations unies, Danny Danon, a insisté face à la presse sur une 'exigence fondamentale', appuyée par son homologue américain Mike Waltz : le retour des corps des trois derniers otages encore à Gaza" [Le Parisien].

Pour la France, qui a voté en faveur de la résolution, cette dernière "répond aux besoins les plus urgents des populations et permet de soutenir les efforts de paix en cours" [Les Echos].

Discorde et objections

En dépit des avancées décidées, "de nombreux points litigieux" demeurent, explique La Tagesschau. Notamment "le désarmement, le retrait complet de l'armée israélienne du territoire et l'avenir de la bande de Gaza". Comme le souligne The Jerusalem Post, "le travail le plus difficile […] commence maintenant".

Dans le même temps, la Russie, "qui a fait circuler un texte concurrent, avait justifié cette initiative par le fait que la résolution américaine n'allait pas assez loin sur la perspective d'un État palestinien" [Ouest-France]. Le texte russe, également consulté par l'AFP, "n'autorise ni la création d'un Comité de la paix ni le déploiement d'une force à ce stade, demandant au secrétaire général de l'ONU de proposer des 'options' en la matière" [Le Parisien].

"D'autres États membres ont exprimé des réticences, s'inquiétant d'un manque de clarté dans les mandats du Comité de la paix et de la force de stabilisation internationale (ISF)", relèvent Les Echos. "Face à ce qu'ils ont qualifié de 'tentatives de semer la discorde', les États-Unis avaient redoublé d'efforts ces derniers jours pour obtenir un feu vert". Les Américains ont également "mis en avant le soutien des pays arabes et musulmans (Qatar, Égypte, Émirats arabes unis, Arabie saoudite, Indonésie, Pakistan, Jordanie, Turquie)", conclut Libération.

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17.11.2025 à 12:18

Royaume-Uni : le gouvernement travailliste annonce un durcissement drastique des conditions d’asile

Lou Caubet
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"Le gouvernement travailliste britannique [doit] confirmer, lundi 17 novembre, un durcissement drastique des conditions d’asile au Royaume-Uni", entame Le Monde. Au Royaume-Uni, Shabana Mahmood, ministre britannique de l'Intérieur, s'apprête à annoncer devant le Parlement "des mesures visant à réduire l'aide accordée aux demandeurs d'asile, notamment la fin de la garantie de logement et le retrait de […]

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Texte intégral (1806 mots)
Shabana Mahmood, ministre de l'Intérieur, lors d'une conférence de presse en Avril 2025 - Crédits : UK Government / Flickr CC BY-NC-ND 2.0

"Le gouvernement travailliste britannique [doit] confirmer, lundi 17 novembre, un durcissement drastique des conditions d’asile au Royaume-Uni", entame Le Monde.

Au Royaume-Uni, Shabana Mahmood, ministre britannique de l'Intérieur, s'apprête à annoncer devant le Parlement "des mesures visant à réduire l'aide accordée aux demandeurs d'asile, notamment la fin de la garantie de logement et le retrait de l'aide financière pour les personnes aptes à travailler ou disposant de moyens indépendants" [The Economist]. La dirigeante de 45 ans avait annoncé dès sa nomination qu'"elle serait radicale dans la refonte du système d'immigration britannique", rapporte la BBC. L'objectif de ces réformes d'ampleur vise à rendre "moins attrayante la venue de migrants clandestins en Grande-Bretagne" mais aussi à "[faciliter] l'expulsion de ceux qui se trouvent déjà dans le pays" [Euronews].

Des mesures "historiques"

Les "mesures drastiques", présentées dans les grandes lignes ce week-end, ressemblent à une "révolution dans un pays confronté à une pression migratoire record" [Le Parisien]. Et touchent à l'ensemble de la structure du système migratoire britannique.

Détaillé dans La Libre, "le nouveau système réduira la durée de [droit de] séjour de cinq ans à 30 mois, et multipliera par quatre, de cinq à 20 ans, le délai nécessaire pour demander à devenir résident permanent". "Le Royaume-Uni accorde actuellement l’asile aux personnes qui peuvent prouver qu’elles ne sont pas en sécurité dans leur pays d’origine, le statut de réfugié étant accordé à celles qui sont persécutées", rappelle Euronews.

