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21.11.2025 à 23:41

Après le Rwanda, l'émir du Qatar en visite en République démocratique Congo

Fatimata WANE
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Après sa visite au Rwanda, l'émir du Qatar a atterri dans la capitale Kinshasa pour une brève escale. Si la venue du Qatar a pour objectif de booster les investissements dans le pays, la question sécuritaire de l’est congolais a aussi été au menu. Le Qatar sert de médiateur dans les négociations entre les rebelles du M23 et le gouvernement congolais.
Après sa visite au Rwanda, l'émir du Qatar a atterri dans la capitale Kinshasa pour une brève escale. Si la venue du Qatar a pour objectif de booster les investissements dans le pays, la question sécuritaire de l’est congolais a aussi été au menu. Le Qatar sert de médiateur dans les négociations entre les rebelles du M23 et le gouvernement congolais.

21.11.2025 à 23:32

Pas d'auteurs, pas de festival ?

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Boycottée par des centaines d'auteurs et de maisons d'édition, l'édition 2026 du Festival d’Angoulême est compromise. Quel avenir pour ce festival? On en parle avec Lisa Mandel, autrice et co-fondatrice de la maison d'édition Exemplaire. 
Boycottée par des centaines d'auteurs et de maisons d'édition, l'édition 2026 du Festival d’Angoulême est compromise. Quel avenir pour ce festival? On en parle avec Lisa Mandel, autrice et co-fondatrice de la maison d'édition Exemplaire. 

21.11.2025 à 23:22

Rokia Traoré : "Je suis née libre", un livre manifeste de la chanteuse malienne

FRANCE24
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Rokia Traoré, chanteuse et guitariste malienne de renommée internationale, publie "Je suis née libre" (JC Lattès). Une autobiographie puissante dans laquelle elle revient sur son parcours artistique, son engagement culturel, et une bataille judiciaire qui a marqué sa vie. Entretien exclusif dans le Journal de l’Afrique
Rokia Traoré, chanteuse et guitariste malienne de renommée internationale, publie "Je suis née libre" (JC Lattès). Une autobiographie puissante dans laquelle elle revient sur son parcours artistique, son engagement culturel, et une bataille judiciaire qui a marqué sa vie. Entretien exclusif dans le Journal de l’Afrique

