Lien du flux RSS
Chaîne de service public - Actualité internationale.

▸ les 15 dernières parutions

06.12.2025 à 19:13

L1: Lens verrouille sa première place à Nantes

FRANCE24
img
Avec 34 points, les Nordistes sont assurés de rester devant le Paris SG (30 pts) qui reçoit Rennes en soirée. Nantes reste, lui, 16e et barragiste virtuel avec 11 points, devançant à la différence des buts Metz, qui joue chez la lanterne rouge, Auxerre, dimanche. Pendant les 35 première minutes, Lens a régné en maître sur la pelouse de la Beaujoire et aurait sans doute pu faire la différence à ce moment-là. Les centres, qu'ils soient dans le jeu ou sur coups de pied arrêtés, ont été leur arme fatale. Anthony Lopes a ainsi dû s'employer sur une tête de Malang Sarr au premier poteau, sur corner (6e), et pour repousser un extérieur du droit d'Odsonne Edouard (13e), qui s'était joué de Nicolas Cozza, Tylel Taty et Chidozie Awaziem, au coin des six mètres, après un service dosé de Florian Thauvin. Et après toutes ces alertes, Nantes a fini par craquer après avoir laissé Ruben Aguilar complètement seul, près de la ligne de touche droite, à plus de 30 mètres du but. Mais pour un centreur de la qualité de l'éphémère international français (1 sélection), cela a suffi à adresser un centre parfait, repris de la tête par Thauvin, complètement lâché au marquage par Kelvin Amian pour ouvrir le score (1-0, 34e). Révolte nantaise Le deuxième but, même s'il est venu sur une transition offensive et pas une action posée, présente quelques similitudes. Bien décalé à gauche, Matthieu Udol a adressé un très long centre qui a trouvé au deuxième poteau Wesley Saïd, lancé, qui a redonné l'avantage aux siens (2-1, 81e). Un but pas illogique, d'autant que le joueur formé à Rennes, avait été le Lensois le plus dangereux avec une tête trop décroisée (59e), et un but, à nouveau sur corner, refusé pour hors-jeu (77e). Mais un but cruel quand même pour Nantes qui avait montré une saine révolte après l'ouverture du score. Si elle n'avait pas effacé tous les manques techniques dans les choix ou la réalisation des passes, elle reste peut-être porteuse d'un petit espoir. Sans surprise, cette révolte a eu le visage de Matthis Abline, auteur de la première frappe cadrée nantaise sur une belle reprise lointaine, mais sans réel danger (30e) et qui a surtout obtenu le pénalty de l'égalisation deux minutes après l'ouverture du score, fauché par Ismaelo Ganiou. Chargé de la sentence, Youssef El Arabi a très mal tiré le pénalty mais il a bien suivi quand Robin Risser a repoussé, pour égaliser (1-1, 38e). Malgré sa grosse activité et ses provocations constantes balle au pied, Abline a cependant manqué de précision dans le dernier geste (52e, 56e) et été encore une fois bien seul devant, d'autant que les Canaris ont perdu leur jeune ailier Herba Guirassy sur claquage dès la 43e minute.

06.12.2025 à 19:11

Mondial-2026: La France jouera ses trois premiers matches à New York, Philadelphie et Boston

