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17.09.2025 à 15:27

Les Journées européennes du patrimoine 2025

Rédaction Toute l'Europe
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Chaque année au mois de septembre, le patrimoine français et européen est à l'honneur. Pour cette 42e édition, les Journées européennes du patrimoine se dérouleront les 20 et 21 septembre. Créé en 1984, l'événement s'est largement répandu pour réunir près d'une cinquantaine de pays et attirer entre 20 et 30 millions de visiteurs par an […]

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Texte intégral (1195 mots)
Le thème de l'édition 2025 est "le patrimoine architectural" - Crédits : ministère de la Culture

Chaque année au mois de septembre, le patrimoine français et européen est à l'honneur. Pour cette 42e édition, les Journées européennes du patrimoine se dérouleront les 20 et 21 septembre. Créé en 1984, l'événement s'est largement répandu pour réunir près d'une cinquantaine de pays et attirer entre 20 et 30 millions de visiteurs par an à travers le continent.

Ces journées "ont pour objectif de montrer au plus grand nombre la richesse extraordinaire de notre patrimoine au travers de rendez-vous inédits, de visites insolites et d’ouvertures exceptionnelles", souligne le ministère de la Culture.

Comme chaque année, un thème se dégage. L'édition 2025 mettra ainsi en lumière "le patrimoine architectural".

Comment trouver les événements des Journées européennes du patrimoine ?

En France 🇫🇷 : le ministère de la Culture propose sur son site un outil pour retrouver les événements organisés.

En Europe 🇪🇺 : le site officiel des Journées européennes du patrimoine recensent des événements dans l'ensemble des pays participants.

Une initiative européenne

Les Journées européennes du patrimoine sont aujourd'hui organisées conjointement par le Conseil de l'Europe (une organisation internationale indépendante de l'Union européenne) et la Commission européenne. A l'échelle de la France, c'est le ministère de la Culture qui est chargé de sa mise en œuvre.

L'événement prend d'ailleurs sa source en France il y a 40 ans. En 1984, la première Journée portes ouvertes dans les monuments historiques est lancée par le ministère de la culture français, à l'initiative du ministre Jack Lang.

Lors de la deuxième conférence des ministres européens de la culture en 1985, organisée par le Conseil de l'Europe à Grenade (Espagne), le ministre français propose d'étendre l'initiative au niveau européen. C'est ainsi qu'en 1991, le Conseil de l'Europe officialise les Journées nationales du patrimoine, auxquelles l'UE s'associe.

L’événement prend officiellement le nom de Journées européennes du patrimoine en 2000. Depuis sa création, le succès de ces rencontres ne se dément pas. Le nombre de pays participants et de visiteurs n'a en effet cessé de croître (à l'exception de la période de pandémie de Covid-19).

Quels ont les objectifs des Journées européennes du patrimoine ?

Selon son site officiel, les Journées européennes du patrimoine visent à :

  • sensibiliser les citoyens européens à la richesse et à la diversité culturelle de l’Europe ;
  • créer un climat propice à l’appréciation de la riche mosaïque des cultures européennes ;
  • combattre le racisme et la xénophobie, et favoriser une plus grande tolérance en Europe en transcendant les frontières nationales ;
  • sensibiliser le grand public et les autorités politiques à la nécessité de protéger le patrimoine culturel contre de nouvelles menaces ;
  • sensibiliser le grand public et les autorités politiques à la nécessité de protéger le patrimoine culturel contre de nouvelles menaces ;
  • inviter l’Europe à relever les défis sociaux, politiques et économiques qui l’attendent.

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17.09.2025 à 12:13

Conflit à Gaza : la Commission européenne va proposer des sanctions à l'encontre d'Israël

Eve Bachler
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"La Commission européenne prend les mesures les plus sévères à ce jour pour punir Israël pour sa guerre contre Gaza", affirme Politico dans sa newsletter européenne quotidienne. Ce mercredi 17 septembre, l'exécutif européen doit publier sa proposition de suspendre certaines dispositions commerciales de l'accord entre l'Union européenne et Israël, et dévoiler les sanctions qu'elle compte […]

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Texte intégral (2134 mots)
Mercredi 17 septembre la Commission va proposer des sanctions contre Israël dans le cadre de la guerre à Gaza. Photo du 24 mars 2025 avec le Premier ministre palestinien Mohammad Mustafa, à gauche, et Kaja Kallas à droite - Crédits : Commission européenne
Mercredi 17 septembre, la Commission va proposer des sanctions contre Israël dans le cadre de la guerre à Gaza. Photo du 24 mars 2025 avec le Premier ministre palestinien Mohammad Mustafa et la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas - Crédits : Commission européenne

"La Commission européenne prend les mesures les plus sévères à ce jour pour punir Israël pour sa guerre contre Gaza", affirme Politico dans sa newsletter européenne quotidienne.

