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22.11.2025 à 21:22

Ligue 1 : Paul Pogba refoule la pelouse avec l'AS Monaco après plus de deux ans sans jouer

FRANCE 24
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Paul Pogba est redevenu un joueur de football professionnel, samedi, en entrant à la 85e minute de jeu lors du match de Ligue 1 entre l'AS Monaco et Rennes. Le milieu de terrain n'avait plus foulé une pelouse depuis plus de deux ans.
Paul Pogba est redevenu un joueur de football professionnel, samedi, en entrant à la 85e minute de jeu lors du match de Ligue 1 entre l'AS Monaco et Rennes. Le milieu de terrain n'avait plus foulé une pelouse depuis plus de deux ans.

22.11.2025 à 21:21

Tunisie: plus de 2.000 personnes manifestent contre "les injustices"

FRANCE24
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Réunis "contre les injustices" sous la houlette du comité de défense d'Ahmed Souab, un avocat respecté condamné fin octobre à cinq ans de prison pour avoir critiqué le système judiciaire, les protestataires ont marché pendant plus de deux heures dans le centre de Tunis. La manifestation, d'une ampleur inhabituelle pour ces derniers mois, a fait symboliquement étape devant le siège du Groupe chimique tunisien, rendu responsable d'une grave pollution à Gabès (sud) et devant le syndicat des journalistes SNJT, qui a déploré récemment une "répression sans précédent" des médias. "Liberté, liberté" ont scandé les manifestants vêtus de noir, munis de sifflets et portant un ruban rouge, en majorité des sympathisants d'ONG, rejoints par des militants des grands partis d'opposition venus sans bannières. Ils ont réclamé la libération des dizaines d'opposants, journalistes, avocats et travailleurs humanitaires, emprisonnés ces dernières années, pour des accusations de complot contre le président ou en vertu d'un décret-loi sur les "fausses informations", à l'interprétation jugée trop large par les défenseurs des droits. "Noirceur" "La Tunisie vit un contexte de noirceur sur tous les plans: on a des prisonniers politiques, des journalistes emprisonnés et même M.ou Mme Lambda, on a la cause environnementale à Gabès", a affirmé à l'AFP Saeb Souab, porte-parole du comité organisateur dont le but était d'"unifier toutes les luttes". La marche s'est terminée près d'une piscine rénovée sur ordre du président pour montrer qu'"en six ans ce Monsieur n'a rien fait d'autre", selon M. Souab, fils de l'avocat emprisonné. Les manifestants y ont allumé des fumigènes rouges. M. Souab s'est dit "très pessimiste à propos de la justice tunisienne", notant que son père "a été condamné en six ou sept minutes" en première instance. Monia Brahim, l'épouse de l'activiste emprisonné Abdelhamid Jelassi, brandissait un panier en plastique comme ceux avec lesquels les proches des détenus leur apportent à manger. La marche était encadrée par des dizaines de policiers en civils, parfois pris au dépourvu par plusieurs changements de parcours. "Le peuple veut la chute du régime", ont lancé de nombreux manifestants, ciblant le président Kais Saied, qui s'est emparé des pleins pouvoirs par un coup de force en 2012, deux ans après son élection. Certains portaient des pancartes "Not my president". "Pauvreté et inflation" "Y en a marre de ce président et du groupe qui l'entoure. Le pays est dans la misère, on ne peut rien acheter, le pays s'effondre, les hôpitaux sont en mauvais état", déplore auprès de l'AFP Nejia Adjmi, 63 ans, une pâtissière à la retraite. Les Tunisiens ont vu leur pouvoir d'achat reculer ces dernières années à cause d'une forte inflation (revenue à environ 5% après un pic de 10% en 2023) en particulier sur les produits alimentaires. "On ne peut même plus s'exprimer sur les réseaux sociaux", ajoute-t-elle, assurant être une proche de Saber Chouchane, condamné à mort puis gracié en octobre, pour avoir critiqué sur Facebook le président et la ministre de la Justice, Leila Jaffel. Plusieurs ONG tunisiennes et étrangères ont déploré une régression des droits et libertés depuis 2021. Amel est venue de La Goulette, une banlieue de classe moyenne, pour "manifester contre l'arbitraire". Cette psychologue à la retraite de 68 ans, qui préfère ne pas donner son nom, se dit "outrée qu'il y ait des gens emprisonnés pour un délit d'opinion". "On ne sait pas pourquoi ils sont détenus, on leur colle des procès à la suite les uns des autres pour ne pas les libérer", dit-elle à l'AFP. "Pauvreté, inflation, le pays est au fond du trou" et "les prisons sont pleines, il n'y a plus de liberté d'expression", s'énerve aussi Hicham Lahmer, un artisan-coordonnier de 45 ans. Il réclame le départ de M. Saied et "de nouvelles élections".
