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21.12.2025 à 17:37

CAN 2025 : grand match d'ouverture Maroc-Comores ce dimanche

FRANCE24
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Cédric Ferreira est en direct de Rabat.
Cédric Ferreira est en direct de Rabat.

21.12.2025 à 17:35

Afrique du Sud : des hommes armés tuent neuf personnes dans l'attaque d'un bar

FRANCE24
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Des hommes armés ont ouvert le feu dans un bar près de Johannesburg, tuant neuf personnes et faisant 10 blessés, a annoncé dimanche la police sud-africaine, la seconde tuerie de ce genre dans le pays ce mois-ci.
Des hommes armés ont ouvert le feu dans un bar près de Johannesburg, tuant neuf personnes et faisant 10 blessés, a annoncé dimanche la police sud-africaine, la seconde tuerie de ce genre dans le pays ce mois-ci.

21.12.2025 à 17:07

Biathlon: Jeanmonnot conclut une folle semaine au Grand-Bornand par une 2e place

FRANCE24
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Deuxième du sprint, première de la poursuite et deuxième dimanche: "Je pouvais difficilement faire mieux. Ce sont des courses quasi pleines", a savouré la Franc-Comtoise de 27 ans, un an après son passage raté en Haute-Savoie, où elle n'avait pas fait mieux que 14e. Dimanche, lors du dernier tir debout de la mass start, Lou Jeanmonnot et Justine Braisaz-Bouchet, amies et coéquipières, sont arrivées ensemble avec une petite avance et un 15/15 derrière la carabine. Les deux Françaises ont toutefois commis une faute (19/20 au total) alors que la Norvégienne Maren Kirkeeide a blanchi ses cinq cibles (19/20 aussi). Toutes les trois se sont élancées dans la dernière boucle de 2,5 km avec une quinzaine de secondes de retard sur Camille Bened, parfaite derrière la carabine (20/20). Kirkeeide a été la première à revenir et à dépasser Bened, puis "JBB" et Jeanmonnot. "Une semaine qui marque" "Quand Maren (Kirkeeide) est partie et qu'on s'était rapprochés suffisamment de Camille (Bened), je lui ai laissé trop de mètres. Je n'avais pas entendu que Lou (Jeanmonnot) était derrière dans mes skis", a raconté Justine Braisaz-Bouchet. "On ne s'est pas aidées, c'est ça qui est un peu frustrant, parce que si on avait été malignes, on aurait peut-être pu faire mieux", a regretté Jeanmonnot. Dans la dernière ligne droite, la Norvégienne a pu conserver sa première place, avec moins d'une seconde d'avance sur Jeanmonnot (+0.3) et Braisaz-Bouchet (+0.8), Camille Bened franchissant la ligne d'arrivée à la 4e place. Après ce week-end quasi parfait, Lou Jeanmonnot quitte le Grand-Bornand avec le dossard jaune de leader de la Coupe du monde, avec 68 points d'avance sur Kirkeeide (481 contre 413). "Quoi qu'il arrive, c'est une semaine qui marque, car jusqu'à présent elle butait sur cette étape. Là, elle est montée trois fois sur la +boîte+, dont aujourd'hui avec le maillot jaune qui faisait partie des choses qui lui trottaient dans la tête", explique l'entraîneur du groupe féminin Cyril Burdet. Perrot veut taper "plus fort" Dans l'après-midi, Éric Perrot a pris la 2e place de la mass start (15 km) avec un sans-faute au tir, devancé par l'Italien Tommaso Giacomel. "Aujourd'hui, je me suis senti quasiment imbattable", a savouré l'Italien, parti à la faute lors du premier tir couché mais inarrêtable sur les skis. Il s'agit du troisième podium individuel cet hiver pour Perrot après sa deuxième place en sprint et sa victoire en poursuite la semaine dernière à Hochfilzen (Autriche). Cette semaine, dans la station haut-savoyarde, il a pris la 8e place du sprint, la 4e de la poursuite et la 2e de la mass start. "La régularité était un mot-clé de ce début de saison. Maintenant, j'ai envie de taper un peu plus fort", a assuré l'ambitieux Perrot, candidat au gros globe. Grâce à ces résultats constants, il conforte sa deuxième place au classement général de la Coupe du monde, 113 points derrière le Norvégien Johan-Olav Botn (560 contre 447), 5e dimanche de la mass start. Giacomel revient sur ses talons, avec 431 points. "Botn a été plus fort et le classement général le montre. Mais je suis bien positionné, je sais qu'il y aura des opportunités et je serai là pour les prendre", a affirmé le Savoyard de 24 ans. La prochaine étape de Coupe du monde se déroule à Oberhof, dans l'est de l'Allemagne, début janvier, avec un sprint (le 9) et une poursuite (le 11), entrecoupés d'un relais (le 10).