Le ministère de l'Intérieur, le Home Office, a aussi annoncé sa volonté de mettre un terme à "l'accès automatique aux aides sociales - logement, allocations financières - pour les demandeurs d'asile" complète La Libre.

Enfin, la réforme s'attaque aussi au "billet en or [qui] a fait grimper les demandes d'asile au Royaume-Uni, poussant les gens à traverser l'Europe, via des pays sûrs, pour monter à bord d'embarcations de fortune", selon les propos de la ministre qui souhaite y mettre fin [La Libre]. Ce billet en or désigne, selon le gouvernement travailliste, "les conditions actuelles jugées trop généreuses. Les réfugiés peuvent aujourd’hui demander à s’installer définitivement au Royaume-Uni, sans frais, après cinq ans de présence […]. Un système perçu comme un appel d’air pour les candidats à l’exil" [Le Parisien].

Le changement de paradigme annoncé s'inspire "directement du modèle danois, introduit en 2021 par les sociaux-démocrates et considéré comme l’un des plus restrictifs d’Europe. Les demandes d’asile y ont d’ailleurs considérablement chuté" [Le Monde].

Un sujet qui cristallise les tensions et divise le pays

Ces annonces interviennent dans un climat politique sensible au Royaume-Uni. "L’immigration [y] a dépassé l’économie en tant que principale préoccupation des électeurs selon les sondages, le parti d’extrême droite Reform UK plaçant la question au cœur du débat politique et faisant pression sur le gouvernement pour qu’il adopte une position plus dure" [Euronews].

Des tensions également palpables au sein même du camp travailliste. "[Shabana] Mahmood a rencontré ces dernières semaines des groupes de députés travaillistes" pour défendre sa démarche, explique la BBC. Selon ces derniers, "l'équilibre sera difficile à trouver". La société civile aussi s'inquiète de cette réforme qui pourrait "provoquer 'un nouveau scandale Windrush' et laisser les réfugiés dans une situation d'incertitude quasi permanente", faisant référence à un scandale administratif en 2018 qui a entrainé l'expulsion injustifiée d'une centaine de personnes par le Home Office [The Guardian].

Pour la ministre de l'Intérieur, "fille de ressortissants pakistanais arrivés 'légalement' au Royaume-Uni […], cette réforme vise à l’'équité', alors que cet été, les manifestations se sont multipliées dans le pays contre les hôtels hébergeant des demandeurs d’asile", rappelle Le Monde. "Le nombre des demandeurs d’asile a significativement augmenté ces dernières années au Royaume-Uni. Il est passé à 400 000 pour la période 2021-2025, soit deux fois et demie plus que dix ans plus tôt (pour la période 2011-2015)", poursuit le journal du soir.

Les demandes d’asile au Royaume-Uni "ont [ainsi] bondi de 18 % [l'an passé], alors qu’elles reculaient de 13 % dans l’Union européenne sur la même période", observe Le Parisien. "Avant de convaincre l’opinion publique qu’il a trouvé la martingale contre la migration illégale, le camp travailliste du Premier ministre Keir Starmer va devoir [désormais] persuader son propre camp d’adopter ces réformes", conclut Le Monde.

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14.11.2025 à 12:14

Au Parlement européen, la droite et l'extrême droite s'allient pour revoir les règles environnementales imposées aux entreprises

Lou Caubet
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Un moment "inédit", attaque La Libre. Jeudi 13 novembre 2025, le premier paquet législatif Omnibus, qui allège la charge administrative pesant sur les entreprises dans le cadre du Pacte vert "a été approuvé par 60 % des eurodéputés, dans le cadre d'une majorité alternative associant le Parti populaire européen (PPE) et l'extrême droite", explique le […]

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Texte intégral (1975 mots)
La simplification des obligations imposées aux entreprises a été validée par 382 voix contre 249 - Crédits : Philippe Buissin / Parlement européen

Un moment "inédit", attaque La Libre. Jeudi 13 novembre 2025, le premier paquet législatif Omnibus, qui allège la charge administrative pesant sur les entreprises dans le cadre du Pacte vert "a été approuvé par 60 % des eurodéputés, dans le cadre d'une majorité alternative associant le Parti populaire européen (PPE) et l'extrême droite", explique le quotidien belge.