Texte intégral (669 mots)
Réunis "contre les injustices" sous la houlette du comité de défense d'Ahmed Souab, un avocat respecté condamné fin octobre à cinq ans de prison pour avoir critiqué le système judiciaire, les protestataires ont marché pendant plus de deux heures dans le centre de Tunis. La manifestation, d'une ampleur inhabituelle pour ces derniers mois, a fait symboliquement étape devant le siège du Groupe chimique tunisien, rendu responsable d'une grave pollution à Gabès (sud) et devant le syndicat des journalistes SNJT, qui a déploré récemment une "répression sans précédent" des médias. "Liberté, liberté" ont scandé les manifestants vêtus de noir, munis de sifflets et portant un ruban rouge, en majorité des sympathisants d'ONG, rejoints par des militants des grands partis d'opposition venus sans bannières. Ils ont réclamé la libération des dizaines d'opposants, journalistes, avocats et travailleurs humanitaires, emprisonnés ces dernières années, pour des accusations de complot contre le président ou en vertu d'un décret-loi sur les "fausses informations", à l'interprétation jugée trop large par les défenseurs des droits. "Noirceur" "La Tunisie vit un contexte de noirceur sur tous les plans: on a des prisonniers politiques, des journalistes emprisonnés et même M.ou Mme Lambda, on a la cause environnementale à Gabès", a affirmé à l'AFP Saeb Souab, porte-parole du comité organisateur dont le but était d'"unifier toutes les luttes". La marche s'est terminée près d'une piscine rénovée sur ordre du président pour montrer qu'"en six ans ce Monsieur n'a rien fait d'autre", selon M. Souab, fils de l'avocat emprisonné. Les manifestants y ont allumé des fumigènes rouges. M. Souab s'est dit "très pessimiste à propos de la justice tunisienne", notant que son père "a été condamné en six ou sept minutes" en première instance. Monia Brahim, l'épouse de l'activiste emprisonné Abdelhamid Jelassi, brandissait un panier en plastique comme ceux avec lesquels les proches des détenus leur apportent à manger. La marche était encadrée par des dizaines de policiers en civils, parfois pris au dépourvu par plusieurs changements de parcours. "Le peuple veut la chute du régime", ont lancé de nombreux manifestants, ciblant le président Kais Saied, qui s'est emparé des pleins pouvoirs par un coup de force en 2012, deux ans après son élection. Certains portaient des pancartes "Not my president". "Pauvreté et inflation" "Y en a marre de ce président et du groupe qui l'entoure. Le pays est dans la misère, on ne peut rien acheter, le pays s'effondre, les hôpitaux sont en mauvais état", déplore auprès de l'AFP Nejia Adjmi, 63 ans, une pâtissière à la retraite. Les Tunisiens ont vu leur pouvoir d'achat reculer ces dernières années à cause d'une forte inflation (revenue à environ 5% après un pic de 10% en 2023) en particulier sur les produits alimentaires. "On ne peut même plus s'exprimer sur les réseaux sociaux", ajoute-t-elle, assurant être une proche de Saber Chouchane, condamné à mort puis gracié en octobre, pour avoir critiqué sur Facebook le président et la ministre de la Justice, Leila Jaffel. Plusieurs ONG tunisiennes et étrangères ont déploré une régression des droits et libertés depuis 2021. Amel est venue de La Goulette, une banlieue de classe moyenne, pour "manifester contre l'arbitraire". Cette psychologue à la retraite de 68 ans, qui préfère ne pas donner son nom, se dit "outrée qu'il y ait des gens emprisonnés pour un délit d'opinion". "On ne sait pas pourquoi ils sont détenus, on leur colle des procès à la suite les uns des autres pour ne pas les libérer", dit-elle à l'AFP. "Pauvreté, inflation, le pays est au fond du trou" et "les prisons sont pleines, il n'y a plus de liberté d'expression", s'énerve aussi Hicham Lahmer, un artisan-coordonnier de 45 ans. Il réclame le départ de M. Saied et "de nouvelles élections".