21.11.2025 à 23:13

L1: L'OM corrige Nice et repasse en tête

FRANCE24
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Jeudi, Roberto De Zerbi s'était dit heureux d'avoir pu bien travailler pendant la trêve internationale, mais on ne savait pas trop quelles conclusions en tirer, les quelques retours de blessures (Balerdi, Kondogbia, Weah, Nadir) étant compensés par de nouveaux pépins (Aguerd, Murillo). Mais les joueurs du technicien italien ont répondu sur le terrain avec une prestation très consistante, qui doit leur offrir une bonne dose de confiance avant de se frotter à Newcastle mardi, pour ce qui ressemble à une dernière carte à abattre en Ligue des champions. En attendant, les Marseillais repartent de la Côte d'Azur installés sur la première marche du podium, dont seul le Paris SG pourra les déloger, en cas de succès samedi soir face au Havre. Pour Nice en revanche, les affaires ne s'arrangent pas. Neuvièmes avant les autres matchs de cette 13e journée, les Aiglons viennent en effet d'enchaîner trois défaites consécutives en championnat et ont très souvent paru totalement impuissants vendredi. Après un début de match équilibré et bruyamment animé par les ultras niçois, qui fêtaient le 40e anniversaire de leur groupe, l'OM a en effet assez vite pris les devants. Porté notamment par l'envie de Benjamin Pavard, revanchard après une période difficile, ou l'activité de Geoffrey Kondogbia, qui retrouvait le terrain après une longue absence, l'équipe de De Zerbi a su mettre la pression sur la très jeune et parfois fébrile défense centrale niçoise. Impitoyable Greenwood L'ouverture du score a été signée Pierre-Emerick Aubameyang, plus vif et plus attentif que Melvin Bard pour reprendre un ballon dévié par Pavard sur un corner frappé par Mason Greenwood (1-0, 11e). L'Anglais a ensuite marqué lui-même le deuxième but marseillais d'une frappe du droit déviée par Bard, qui a vécu 45 premières périodes très pénibles (2-0, 33e). Le début de bagarre générale qui a suivi le but de Greenwood a ensuite brièvement relancé les Aiglons, qui ont eu plusieurs fois l'occasion de marquer (Terem Moffi 42e et 45e+2, Bard 45+3) mais ont finalement surtout montré que Jeffrey De Lange était un gardien remplaçant tout à fait fiable. Juste avant la pause, Igor Paixao, accompagné par Aubameyang, a de son côté saboté un deux-contre-un qui aurait pu permettre à l'OM de boucler définitivement l'affaire, et le match était donc encore ouvert au retour des vestiaires. Il ne l'est resté que quelques minutes, le temps pour De Lange de mettre à nouveau Moffi en échec, puis pour Greenwood d'enfoncer le clou. Contrairement à Moffi, l'Anglais est impitoyable: à la 53e minute, il a laissé Juma Bah sur place d'un crochet et d'une accélération avant de battre Yehvann Diouf d'une impeccable frappe croisée du droit (3-0). Cinq minutes plus tard, Timothy Weah, décidément plus que précieux, alourdissait la marque au bout d'une jolie action animée par Aubameyang et Emerson Palmieri (4-0) et l'affaire était entendue. Mohamed-Ali Cho a bien sauvé l'honneur de la tête, bien servi par Sofiane Diop (4-1, 63e), mais l'OM a encore sévi quand Aubameyang a montré à Paixao comment on gère un deux-contre-un. Pas rancunier, le Gabonais a servi le Brésilien et Marseille s'est imposé 5-1. En fin de match, un feu d'artifice tiré par les ultras niçois a interrompu le match quelques instants, mais tout était réglé. On sait que la Coupe d'Europe ne réussit pas aux Aiglons et vendredi, l'adversaire était clairement de calibre européen.