FRANCE24
img
Si les Bleus finissent premiers du groupe I, ils resteront sur la côte Est, lors de la quasi-totalité de la phase suivante, avec une adversité vouée à monter en gamme pour peu que les cadors censés croiser leur route tiennent leur rang en sortant également vainqueurs de leur poule. Ainsi, après un 16e de finale à New York contre un des huit meilleurs 3e, se profileraient possiblement l'Allemagne en hutième à Philadelphie puis les Pays-Bas en quarts à Boston. Seule la demi-finale, potentiellement face aux champions d'Europe espagnols, obligerait les Tricolores à un déplacement de plusieurs heures en avion pour rallier Dallas, au Texas (centre-sud), avant une finale comme un possible remake de 2022 face à l'Argentine tenante du titre, de nouveau à New York, au Metlife Stadium. Sur les plans pratiques, logistiques mais aussi économiques et en matière de fatigue comme d'empreinte environnementale, le calendrier dévoilé par la Fifa est particulièrement arrangeant pour l'équipe de Didier Deschamps, qui disputera aux Etats-Unis (Amérique du Nord) sa quatrième phase finale d'un Mondial dans la peau du sélectionneur. La première décision qui lui incombe désormais avec son staff et le président de la FFF, Philippe Diallo, est de trouver le camp de base où la délégation complète élira domicile le temps du tournoi. Or en tant que tête de série, la France est prioritaire pour établir son choix, qui devra être signifié à la Fifa avant le 9 janvier. Par bien des aspects, la région de New York semble cocher toutes les cases. D'abord pour les trajets: il faut environ 1h30 de route ou de train pour aller à Philadelphie et 1h15 de vol pour rejoindre Boston. De quoi ménager les organismes, ce qui pourrait compter au bout de cinq semaines de tournoi (11 juin - 19 juillet). Les Bleus pourraient en revanche pâtir des grandes chaleurs estivales qui n'épargnent pas le nord-est des Etats-Unis, avec des températures et une humidité éprouvantes comme ont pu le constater pas mal de joueurs attendus dans le groupe des 23 ayant participé au Mondial des clubs cet été. Et les horaires des trois matches des Bleus dans des stades non couverts, donc non climatisés, n'arrangeront rien: ils joueront contre le Sénégal à 15h00 locales (21h00 françaises), contre le barragiste encore inconnu à 17h00 (23h00) et contre la Norvège à 15h00 (21h00).

06.12.2025 à 18:52

Mondial 2026 : où la France jouera-t-elle ses trois premiers matches ?

FRANCE 24
img
La Fifa a dévoilé, samedi, le calendrier des Bleus au Mondial 2026 : Sénégal à New York le 16 juin, barragiste à Philadelphie le 22, Norvège à Boston le 26. En cas de première place, la France resterait sur la côte Est jusqu'aux phases finales.
Lire plus (403 mots)
La Fifa a dévoilé, samedi, le calendrier des Bleus au Mondial 2026 : Sénégal à New York le 16 juin, barragiste à Philadelphie le 22, Norvège à Boston le 26. En cas de première place, la France resterait sur la côte Est jusqu'aux phases finales.

