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14.12.2025 à 08:07

Ligue 1: Matthieu Udol, l'acharné Lensois qui toque à la porte des Bleus

FRANCE24
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Quatre fois, Matthieu Udol s'est écroulé sur une pelouse en se tordant de douleur. Quatre fois, il s'est relevé. Le défenseur gauche de 29 ans a réussi à poursuivre une carrière professionnelle qui semblait se refuser à lui à cause de ses ruptures en série des ligaments croisés du genou droit. Le voici désormais dans la forme de sa vie, quelques mois après avoir quitté, au bras de fer, son club formateur, le FC Metz, qu'il avait ramené en Ligue 1 en marquant à deux reprises en barrage d'accession, brassard de capitaine au bras. Parfois sur la gauche de la défense à trois de l'entraîneur lensois Pierre Sage, le plus souvent comme piston dans un rôle plus offensif, Udol a débuté tous les matchs, poussant même Deiver Machado, l'un des derniers hommes de l'époque Franck Haise, à un départ vers Nantes en début de semaine. "C'est un joueur régulier dans la performance, un gros travailleur, l'encense le capitaine Adrien Thomasson. Avec ce qu'il a vécu dans sa carrière, il est toujours en salle (de musculation, NDLR), positif, il arrive à emmener les autres avec lui. Pour nous, c'est une vraie plus-value, à tous les matchs, il est performant, il a encore été passeur décisif au dernier." D'abord Lens, puis la France Sa troisième passe décisive de la saison a offert à Wesley Saïd le but de la victoire à Nantes (2-1) samedi dernier, confortant la place des Sang et Or (1ers, 34 points), qui visent le titre honorifique de champion d'automne en cas de succès contre Nice (12e, 17 pts), en chute libre avec huit défaites de suite toutes compétitions confondues. Avec la place qu'Udol a prise dans le groupe lensois, la question d'une possible convocation avec les Bleus se pose inévitablement. "Si le club fait une très belle saison (...) et que je continue à être performant, ça peut me venir à l'idée de penser à l'équipe de France", répond-il, avant d'enchaîner: "Mon premier objectif, c'est de finir le plus haut possible avec Lens, de continuer à être performant comme depuis le début de saison et on verra plus tard." Peut-il rêver d'un parcours semblable à celui du piston droit Jonathan Clauss, convoqué à l'âge d'Udol lorsqu'il évoluait sous le maillot artésien? "Selon moi, oui, affirme Pierre Sage. Sa régularité, aujourd'hui, ne fait que conforter cette position-là. (...) Maintenant, il y a de très bons joueurs dans ce secteur de jeu, et aujourd'hui, ils ont plus l'habitude que lui de jouer ce genre de compétitions, donc je pense que ça comptera." "Exemplaire dans l'entraînement invisible" L'entraîneur lensois souligne qu'une convocation par le sélectionneur Didier Deschamps au sein d'un groupe qui préparera, dans quelques mois, le Mondial-2026 (11 juin-19 juillet), récompenserait "tout le travail qu'il fait au quotidien (...) notamment préventif, qui est au-dessus de la norme". "Je pense que ce qui lui est arrivé dans sa carrière a été un vrai traumatisme, mais aussi une vraie force", poursuit Pierre Sage, qui souhaitait déjà le recruter, sans succès, lorsqu'il entraînait Lyon. "Il est exemplaire sur la manière de gérer l'entraînement et notamment la partie invisible", insiste Sage. En résulte une musculature du haut du corps peu commune pour un joueur de football. "Quand j'étais plus jeune, j'étais costaud, mais forcément j'ai pris quelques kilos depuis le début de ma carrière, commente Matthieu Udol. Suite aux blessures, j'ai beaucoup plus travaillé en salle et le fait de rester équilibré, c'est très important." "Trois quarts d'heure à peu près par jour" permettent de renforcer son mètre 78, assure le Messin de naissance. Son opiniâtreté et sa résilience en font l'incarnation parfaite de l'esprit combatif qui caractérise Lens.