Texte intégral (607 mots)
Jeudi, Roberto De Zerbi s'était dit heureux d'avoir pu bien travailler pendant la trêve internationale, mais on ne savait pas trop quelles conclusions en tirer, les quelques retours de blessures (Balerdi, Kondogbia, Weah, Nadir) étant compensés par de nouveaux pépins (Aguerd, Murillo). Mais les joueurs du technicien italien ont répondu sur le terrain avec une prestation très consistante, qui doit leur offrir une bonne dose de confiance avant de se frotter à Newcastle mardi, pour ce qui ressemble à une dernière carte à abattre en Ligue des champions. En attendant, les Marseillais repartent de la Côte d'Azur installés sur la première marche du podium, dont seul le Paris SG pourra les déloger, en cas de succès samedi soir face au Havre. Pour Nice en revanche, les affaires ne s'arrangent pas. Neuvièmes avant les autres matchs de cette 13e journée, les Aiglons viennent en effet d'enchaîner trois défaites consécutives en championnat et ont très souvent paru totalement impuissants vendredi. Après un début de match équilibré et bruyamment animé par les ultras niçois, qui fêtaient le 40e anniversaire de leur groupe, l'OM a en effet assez vite pris les devants. Porté notamment par l'envie de Benjamin Pavard, revanchard après une période difficile, ou l'activité de Geoffrey Kondogbia, qui retrouvait le terrain après une longue absence, l'équipe de De Zerbi a su mettre la pression sur la très jeune et parfois fébrile défense centrale niçoise. Impitoyable Greenwood L'ouverture du score a été signée Pierre-Emerick Aubameyang, plus vif et plus attentif que Melvin Bard pour reprendre un ballon dévié par Pavard sur un corner frappé par Mason Greenwood (1-0, 11e). L'Anglais a ensuite marqué lui-même le deuxième but marseillais d'une frappe du droit déviée par Bard, qui a vécu 45 premières périodes très pénibles (2-0, 33e). Le début de bagarre générale qui a suivi le but de Greenwood a ensuite brièvement relancé les Aiglons, qui ont eu plusieurs fois l'occasion de marquer (Terem Moffi 42e et 45e+2, Bard 45+3) mais ont finalement surtout montré que Jeffrey De Lange était un gardien remplaçant tout à fait fiable. Juste avant la pause, Igor Paixao, accompagné par Aubameyang, a de son côté saboté un deux-contre-un qui aurait pu permettre à l'OM de boucler définitivement l'affaire, et le match était donc encore ouvert au retour des vestiaires. Il ne l'est resté que quelques minutes, le temps pour De Lange de mettre à nouveau Moffi en échec, puis pour Greenwood d'enfoncer le clou. Contrairement à Moffi, l'Anglais est impitoyable: à la 53e minute, il a laissé Juma Bah sur place d'un crochet et d'une accélération avant de battre Yehvann Diouf d'une impeccable frappe croisée du droit (3-0). Cinq minutes plus tard, Timothy Weah, décidément plus que précieux, alourdissait la marque au bout d'une jolie action animée par Aubameyang et Emerson Palmieri (4-0) et l'affaire était entendue. Mohamed-Ali Cho a bien sauvé l'honneur de la tête, bien servi par Sofiane Diop (4-1, 63e), mais l'OM a encore sévi quand Aubameyang a montré à Paixao comment on gère un deux-contre-un. Pas rancunier, le Gabonais a servi le Brésilien et Marseille s'est imposé 5-1. En fin de match, un feu d'artifice tiré par les ultras niçois a interrompu le match quelques instants, mais tout était réglé. On sait que la Coupe d'Europe ne réussit pas aux Aiglons et vendredi, l'adversaire était clairement de calibre européen.