Texte intégral (596 mots)
Deuxième du sprint, première de la poursuite et deuxième dimanche: "Je pouvais difficilement faire mieux. Ce sont des courses quasi pleines", a savouré la Franc-Comtoise de 27 ans, un an après son passage raté en Haute-Savoie, où elle n'avait pas fait mieux que 14e. Dimanche, lors du dernier tir debout de la mass start, Lou Jeanmonnot et Justine Braisaz-Bouchet, amies et coéquipières, sont arrivées ensemble avec une petite avance et un 15/15 derrière la carabine. Les deux Françaises ont toutefois commis une faute (19/20 au total) alors que la Norvégienne Maren Kirkeeide a blanchi ses cinq cibles (19/20 aussi). Toutes les trois se sont élancées dans la dernière boucle de 2,5 km avec une quinzaine de secondes de retard sur Camille Bened, parfaite derrière la carabine (20/20). Kirkeeide a été la première à revenir et à dépasser Bened, puis "JBB" et Jeanmonnot. "Une semaine qui marque" "Quand Maren (Kirkeeide) est partie et qu'on s'était rapprochés suffisamment de Camille (Bened), je lui ai laissé trop de mètres. Je n'avais pas entendu que Lou (Jeanmonnot) était derrière dans mes skis", a raconté Justine Braisaz-Bouchet. "On ne s'est pas aidées, c'est ça qui est un peu frustrant, parce que si on avait été malignes, on aurait peut-être pu faire mieux", a regretté Jeanmonnot. Dans la dernière ligne droite, la Norvégienne a pu conserver sa première place, avec moins d'une seconde d'avance sur Jeanmonnot (+0.3) et Braisaz-Bouchet (+0.8), Camille Bened franchissant la ligne d'arrivée à la 4e place. Après ce week-end quasi parfait, Lou Jeanmonnot quitte le Grand-Bornand avec le dossard jaune de leader de la Coupe du monde, avec 68 points d'avance sur Kirkeeide (481 contre 413). "Quoi qu'il arrive, c'est une semaine qui marque, car jusqu'à présent elle butait sur cette étape. Là, elle est montée trois fois sur la +boîte+, dont aujourd'hui avec le maillot jaune qui faisait partie des choses qui lui trottaient dans la tête", explique l'entraîneur du groupe féminin Cyril Burdet. Perrot veut taper "plus fort" Dans l'après-midi, Éric Perrot a pris la 2e place de la mass start (15 km) avec un sans-faute au tir, devancé par l'Italien Tommaso Giacomel. "Aujourd'hui, je me suis senti quasiment imbattable", a savouré l'Italien, parti à la faute lors du premier tir couché mais inarrêtable sur les skis. Il s'agit du troisième podium individuel cet hiver pour Perrot après sa deuxième place en sprint et sa victoire en poursuite la semaine dernière à Hochfilzen (Autriche). Cette semaine, dans la station haut-savoyarde, il a pris la 8e place du sprint, la 4e de la poursuite et la 2e de la mass start. "La régularité était un mot-clé de ce début de saison. Maintenant, j'ai envie de taper un peu plus fort", a assuré l'ambitieux Perrot, candidat au gros globe. Grâce à ces résultats constants, il conforte sa deuxième place au classement général de la Coupe du monde, 113 points derrière le Norvégien Johan-Olav Botn (560 contre 447), 5e dimanche de la mass start. Giacomel revient sur ses talons, avec 431 points. "Botn a été plus fort et le classement général le montre. Mais je suis bien positionné, je sais qu'il y aura des opportunités et je serai là pour les prendre", a affirmé le Savoyard de 24 ans. La prochaine étape de Coupe du monde se déroule à Oberhof, dans l'est de l'Allemagne, début janvier, avec un sprint (le 9) et une poursuite (le 11), entrecoupés d'un relais (le 10).

21.12.2025 à 16:29

Macron annonce la construction d'un nouveau porte-avions pour 2038

FRANCE24
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Analyse du discours du Président par notre éditorialiste David Delos.
Texte intégral (596 mots)
Analyse du discours du Président par notre éditorialiste David Delos.