Ce paquet de simplification concerne les directives sur le devoir de vigilance européen (CS3D) et sur le reporting de durabilité (CSRD). "Ces deux textes permettaient des avancées sur la responsabilité des entreprises en matière de climat, droits humains et environnement, et ont été vidées de leurs substances", pointe L'Humanité, tandis que Ouest-France estime que le texte sur le devoir de vigilance des entreprises (CS3D) a été "détricoté" par des amendements en deçà des ambitions.

Le texte, déjà fortement contesté "par les industriels, mais aussi par plusieurs États membres (dont la France) devient […] la première loi à être adoptée […] par une alliance entre le PPE (droite) et les trois groupes d’extrême droite de l’hémicycle", poursuit le quotidien régional.

Des textes ambitieux mais détricotés au nom de la compétitivité

La directive sur le devoir de vigilance des entreprises (CS3D), pas encore en vigueur, prévoit de responsabiliser les entreprises en rendant leurs activités "conformes aux droits humains, au droit de l'environnement et au droit du travail", rappelle La Libre. Après ce vote, "un nombre encore plus restreint de sociétés devraient rendre compte de leur empreinte environnementale", souligne Politico. "Ces obligations s'appliqueront seulement aux grandes entreprises de plus de 5 000 employés avec un chiffre d'affaires annuel net supérieur à 1,5 milliard d'euros", une position "dans le sillage des États membres", rapporte L'Humanité.

De plus, "les eurodéputés ont supprimé le régime de responsabilité civile européenne, qui servait à harmoniser les obligations des entreprises et leurs responsabilités en cas de manquements" [L'Humanité]. La directive sur les rapports de développement durable des entreprises (CSRD), entrée en vigueur en janvier 2024, oblige certaines entreprises à effectuer des rapports de durabilité. "Selon la position adoptée par les eurodéputés [hier], seules les entreprises employant en moyenne plus de 1 750 salariés et réalisant un chiffre d'affaires annuel net supérieur à 450 millions devront continuer à le faire" [La Libre]. Le seuil avait été fixé à 1 000 employés dans un compromis rejeté le mois dernier [Euractiv].

Ce vote "donne le ton du programme de 'simplification'" de la Commission, estime Politico. Ce paquet Omnibus s'inscrit dans une volonté de "réduire les formalités administratives et de permettre aux entreprises européennes de rivaliser plus facilement avec leurs concurrentes étrangères", poursuit le média. Or le texte sur le devoir de vigilance "entre désormais en contradiction avec la compétitivité recherchée par les États membres et la Commission européenne", constate Ouest-France.

Un "tremblement de terre politique"

Les réactions au Parlement européen ne se sont pas fait attendre, rapporte AEF Info : "D’un côté, un 'choix dangereux pour l’Europe' selon Pascal Canfin (Renew) et un 'cordon sanitaire brisé' pour les Verts ; de l’autre, 'une nouvelle majorité possible en Europe' pour [CRE] et une 'première victoire contre le green deal' pour les Patriotes". Jusqu'à présent, la coopération entre le PPE, les Conservateurs et réformistes européens (CRE) et les Patriotes pour l'Europe était restée "largement symbolique, se limitant à des votes non contraignants" [Euractiv].

Le compromis adopté jeudi fait suite à l'échec des premières négociations avec la coalition centrale en octobre. La Libre rapporte que "le PPE avait trouvé un accord sur la simplification des deux directives avec Renew et le groupe des socialistes et démocrates (S&D), avant que ces derniers ne claquent la porte". Le parti de gauche avait "dénoncé le chantage effectué par le PPE, qui menaçait de s'allier avec l'extrême droite si le S&D n'acceptait pas ses conditions".

La position soutenue par le Parlement européen différant de celle de la Commission européenne et de celle des États membres, les choses sont "amenées à évoluer", complète le média. "Les négociations associant les trois institutions commenceront le 18 novembre, avec pour objectif de réviser les législations avant 2026".

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