06.12.2025 à 18:47

Champions Cup: l'UBB démarre fort en renversant les Bulls

FRANCE24
img
Hormis un passage à vide avant la pause qui a permis aux Sud-Africains d'inscrire deux essais rapprochés et de mener (33-22), les hommes de Yannick Bru ont parfaitement dompté ce déplacement à haut risque, du fait de la chaleur (27°), de l'altitude (1300 m d'altitude), et de la puissance reconnue des Bulls avec leur pléiade de Springboks de retour. Dans les faits, c'est un véritable exploit qu'ont réalisé Maxime Lucu et ses coéquipiers dans ce Loftus Versfeld maudit jusque-là pour toutes les équipes françaises, sélection ou clubs confondus. En inscrivant 7 essais, avec un 24-0 sur la deuxième période, ils ont prouvé leur attachement à cette compétition qui les a consacrés en mai dernier et qu'ils n'ont pas envie de lâcher de sitôt. La dernière visite de l'UBB à Pretoria en janvier 2024 avait généré 86 points (46-40 pour les Bulls). Il y en a eu moins cette fois mais les Girondins se satisferont de l'issue, ces cinq points qui les lancent idéalement. Surchauffe passagère Attendue, la +Patrouille de France+ enfin recomposée avec Yoram Moefana de retour, n'a pas été tout le temps en veine mais elle a pu compter sur un Matthieu Jalibert inspiré dès l'entame et décisif sur les essais de Damian Penaud (4) et Louis Bielle-Biarrey (11). Peut-être en surchauffe passées les vingt premières minutes alors qu'elle menait 19-14 après l'essai sur combinaison en touche de Maxime Lamothe, l'UBB a commencé à reculer sur les impacts sudistes, cliniques avec leurs cinq essais inscrits à la pause par De Klerk (8), Ludwig (20), A. van der Merwe (25), Moodie (37) et Rudolph (39), laissant craindre pour la suite. En fait, il n'en fût rien. Bien aidé par l'indiscipline locale - cartons jaune pour Kriel (42) et Pollard (52) pour antijeu - le champion en titre a campé dans les 22 m locaux en ne se montrant pas tout de suite efficace. Par trois fois, les Bordelais ont franchi la ligne sans parvenir à marquer. Mais à l'usure, avec un gros rythme proposé, ils sont revenus dans le match - essai de Boris Palu (49), pas loin d'être l'homme du match - avant d'accélérer après l'heure de jeu et de marquer trois nouveaux essais par Bielle-Biarrey (61), Jalibert (69) et Salesi Rayasi (71) pour un succès remarquable et surement fondateur, eux qui restaient sur deux revers en Top 14.
Lire plus (396 mots)
Hormis un passage à vide avant la pause qui a permis aux Sud-Africains d'inscrire deux essais rapprochés et de mener (33-22), les hommes de Yannick Bru ont parfaitement dompté ce déplacement à haut risque, du fait de la chaleur (27°), de l'altitude (1300 m d'altitude), et de la puissance reconnue des Bulls avec leur pléiade de Springboks de retour. Dans les faits, c'est un véritable exploit qu'ont réalisé Maxime Lucu et ses coéquipiers dans ce Loftus Versfeld maudit jusque-là pour toutes les équipes françaises, sélection ou clubs confondus. En inscrivant 7 essais, avec un 24-0 sur la deuxième période, ils ont prouvé leur attachement à cette compétition qui les a consacrés en mai dernier et qu'ils n'ont pas envie de lâcher de sitôt. La dernière visite de l'UBB à Pretoria en janvier 2024 avait généré 86 points (46-40 pour les Bulls). Il y en a eu moins cette fois mais les Girondins se satisferont de l'issue, ces cinq points qui les lancent idéalement. Surchauffe passagère Attendue, la +Patrouille de France+ enfin recomposée avec Yoram Moefana de retour, n'a pas été tout le temps en veine mais elle a pu compter sur un Matthieu Jalibert inspiré dès l'entame et décisif sur les essais de Damian Penaud (4) et Louis Bielle-Biarrey (11). Peut-être en surchauffe passées les vingt premières minutes alors qu'elle menait 19-14 après l'essai sur combinaison en touche de Maxime Lamothe, l'UBB a commencé à reculer sur les impacts sudistes, cliniques avec leurs cinq essais inscrits à la pause par De Klerk (8), Ludwig (20), A. van der Merwe (25), Moodie (37) et Rudolph (39), laissant craindre pour la suite. En fait, il n'en fût rien. Bien aidé par l'indiscipline locale - cartons jaune pour Kriel (42) et Pollard (52) pour antijeu - le champion en titre a campé dans les 22 m locaux en ne se montrant pas tout de suite efficace. Par trois fois, les Bordelais ont franchi la ligne sans parvenir à marquer. Mais à l'usure, avec un gros rythme proposé, ils sont revenus dans le match - essai de Boris Palu (49), pas loin d'être l'homme du match - avant d'accélérer après l'heure de jeu et de marquer trois nouveaux essais par Bielle-Biarrey (61), Jalibert (69) et Salesi Rayasi (71) pour un succès remarquable et surement fondateur, eux qui restaient sur deux revers en Top 14.