14.12.2025 à 08:07

Ligue 1: Rulli, pas au mieux mais toujours précieux pour l'OM

FRANCE24
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Le match de mardi à Bruxelles face à l'Union Saint-Gilloise, péniblement remporté 3-2 par l'OM, est un bon résumé de la forme actuelle du gardien argentin. Sur le premier but encaissé par son équipe, sans être vraiment coupable, Rulli est battu à son premier poteau, une rareté pour lui. Et sur le deuxième, sa claquette est insuffisante. Tout au long de la partie, il a par ailleurs semblé hésitant, comme sur un but belge finalement annulé pour hors-jeu, où sa sortie n'est pas franche. Mais dans le temps additionnel, c'est bien lui qui a sauvé l'OM et préservé la victoire avec un arrêt spectaculaire devant Promise David, alors que tout le stade s'était levé, prêt à célébrer l'égalisation. "J'ai eu un peu de chance aussi. Je voulais sortir sur le centre, mais ça n'était pas possible. Je me retourne et je vois l'attaquant qui est seul. Ca sauve l'équipe et oui, j'étais très heureux de pouvoir aider mes coéquipiers après le match qu'on avait fait", a raconté l'Argentin à l'issue de la rencontre. "Je suis humain" Son arrêt décisif de mardi tombe d'autant mieux que les deux matches précédents ne lui avaient pas souri. Face à Toulouse au Vélodrome, il n'était pas intervenu sur la fameuse touche longue qui a amené l'égalisation du TFC dans les derniers instants (2-2), puis à Lille, une sortie complètement ratée avait ouvert le but à Ethan Mbappé (défaite 1-0). "Dans une saison, aucun joueur ne peut être au top tout le temps. Je suis très tranquille, je travaille beaucoup mais je suis humain, je peux faire des erreurs. Et je sais que quand tu es le gardien de l'OM, tu as plus de responsabilités parce que le coach demande beaucoup au gardien", a assuré vendredi le champion du monde 2022. Il y a une dizaine de jours, entre les matches contre Toulouse et Lille, Roberto De Zerbi avait de son côté balayé toute inquiétude quant au niveau de performance de son gardien. "J'aime sa personnalité et son courage. Il est toujours prêt à faire quelque chose de plus plutôt que quelque chose de moins. Il a mal lu la trajectoire de cette touche mais il nous a donné tellement de points cette saison... Geronimo est très, très important. Parfois il me fait un peu transpirer, oui, mais je veux que les joueurs essaient, pas qu'ils aient peur de rater", a expliqué le technicien italien. Défenseur en plus Si De Zerbi transpire, c'est justement parce qu'il demande à son gardien de participer beaucoup à la relance, avec les risques que cela implique, pour profiter de la qualité de son jeu au pied, qui étonne jusqu'à ses équipiers. "Il continue à me surprendre. Je ne connaissais pas vraiment sa qualité au pied. Mais il a ça aussi et parfois il est comme un défenseur central en plus, avec nous", a ainsi relevé son compatriote Leonardo Balerdi. "C'est un joueur supplémentaire pour sortir le ballon. Il est magnifique sur sa ligne et en plus il nous permet de jouer et de sortir les ballons en jeu court", a ajouté le capitaine marseillais. "J'ai beaucoup joué en Espagne, à Villarreal et à la Real Sociedad, des équipes où on essayait de jouer comme ici, même si peut-être un petit peu moins. Donc je n'ai pas peur de jouer avec les pieds", a réagi Rulli vendredi. "Je peux faire des erreurs, mais au final mon style de jeu aide beaucoup l'équipe, je crois", a-t-il ajouté. Une nouvelle confirmation est attendue dimanche contre Monaco.