Ce mercredi 17 septembre, l'exécutif européen doit publier sa proposition de suspendre certaines dispositions commerciales de l'accord entre l'Union européenne et Israël, et dévoiler les sanctions qu'elle compte prendre à l'encontre des "ministres extrémistes et des colons violents", tel que désignés par Ursula von der Leyen dans son discours sur l'état de l'Union, prononcé le 10 septembre dernier.

Cette annonce intervient "alors que l'armée israélienne a lancé ce mardi [16 septembre] une offensive terrestre majeure à Gaza-ville et qu'à Genève, une commission d'enquête internationale indépendante de l'ONU a accusé Israël de 'génocide' à Gaza", notent Les Echos. Ce n'est "pas la première fois que l'Union européenne considère cette option", rappelle France 24, mais "mettre d'accord 27 États membres avec des relations diverses avec Israël est compliqué", fait observer le média francophone.

Une "rare" suspension d'accords commerciaux

La proposition de suspendre le volet commercial de l'accord d'association UE-Israël est une "mesure très rarement prise par l'Union dans le cadre de ses accords de libre-échange et donc très symbolique", estiment Les Echos. Une suspension que "des pays en pointe en défense des Palestiniens, dont l'Espagne et la Belgique, […] réclamaient de longue date", précise le média économique.

Si la Commission entend ainsi "faire pression sur le gouvernement de Benyamin Netanyahou dans le cadre de sa guerre à Gaza" [Euractiv], il s'agit d'une "suspension (partielle et incertaine) de l'accord d'association", qui "à ce stade", ne "pès[e] pas lourd économiquement", tempère France Inter. Néanmoins, l'Union européenne "est le premier partenaire commercial d'Israël, représentant 32 % des échanges de biens de l'État hébreu avec le reste du monde", précisent Les Echos.

Multiplication des annonces européennes

Les annonces européennes quant aux sanctions à l'encontre d'Israël se sont multipliées depuis le discours sur l'état de l'Union prononcé par la présidente de la Commission le 10 septembre. Jusqu'ici "critiquée pour la pusillanimité de sa réaction face aux agissements d'Israël", la cheffe de l'exécutif européen a "changé de registre lexical, qualifiant la situation d''inacceptable' dans la bande de Gaza", rapportent Les Echos.

Par ailleurs, la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, a confirmé, dans une interview accordée à Euronews, "la stratégie visant à suspendre les dispositions commerciales de l'accord d'association UE-Israël". Il est "certain que cette mesure aurait un coût élevé pour Israël" a déclaré la haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité. Elle a également indiqué que "les échanges commerciaux entre l'UE et Israël s'élevaient à 42,6 milliards d'euros en 2024, et que le traitement préférentiel représentait environ 37 % de ce montant".

Un consensus européen tarde et l'Allemagne résiste

Les mesures proposées doivent encore être approuvées par les États membres de l'Union, un "obstacle difficile à surmonter, compte tenu des profondes divisions au sein du bloc sur la question du Moyen-Orient", observe Politico. En effet, les "sanctions contre les ministres israéliens qualifiés d'extrémistes et les colons violents" nécessitent de réunir "l'unanimité des 27" [France Inter], tandis que la suspension du volet commercial "réclame la majorité qualifiée (15 États membres représentant 65 % de la population de l'Union)" [Les Echos].

Certains États sont déjà favorables aux propositions de la Commission, notamment l'Espagne, l'Irlande, la Belgique et la France, mais le "plus grand obstacle à ce projet est l'Allemagne" qui est "l'un des plus fervents défenseurs d'Israël" [Politico]. La position de la première économie européenne "sera déterminante", déclarent Les Echos, alors que le gouvernement de Friedrich Merz subit d'ores et déjà "les conséquences de sa décision de réduire partiellement les ventes d'armes à Israël", explique Politico.

Jusqu'à présent, l'Allemagne et l'Italie "ont bloqué toutes les propositions au niveau européen" [Euronews]. Mais si l'Allemagne "décide de voter en faveur des sanctions commerciales contre Israël, alors il est probable que l'Italie la suive, ce qui dégagerait une majorité qualifiée", estiment Les Echos. Il faudra cependant attendre le prochain Conseil européen des 23 et 24 octobre à Bruxelles avant d'y voir plus clair.