21.11.2025 à 22:45

Wall Street termine en hausse, espère une nouvelle baisse de taux de la Fed

FRANCE24
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Le Dow Jones a pris 1,08%, l'indice Nasdaq 0,88% et l'indice élargi S&P 500 a gagné 0,98%. Sur la semaine, les principaux indices de la place américaine restent toutefois en recul, d'environ 2%. Vendredi, avant l'ouverture de la place américaine, le président de la Fed de New York John Williams a déclaré "continue(r) de voir de la marge pour un nouvel ajustement à court terme" des taux directeurs. A moins de trois semaines de la dernière réunion de la Réserve fédérale de l'année, sa déclaration a immédiatement fait réagir les investisseurs, qui ont conclu que la balance penchait à nouveau vers une détente monétaire en décembre. Désormais, une nette majorité d'investisseurs parient sur une baisse de taux en décembre, contre une minorité un jour plus tôt, selon l'outil de veille CME FedWatch. "Cela a certainement été un facteur important dans le rebond d'aujourd'hui", commente auprès de l'AFP Angelo Kourkafas, d'Edward Jones, notant "une certaine sensibilité autour des taux". L'indice Russell 2000, qui réunit 2.000 PME, a avancé de 2,80%. Petites et moyennes entreprises sont traditionnellement soutenues par un environnement de taux plus bas et une conjoncture économique positive. Reste que "le fait que nous n'allions pas obtenir certaines données clés ne facilite pas la tâche" des membres de la Fed. Le CPI, mesure phare d'inflation aux Etats-Unis, d'octobre et le rapport sur l'emploi pour le même mois ne seront jamais publiés en raison de la longue paralysie budgétaire qu'a connue le pays. Ces mêmes données pour le mois de novembre ne seront connues qu'après la réunion de décembre de la Réserve fédérale. Pour Angelo Kourkafas, "la tendance restera à la baisse des taux jusqu'en 2026, de manière progressive et lente". Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l'Etat américain se détendait à 4,06% vers 21H25 GMT, contre 4,08% la veille en clôture. En parallèle, les investisseurs semblent avoir modéré leurs craintes quant à la possibilité d'une bulle financière autour de l'intelligence artificielle (IA). "Une partie de ce scepticisme pourrait persister, les investisseurs commençant à se demander un peu plus si l'IA peut générer des profits suffisants pour justifier toutes ces dépenses importantes", anticipe M. Kourkafas. Selon lui, l'enthousiasme "n'est pas terminé" même si "les valorisations ont probablement atteint leur plafond". Côté entreprises, les valeurs associées au secteur des cryptoactifs ont plutôt résisté au recul du bitcoin, à l'image des plateformes d'échange Coinbase (+0,94%) et Robinhood (+1,03%). Le groupe de prêt-à-porter Gap (+8,24% à 24,96 dollars) a bondi, porté par des ventes en hausse lors du troisième trimestre, notamment grâce à une campagne publicitaire virale avec le groupe de musique Katseye.
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Le Dow Jones a pris 1,08%, l'indice Nasdaq 0,88% et l'indice élargi S&P 500 a gagné 0,98%. Sur la semaine, les principaux indices de la place américaine restent toutefois en recul, d'environ 2%. Vendredi, avant l'ouverture de la place américaine, le président de la Fed de New York John Williams a déclaré "continue(r) de voir de la marge pour un nouvel ajustement à court terme" des taux directeurs. A moins de trois semaines de la dernière réunion de la Réserve fédérale de l'année, sa déclaration a immédiatement fait réagir les investisseurs, qui ont conclu que la balance penchait à nouveau vers une détente monétaire en décembre. Désormais, une nette majorité d'investisseurs parient sur une baisse de taux en décembre, contre une minorité un jour plus tôt, selon l'outil de veille CME FedWatch. "Cela a certainement été un facteur important dans le rebond d'aujourd'hui", commente auprès de l'AFP Angelo Kourkafas, d'Edward Jones, notant "une certaine sensibilité autour des taux". L'indice Russell 2000, qui réunit 2.000 PME, a avancé de 2,80%. Petites et moyennes entreprises sont traditionnellement soutenues par un environnement de taux plus bas et une conjoncture économique positive. Reste que "le fait que nous n'allions pas obtenir certaines données clés ne facilite pas la tâche" des membres de la Fed. Le CPI, mesure phare d'inflation aux Etats-Unis, d'octobre et le rapport sur l'emploi pour le même mois ne seront jamais publiés en raison de la longue paralysie budgétaire qu'a connue le pays. Ces mêmes données pour le mois de novembre ne seront connues qu'après la réunion de décembre de la Réserve fédérale. Pour Angelo Kourkafas, "la tendance restera à la baisse des taux jusqu'en 2026, de manière progressive et lente". Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l'Etat américain se détendait à 4,06% vers 21H25 GMT, contre 4,08% la veille en clôture. En parallèle, les investisseurs semblent avoir modéré leurs craintes quant à la possibilité d'une bulle financière autour de l'intelligence artificielle (IA). "Une partie de ce scepticisme pourrait persister, les investisseurs commençant à se demander un peu plus si l'IA peut générer des profits suffisants pour justifier toutes ces dépenses importantes", anticipe M. Kourkafas. Selon lui, l'enthousiasme "n'est pas terminé" même si "les valorisations ont probablement atteint leur plafond". Côté entreprises, les valeurs associées au secteur des cryptoactifs ont plutôt résisté au recul du bitcoin, à l'image des plateformes d'échange Coinbase (+0,94%) et Robinhood (+1,03%). Le groupe de prêt-à-porter Gap (+8,24% à 24,96 dollars) a bondi, porté par des ventes en hausse lors du troisième trimestre, notamment grâce à une campagne publicitaire virale avec le groupe de musique Katseye.
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