14.12.2025 à 07:51

Coupe NBA: "j'étais une boule d'énergie", commente Wembanyama

FRANCE24
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QUESTION: Que pensez-vous de votre statut de remplaçant ce soir avant de jouer 20 minutes, dont beaucoup en fin de match? REPONSE: "Dans ce genre de match il faut que les choses arrivent, peu importe comment. C'est un détail (son statut, ndlr). Je pense que c'était une bonne formule, j'ai essayé de donner le maximum en peu de temps." Q: Comment avez-vous vécu ce retour? R: "C'était incroyable. J'ai vu mes coéquipiers devenir meilleurs lors des 12 derniers matches, réussir de belles choses. Je voulais juste en faire partie, je suis heureux que ça continue quand je reviens, de faire partie de cette équipe qui évolue vers un basket à l'éthique la plus pure." Q: "Vous avez beaucoup chambré vos adversaires ce soir... R: "C'est l'enjeu du match, j'étais une boule d'énergie je ne pouvais pas m'arrêter avant le match, il fallait que ça sorte d'une manière ou d'une autre (sourire)." Q: C'était votre premier match avec l'effectif au complet... R: "C'est notre premier match tous ensemble. On est déjà une très bonne équipe, meilleure qu'il y a 20 matches en arrière. C'est une histoire d'expérience. On n'est qu'au début. La différence entre nous et leur équipe (Oklahoma City, ndlr), qui a 24 succès et 2 défaites, c'est que nous n'avons pas eu tant de répétitions de ces scénarios où l'on apprend ce qui est nécessaire pour gagner. Ce sera la prochaine étape. Oklahoma City, ce ne sont pas de simples leaders du classement. Quand on les voit jouer, que ce soit les titulaires ou le 12e homme, contre les 15es ou dans n'importe quel match, ils jouent de la même façon et ils profitent de ces petites choses qui offrent la victoire." Q: Que représenterait une victoire mardi en finale? R: "Je verrais ça comme un accomplissement mais pas du tout du niveau des play-offs. Ce sont des matches qui ont du sens, de l'enjeu, plus qu'en saison régulière c'est sûr. Ce n'est pas vraiment explicable. On joue pour ça, pour ces moments là." Q: Comprenez-vous le processus qui mène aux sommets? R: "C'est dur. On est sur le bon chemin, pour la première fois de ma carrière on gagne plus qu'on ne perd, c'est beaucoup de plaisir, parce que perdre ce n'est pas normal, même si ça fait partie de l'apprentissage. Mais on gagne beaucoup plus qu'on ne perd désormais, c'est là où on veut être." Q: Aviez vous un peu perdu confiance durant votre blessure? R: "Je n'ai jamais vraiment perdu confiance, en mes mouvements par exemple. Ma confiance est toujours là. Je prends soin de mon corps comme personne, je n'ai aucune raison de m'inquiéter. Ma forme foncière est meilleure que jamais. Et ce n'était que mon premier match, ça va aller de mieux en mieux." Propos recueillis en conférence de presse

14.12.2025 à 07:35

Les Chiliens élisent leur président, l'extrême droite aux portes du pouvoir

FRANCE 24
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Le second tour de la présidentielle chilienne se tient dans un climat marqué par la peur suscitée par la criminalité et les questions migratoires. Face à la candidate de gauche Jeannette Jara, José Antonio Kast pourrait devenir, dimanche, le premier dirigeant d'extrême droite à accéder au pouvoir depuis la fin de la dictature de Pinochet.
Texte intégral (502 mots)
Le second tour de la présidentielle chilienne se tient dans un climat marqué par la peur suscitée par la criminalité et les questions migratoires. Face à la candidate de gauche Jeannette Jara, José Antonio Kast pourrait devenir, dimanche, le premier dirigeant d'extrême droite à accéder au pouvoir depuis la fin de la dictature de Pinochet.