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16.09.2025 à 18:35

Les coalitions, une pratique courante dans l'Union européenne

Boran Tobelem
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La France se trouve aujourd'hui dans une situation peu coutumière. Depuis les législatives de 2022, aucun camp politique ne possède de majorité absolue à la chambre basse. Et la fragmentation de l'hémicycle s'est largement accrue après le nouveau scrutin de 2024, rendant à la fois plus nécessaire et plus complexe la formation d’une coalition gouvernementale […]

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Texte intégral (2273 mots)
Friedrich Merz - Olaf Scholz
En Allemagne, le gouvernement de coalition du conservateur Friedrich Merz (à droite) associe également les sociaux-démocrates de l'ancien chancelier Olaf Scholz (à gauche) - Crédits : Deutscher Bundestag

La France se trouve aujourd'hui dans une situation peu coutumière. Depuis les législatives de 2022, aucun camp politique ne possède de majorité absolue à la chambre basse. Et la fragmentation de l'hémicycle s'est largement accrue après le nouveau scrutin de 2024, rendant à la fois plus nécessaire et plus complexe la formation d’une coalition gouvernementale en mesure de rassembler un soutien parlementaire suffisant.

Arrivé en tête le 7 juillet 2024, le Nouveau Front populaire (NFP), l'alliance électorale de partis de gauche, compte pour environ un tiers des députés à l'Assemblée nationale (190 sur 577). L'ancienne majorité présidentielle (Renaissance, MoDem et Horizons) rassemble quant à elle 161 élus, contre 138 pour le Rassemblement national (RN) et ses alliés de l'Union des droites pour la République (UDR).

Si la France a connu plusieurs gouvernements de coalition sous la Ve République, ceux-ci se sont généralement constitués entre partis proches idéologiquement, limitant ainsi les divisions politiques majeures au sein de la majorité. Parmi les principales coalitions figurent les gouvernements socialistes de Pierre Mauroy dans les années 1980, la Gauche plurielle sous Lionel Jospin (1997-2002), ainsi que plusieurs majorités rassemblant la droite modérée sous Jacques Chirac et les alliances contemporaines sous la présidence d'Emmanuel Macron.

En revanche, notre pays n’a pas l’habitude de voir des partis adverses s’unir pour former une coalition gouvernementale. Une tradition politique plus courante dans le reste de l'Union européenne, où des partis issus de divers bords politiques, parfois très éloignés, peuvent s'entendre sur un programme commun au préalable. Ce qui ne les empêche pas pour autant de subir des tensions internes, des blocages institutionnels, voire des dissolutions anticipées ou des élections répétées.

Des Européens habitués des coalitions

En France, le scrutin majoritaire à deux tours est censé favoriser l'émergence d'un bloc pouvant gouverner seul, avec le soutien d'une majorité absolue de députés à l'Assemblée nationale. Mais dans la majeure partie des autres États membres de l'Union européenne, les élections législatives ont lieu au scrutin proportionnel à un tour, quelques-uns ayant opté pour des systèmes mixtes. Les partis vainqueurs y sont donc souvent confrontés à une absence de majorité absolue au Parlement.

D'où la nécessité de former des coalitions : dans la quasi-totalité des États de l'UE, c'est aujourd'hui la règle. Seuls la Grèce et Malte, actuellement dirigées par un seul parti, font exception. Dans les autres pays de l'UE, des forces politiques plus ou moins divergentes sont parvenues à s'entendre pour assumer le pouvoir. En voici quelques exemples.

Les coalitions de partis proches, une exception en Europe

Dans quelques pays européens, les coalitions gouvernementales regroupent des partis partageant des affinités idéologiques fortes, ce qui facilite la prise de décisions et la cohésion au sein de l’exécutif. Ces coalitions homogènes, qui caractérisent par exemple les gouvernements espagnol ou italien, sont cependant devenues aujourd'hui des exceptions.

En Espagne, le gouvernement actuel est une coalition de centre gauche dirigée par le socialiste Pedro Sánchez, formée après les élections anticipées de juillet 2023. Il associe le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), le Parti des socialistes de Catalogne (PSC) et l’alliance Sumar, qui regroupe plusieurs partis de gauche et écologistes. Minoritaire au Parlement, il bénéficie du soutien sans participation de partis nationalistes et indépendantistes catalans et basques, ce qui complique cependant la stabilité et la mise en œuvre des réformes.

En Italie, l'exécutif en fonction depuis 2022 regroupe les partis de droite et d'extrême droite Frères d’Italie (FdI), la Ligue (Lega) et Forza Italia (FI). Dirigée par la présidente du Conseil Giorgia Meloni, la coalition détient une majorité absolue au Parlement, avec environ 59 % des sièges à la Chambre des députés. Malgré leurs positions proches sur les sujets sociétaux ou la souveraineté nationale, les partis connaissent des différends sur la question de la guerre en Ukraine et même la gestion des migrations.