21.12.2025 à 16:27

Macron donne le coup d'envoi de la construction du futur porte-avions, remplaçant du Charles de Gaulle

FRANCE24
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"Conformément aux deux dernières lois de programmation militaire, et après un examen complet et minutieux, j'ai décidé de doter la France d'un nouveau porte-avions", a annoncé le chef de l'État français lors du Noël avec les troupes à Abou Dhabi. L'annonce du lancement officiel de la construction était très attendue malgré l'impasse budgétaire dans laquelle se trouve le gouvernement, alors que le mur d'investissements nécessaires et l'évolution des menaces mettent le projet sous pression. Ce lancement va permettre de passer tous les contrats nécessaires à la réalisation du projet, relève-t-on à l'Élysée. "Je serai le garant de cet engagement" envers les 800 fournisseurs chargés du projet, a ainsi souligné Emmanuel Macron, en précisant qu'il se rendrait sur le chantier de construction en février. "Ce nouveau porte-avions sera l'illustration de la puissance de notre nation, puissance de l'industrie, de la technique, puissance au service de la liberté sur les mers et dans les remous du temps", a-t-il martelé. Lui aussi à propulsion nucléaire, le nouveau porte-avions sera beaucoup plus massif que l'actuel. Il fera près de 80.000 tonnes pour environ 310 mètres de long, contre 42.000 tonnes pour 261 mètres pour le Charles De Gaulle. Avec un équipage de 2.000 marins, il pourra embarquer 30 avions de combat. Le risque d'un "choc dans trois, quatre ans" face à la Russie évoqué par les armées fait craindre que les budgets ne filent vers des priorités plus pressantes. De récents propos du chef d'état-major des armées, le général Fabien Mandon, jugeant qu'on "ne peut pas se contenter de reproduire un outil qui a été conçu à la moitié du siècle dernier", semblent mettre aussi en question le concept du porte-avions. Le général a notamment souligné le "besoin de permanence à la mer" du bâtiment et sa capacité d'emport de "drones de tous types". Un seul bâtiment, en l'occurrence le Charles De Gaulle, est disponible 65% du temps, selon la Marine. Un décalage de la construction et donc de l'entrée en service de son successeur laisserait la Marine sans porte-avions. Une étude menée à l'occasion du prochain arrêt technique majeur du Charles De Gaulle permettra de dire en 2029 si le bâtiment peut être prolongé de quelques années au-delà de 2038, en fonction de l'état de ses chaufferies nucléaires et de sa structure.
Lire plus (407 mots)
"Conformément aux deux dernières lois de programmation militaire, et après un examen complet et minutieux, j'ai décidé de doter la France d'un nouveau porte-avions", a annoncé le chef de l'État français lors du Noël avec les troupes à Abou Dhabi. L'annonce du lancement officiel de la construction était très attendue malgré l'impasse budgétaire dans laquelle se trouve le gouvernement, alors que le mur d'investissements nécessaires et l'évolution des menaces mettent le projet sous pression. Ce lancement va permettre de passer tous les contrats nécessaires à la réalisation du projet, relève-t-on à l'Élysée. "Je serai le garant de cet engagement" envers les 800 fournisseurs chargés du projet, a ainsi souligné Emmanuel Macron, en précisant qu'il se rendrait sur le chantier de construction en février. "Ce nouveau porte-avions sera l'illustration de la puissance de notre nation, puissance de l'industrie, de la technique, puissance au service de la liberté sur les mers et dans les remous du temps", a-t-il martelé. Lui aussi à propulsion nucléaire, le nouveau porte-avions sera beaucoup plus massif que l'actuel. Il fera près de 80.000 tonnes pour environ 310 mètres de long, contre 42.000 tonnes pour 261 mètres pour le Charles De Gaulle. Avec un équipage de 2.000 marins, il pourra embarquer 30 avions de combat. Le risque d'un "choc dans trois, quatre ans" face à la Russie évoqué par les armées fait craindre que les budgets ne filent vers des priorités plus pressantes. De récents propos du chef d'état-major des armées, le général Fabien Mandon, jugeant qu'on "ne peut pas se contenter de reproduire un outil qui a été conçu à la moitié du siècle dernier", semblent mettre aussi en question le concept du porte-avions. Le général a notamment souligné le "besoin de permanence à la mer" du bâtiment et sa capacité d'emport de "drones de tous types". Un seul bâtiment, en l'occurrence le Charles De Gaulle, est disponible 65% du temps, selon la Marine. Un décalage de la construction et donc de l'entrée en service de son successeur laisserait la Marine sans porte-avions. Une étude menée à l'occasion du prochain arrêt technique majeur du Charles De Gaulle permettra de dire en 2029 si le bâtiment peut être prolongé de quelques années au-delà de 2038, en fonction de l'état de ses chaufferies nucléaires et de sa structure.
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