14.12.2025 à 07:21

Cambodge et Thaïlande continuent à se battre à leur frontière

FRANCE24
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Les hostilités qui ont éclaté le 7 décembre ont fait au moins 25 morts --14 soldats thaïlandais et 11 civils cambodgiens--, selon des sources officielles, et quelque 800.000 déplacés de part et d'autre de la frontière. "Cela fait six jours que je suis là et je suis triste que les combats continuent. Je m'inquiète pour ma maison et mon bétail", a déclaré dimanche à l'AFP Sean Leap, 63 ans, dans un camp pour personnes évacuées dans la province cambodgienne frontalière de Banteay Meanchey. "Je veux que ça s'arrête". Les deux pays s'accusent mutuellement d'avoir déclenché les hostilités et de s'en prendre aux civils. Vendredi, le président américain Donald Trump avait affirmé que leurs dirigeants avaient accepté une trêve après un coup de téléphone de sa part, mais le gouvernement thaïlandais a démenti et les combats se sont poursuivis samedi et dimanche. Selon le porte-parole du ministère thaïlandais de la Défense, Surasant Kongsiri, le Cambodge a bombardé plusieurs provinces frontalières samedi soir et dimanche. Son homologue cambodgienne Maly Socheata a pour sa part affirmé que les forces thaïlandaises continuaient à bombarder et à tirer au mortier dans les zones près de la frontière depuis dimanche minuit. Migrants bloqués Samedi, le Cambodge a fermé tous ses postes-frontière avec la Thaïlande, et des travailleurs migrants se sont retrouvés bloqués d'un côté ou de l'autre. Sous une tente de fortune dans un camp de déplacés à Banteay Meanchey, Cheav Sokun, 38 ans, a raconté à l'AFP qu'elle et son fils avaient quitté la Thaïlande en même temps que des dizaines de milliers d'autres immigrés cambodgiens quand les combats ont éclaté, mais que son mari, jardinier, était resté pour travailler auprès de son "bon patron thaïlandais". De l'autre côté de la frontière, dans la province thaïlandaise de Surin, Watthanachai Kamngam a dit à l'AFP avoir vu les trainées de plusieurs fusées dans le ciel noir dimanche à l'aube et entendu des explosions au loin. Depuis une première vague d'affrontements en juillet dernier, ce professeur de musique de 38 ans s'emploie à peindre sur les murs des bunkers des scènes colorées de tanks, de drapeaux thaïlandais et de soldats portant des blessés. "Je vis les combats et je veux juste enregistrer ces moments, montrer que c'est vraiment notre réalité", a-t-il déclaré à l'AFP. L'armée thaïlandaise a imposé un couvre-feu dans certaines parties des provinces de Sa Kaeo et Trat entre 19H00 et 05H00. La Thaïlande et le Cambodge se disputent la souveraineté de territoires où se trouvent des temples de l'Empire khmer le long de leur frontière longue d'environ 800 km, tracée au début du XXe siècle durant la période coloniale française. En juillet, un premier épisode de violences avait fait 43 morts en cinq jours et poussé quelque 300.000 personnes à évacuer, avant un cessez-le-feu sous l'égide des Etats-Unis, de la Chine et de la Malaisie. Les deux pays avaient conclu le 26 octobre un accord de cessez-le-feu sous l'égide de Donald Trump. Mais Bangkok l'a suspendu quelques semaines plus tard après l'explosion d'une mine ayant blessé plusieurs de ses soldats.
Texte intégral (553 mots)
Les hostilités qui ont éclaté le 7 décembre ont fait au moins 25 morts --14 soldats thaïlandais et 11 civils cambodgiens--, selon des sources officielles, et quelque 800.000 déplacés de part et d'autre de la frontière. "Cela fait six jours que je suis là et je suis triste que les combats continuent. Je m'inquiète pour ma maison et mon bétail", a déclaré dimanche à l'AFP Sean Leap, 63 ans, dans un camp pour personnes évacuées dans la province cambodgienne frontalière de Banteay Meanchey. "Je veux que ça s'arrête". Les deux pays s'accusent mutuellement d'avoir déclenché les hostilités et de s'en prendre aux civils. Vendredi, le président américain Donald Trump avait affirmé que leurs dirigeants avaient accepté une trêve après un coup de téléphone de sa part, mais le gouvernement thaïlandais a démenti et les combats se sont poursuivis samedi et dimanche. Selon le porte-parole du ministère thaïlandais de la Défense, Surasant Kongsiri, le Cambodge a bombardé plusieurs provinces frontalières samedi soir et dimanche. Son homologue cambodgienne Maly Socheata a pour sa part affirmé que les forces thaïlandaises continuaient à bombarder et à tirer au mortier dans les zones près de la frontière depuis dimanche minuit. Migrants bloqués Samedi, le Cambodge a fermé tous ses postes-frontière avec la Thaïlande, et des travailleurs migrants se sont retrouvés bloqués d'un côté ou de l'autre. Sous une tente de fortune dans un camp de déplacés à Banteay Meanchey, Cheav Sokun, 38 ans, a raconté à l'AFP qu'elle et son fils avaient quitté la Thaïlande en même temps que des dizaines de milliers d'autres immigrés cambodgiens quand les combats ont éclaté, mais que son mari, jardinier, était resté pour travailler auprès de son "bon patron thaïlandais". De l'autre côté de la frontière, dans la province thaïlandaise de Surin, Watthanachai Kamngam a dit à l'AFP avoir vu les trainées de plusieurs fusées dans le ciel noir dimanche à l'aube et entendu des explosions au loin. Depuis une première vague d'affrontements en juillet dernier, ce professeur de musique de 38 ans s'emploie à peindre sur les murs des bunkers des scènes colorées de tanks, de drapeaux thaïlandais et de soldats portant des blessés. "Je vis les combats et je veux juste enregistrer ces moments, montrer que c'est vraiment notre réalité", a-t-il déclaré à l'AFP. L'armée thaïlandaise a imposé un couvre-feu dans certaines parties des provinces de Sa Kaeo et Trat entre 19H00 et 05H00. La Thaïlande et le Cambodge se disputent la souveraineté de territoires où se trouvent des temples de l'Empire khmer le long de leur frontière longue d'environ 800 km, tracée au début du XXe siècle durant la période coloniale française. En juillet, un premier épisode de violences avait fait 43 morts en cinq jours et poussé quelque 300.000 personnes à évacuer, avant un cessez-le-feu sous l'égide des Etats-Unis, de la Chine et de la Malaisie. Les deux pays avaient conclu le 26 octobre un accord de cessez-le-feu sous l'égide de Donald Trump. Mais Bangkok l'a suspendu quelques semaines plus tard après l'explosion d'une mine ayant blessé plusieurs de ses soldats.
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