Les coalitions hétérogènes en expansion

Pour différentes raisons liées à la fragmentation politique, à la diversification des opinions et au rejet croissant des partis traditionnels, la plupart des pays de l'Union européenne sont actuellement gouvernés par des majorités plus larges, qui associent des partis aux positions parfois éloignées. Cela se traduit par des coalitions hétérogènes, qui nécessitent des compromis importants pour assurer la stabilité gouvernementale et une gouvernance efficace.

En Allemagne par exemple, ce type de coalition est la norme depuis plusieurs décennies. En place depuis mai 2025, le gouvernement du conservateur Friedrich Merz est une grande coalition ("groko") entre l'Union chrétienne-démocrate (CDU/CSU) et le Parti social-démocrate (SPD). Majoritaire, elle réunit des partis de droite modérée et de centre gauche qui, bien que proches sur certains sujets clés comme la stabilité économique et la défense de l'Europe, conservent des divergences. La précédente "groko" avait été dirigée par Angela Merkel (CDU) de 2018 à 2021 : le social-démocrate Olaf Scholz y avait assumé les fonctions de vice-chancelier et ministre des Finances.

En Pologne, Donald Tusk et son parti de centre droit, la Plateforme civique (PO, affiliée au PPE), sont parvenus à déloger la droite ultraconservatrice du pouvoir en octobre 2023. Le parti Droit et justice (PiS, lié aux CRE) dirigeait en effet l'exécutif polonais depuis 2015. Pour gagner, Donald Tusk, ancien président du Conseil européen (2014-2019), a dû s'unir avec plusieurs partis allant du centre droit à la gauche, avec lesquels il gouverne aujourd'hui.

En Belgique, le nationaliste flamand Bart De Wever (N-VA) dirige depuis février 2025 une coalition gouvernementale dite "Arizona", composée des socialistes flamands de Vooruit, des chrétiens-démocrates flamands (CD&V), ainsi que les libéraux francophones des Engagés et du Mouvement réformateur (MR). L’accord de coalition prévoit notamment une augmentation du revenu minimum garanti, une réduction des cotisations sociales, un maintien du gel des salaires jusqu’en 2027 ainsi qu'un renforcement des dépenses militaires à 2 % du PIB d’ici 2029.

En cas de minorité parlementaire, les gouvernements doivent généralement obtenir le soutien supplémentaire de partis non membres de l'exécutif mais qui s'engagent, sous certaines conditions (réformes, autres postes clés…), à ne pas faire tomber le gouvernement. C'est par exemple le cas de la Suède, où l'exécutif formé en octobre 2022 est composé du Parti modéré, des Chrétiens-démocrates et des Libéraux, avec le soutien sans participation des Démocrates de Suède, principal parti d’extrême droite. Dirigée par le Premier ministre conservateur Ulf Kristersson, la coalition dispose ainsi d’une majorité étroite au Riksdag, le Parlement suédois, ce qui n'est pas sans susciter des débats et des tensions internes sur plusieurs sujets sociaux et politiques.

Mentionnons enfin les Pays-Bas, où le gouvernement démissionnaire est dirigé par l'ancien chef des services secrets Dick Schoof, sans affiliation partisane. Le haut-fonctionnaire y a dirigé, de juillet 2024 à juin 2025, une coalition allant du centre droit à l'extrême droite. Composée du Parti pour la liberté (PVV, extrême droite), du Parti populaire pour la liberté et la démocratie (VVD, centre droit), du Nouveau Contrat social (NSC, centre droit) et du Mouvement agriculteur-citoyen (BBB, droite), elle a éclaté le 3 juin 2025 avec le départ du PVV, en raison de désaccords sur la politique migratoire. Des élections anticipées sont prévues pour octobre.

Au Parlement européen aussi, une fragmentation en hausse

Élus au scrutin proportionnel à un tour, les députés européens doivent d'abord s'entendre pour approuver la Commission européenne et son programme tous les cinq ans, en début de mandat. Ils sont ensuite obligés de nouer des compromis, au cas par cas, entre différentes forces politiques pour adopter les législations européennes.

Au Parlement européen, aucun groupe parlementaire n'a jamais obtenu la majorité absolue des sièges à lui seul. Jusqu'en 2019, les conservateurs (PPE) et les sociaux-démocrates (S&D) l'atteignaient conjointement, sans aucun autre groupe, et n'avaient souvent besoin de négocier qu'entre eux pour adopter des textes. Mais depuis les élections européennes de 2019 et davantage encore après celles de 2024, l'hémicycle s'est fragmenté. Les législations nécessitent désormais l'approbation d'au moins trois groupes (le plus souvent les conservateurs du PPE, les sociaux-démocrates de S&D et les libéraux de Renew).

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