06.12.2025 à 18:43

Commission d'enquête sur l'islamisme: LFI "n'acceptera jamais l'entrisme religieux", assure Mélenchon

FRANCE24
img
Reconnaissant "l'existence d'une menace islamiste au milieu de bien d'autres", le tribun de 74 ans a estimé que son mouvement avait déjà été "innocenté" par les travaux de la commission. Parmi "tous les responsables de services de renseignement que vous avez entendus, aucun ne dit qu'il y a un lien entre nous et les islamistes", a-t-il affirmé. Il a aussi fait référence à l'audition des auteurs d'un rapport sur l'entrisme des Frères musulmans. "Il n’a pas été mis en évidence, à notre connaissance, dans la doctrine de la mouvance française, de documents visant l’islamisation à court ou moyen terme" en France, avait relevé l'un des deux auteurs, Pascal Courtade, devant les parlementaires. La mise en place de cette commission d'enquête a connu de nombreux soubresauts et provoqué de vives réactions dans la classe politique notamment car elle ne comporte aucun élu issu de la gauche dans son bureau (président, vices-présidents, secrétaires...). Xavier Breton a tenté samedi de convaincre qu'elle ne vise "pas un parti en particulier", alors que LFI se sent particulièrement ciblée. L'audition de Jean-Luc Mélenchon lui aura en tout cas permis de développer son point de vue sur la laïcité de l'Etat, garantie par la loi de 1905, une question "fondatrice" à ses yeux. Il a expliqué "avoir évolué" sur la question et "renoncé à une forme d'anticléricalisme grossier" au fil des rencontres de sa vie, et non pas par clientélisme électoral à l'égard d'une population musulmane comme l'en accusent ses détracteurs. "L'Etat est laïc", "pas la rue" Il a mis en garde le rapporteur, le ciottiste Matthieu Bloch, contre la tentation à droite et à l'extrême droite de vouloir réglementer des pratiques religieuses, interdire le port du voile dans la rue ou la pratique du jeûne. "Bien sûr, il y a des gens qui (le) mettent sur la tête comme un signal religieux. A nous de faire preuve de discernement. C'est l'État qui est laïc en France, ce n'est pas la rue et les adultes s'habillent comme ils l'entendent", a-t-il plaidé. Quant aux mineurs, "la loi reconnaît à chaque parent le droit de transmettre ses valeurs à ses enfants", a-t-il fait valoir. Et quid de la circoncision ? s'est-t-il interrogé. Confronté aux accusations d'antisémitisme de son mouvement par la députée Renaissance Prisca Thévenot, il les a balayées, faisant part de son "agacement de devoir sans cesse montrer patte blanche devant des inquisiteurs de circonstance". Après Jean-Luc Mélenchon, la commission a entendu le ministre de la Justice Gérald Darmanin qui n'a évoqué ni LFI ni d'autres partis dans son audition, mettant l'accent sur la radicalisation en général, notamment en prison. La commission, qui doit prochainement terminer ses travaux, a auditionné une trentaine de personnes dont des universitaires, des sondeurs, le directeur du renseignement de la préfecture de police de Paris et le ministre de l'Intérieur Laurent Nuñez. Outre M. Mélenchon, la seule cheffe de parti convoquée a été Marine Tondelier. La patronne des Ecologistes a accusé mardi la commission de "nourrir ce climat de suspicion permanente qui pèse sur un trop grand nombre de nos compatriotes en raison d’une appartenance réelle ou supposée à une religion, en l’occurrence l’islam".
Texte intégral (560 mots)
Reconnaissant "l'existence d'une menace islamiste au milieu de bien d'autres", le tribun de 74 ans a estimé que son mouvement avait déjà été "innocenté" par les travaux de la commission. Parmi "tous les responsables de services de renseignement que vous avez entendus, aucun ne dit qu'il y a un lien entre nous et les islamistes", a-t-il affirmé. Il a aussi fait référence à l'audition des auteurs d'un rapport sur l'entrisme des Frères musulmans. "Il n’a pas été mis en évidence, à notre connaissance, dans la doctrine de la mouvance française, de documents visant l’islamisation à court ou moyen terme" en France, avait relevé l'un des deux auteurs, Pascal Courtade, devant les parlementaires. La mise en place de cette commission d'enquête a connu de nombreux soubresauts et provoqué de vives réactions dans la classe politique notamment car elle ne comporte aucun élu issu de la gauche dans son bureau (président, vices-présidents, secrétaires...). Xavier Breton a tenté samedi de convaincre qu'elle ne vise "pas un parti en particulier", alors que LFI se sent particulièrement ciblée. L'audition de Jean-Luc Mélenchon lui aura en tout cas permis de développer son point de vue sur la laïcité de l'Etat, garantie par la loi de 1905, une question "fondatrice" à ses yeux. Il a expliqué "avoir évolué" sur la question et "renoncé à une forme d'anticléricalisme grossier" au fil des rencontres de sa vie, et non pas par clientélisme électoral à l'égard d'une population musulmane comme l'en accusent ses détracteurs. "L'Etat est laïc", "pas la rue" Il a mis en garde le rapporteur, le ciottiste Matthieu Bloch, contre la tentation à droite et à l'extrême droite de vouloir réglementer des pratiques religieuses, interdire le port du voile dans la rue ou la pratique du jeûne. "Bien sûr, il y a des gens qui (le) mettent sur la tête comme un signal religieux. A nous de faire preuve de discernement. C'est l'État qui est laïc en France, ce n'est pas la rue et les adultes s'habillent comme ils l'entendent", a-t-il plaidé. Quant aux mineurs, "la loi reconnaît à chaque parent le droit de transmettre ses valeurs à ses enfants", a-t-il fait valoir. Et quid de la circoncision ? s'est-t-il interrogé. Confronté aux accusations d'antisémitisme de son mouvement par la députée Renaissance Prisca Thévenot, il les a balayées, faisant part de son "agacement de devoir sans cesse montrer patte blanche devant des inquisiteurs de circonstance". Après Jean-Luc Mélenchon, la commission a entendu le ministre de la Justice Gérald Darmanin qui n'a évoqué ni LFI ni d'autres partis dans son audition, mettant l'accent sur la radicalisation en général, notamment en prison. La commission, qui doit prochainement terminer ses travaux, a auditionné une trentaine de personnes dont des universitaires, des sondeurs, le directeur du renseignement de la préfecture de police de Paris et le ministre de l'Intérieur Laurent Nuñez. Outre M. Mélenchon, la seule cheffe de parti convoquée a été Marine Tondelier. La patronne des Ecologistes a accusé mardi la commission de "nourrir ce climat de suspicion permanente qui pèse sur un trop grand nombre de nos compatriotes en raison d’une appartenance réelle ou supposée à une religion, en l’occurrence l’islam".
5 / 15

 

  GÉNÉRALISTES
Basta
Blast
L'Autre Quotidien
Alternatives Eco.✝
Le Canard Enchaîné
La Croix
Le Figaro
France 24
France-Culture
FTVI
HuffPost
L'Humanité
LCP / Public Senat
Le Media
Le Monde
Libération
Mediapart
La Tribune
 
  EUROPE ‧ RUSSIE
Courrier Europe Centrale
Desk-Russie
Euractiv
Euronews
Toute l'Europe
 
  Afrique du Nord ‧ Proche-Orient
Haaretz
Info Asie
Inkyfada
Jeune Afrique
Kurdistan au féminin
L'Orient - Le Jour
Orient XXI
Rojava I.C
 
  INTERNATIONAL
CADTM
Courrier International
Equaltimes
Global Voices
I.R.I.S
The New-York Times
 
  OSINT ‧ INVESTIGATION
OFF Investigation
OpenFacto°
Bellingcat
Disclose
Global.Inv.Journalism
 
  MÉDIAS D'OPINION
AOC
Au Poste
Cause Commune
CrimethInc.
Hors-Serie
L'Insoumission
Là-bas si j'y suis
Les Jours
LVSL
Médias Libres
Politis
Quartier Général
Rapports de force
Reflets
Reseau Bastille
Rézo
StreetPress
 
  OBSERVATOIRES
Armements
Acrimed
Catastrophes naturelles
Conspis
Culture
Curation IA
Extrême-droite
Human Rights Watch
Inégalités
Information
Internet actu ✝
Justice fiscale
Liberté de création
Multinationales
Situationnisme
Sondages
Street-Médics
Routes de la Soie
🌞