22.11.2025 à 20:20

Emmanuel Macron veut "bâtir une relation d'avenir apaisée" avec l'Algérie

FRANCE 24
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Emmanuel Macron a plaidé samedi pour une relation "apaisée" avec l'Algérie quelques jours après la libération de l'écrivain Boualem Sansal. Le président français a aussi affirmé que "beaucoup de choses" restent à "corriger" entre les deux pays.
Texte intégral (669 mots)
Emmanuel Macron a plaidé samedi pour une relation "apaisée" avec l'Algérie quelques jours après la libération de l'écrivain Boualem Sansal. Le président français a aussi affirmé que "beaucoup de choses" restent à "corriger" entre les deux pays.

22.11.2025 à 19:39

Coupe Davis: et à la fin, c'est l'Espagne ou l'Italie qui gagne

FRANCE24
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Certes, l'absence des N.1 et 2 mondiaux à Bologne, où se dispute cette année la phase finale à huit équipes après plusieurs éditions à Malaga, a fait jaser. Mais elle a aussi permis de souligner la profondeur de l'effectif italien, emmené par Flavio Cobolli (22e mondial) et Matteo Berrettini (56e), et du collectif espagnol, porté par Jaume Munar (36e), Pablo Carreño (89e) et la paire de double Marcel Granollers/Pedro Martinez. C'est d'ailleurs le duo Granollers/Martinez qui a marqué le point décisif pour l'Espagne contre l'Allemagne, en battant 6-2, 3-6, 6-3 la paire allemande composée de Kevin Krawietz et Tim Puetz. "On était persuadés que même sans Carlos (Alcaraz), on pouvait réaliser une belle semaine. Et désormais, on est en finale", s'est satisfait le capitaine espagnol David Ferrer devant la presse. "J'aimerais me concentrer sur les joueurs" espagnols présents à Bologne, a insisté l'ex-3e mondial. Dimanche "pourrait être une journée mémorable pour eux", s'est projeté Ferrer, qui a fait le choix audacieux de se passer du 14e mondial Alejandro Davidovich pour la phase finale. Comme en quarts de finale, la qualification espagnole a été saluée en majuscules par Carlos Alcaraz, qui a publié un vibrant "VAMOOOOOOS!!!!!!" accompagné de trois drapeaux espagnols sur son compte X. "On rentre encore à la maison après la demi-finale", a soupiré de son côté le capitaine allemand Michael Kohlmann après cette deuxième défaite d'affilée aux portes de la finale en Coupe Davis. "En définitive, avec deux simples et un double, le format réduit l'écart entre les pays. Il n'y a aucune place laissée à l'erreur, il faut saisir ses occasions dans chaque match. On n'a pas saisi les nôtres, c'est pour ça qu'on rentre chez nous et que l'Espagne est en finale", a développé le capitaine d'une sélection qui n'a plus disputé de match pour le titre depuis 1993 en Coupe Davis. Contrairement aux Italiens, qualifiés directement pour la phase finale grâce à leur statut d'hôtes du "Final 8", les Espagnols ont dû battre la Suisse puis le Danemark de l'ex-4e mondial Holger Rune (actuel 15e) en qualifications pour gagner leur place à Bologne. Ferrer retrouve son "ami" Volandri Samedi, le double décisif a été nettement moins emballant que celui qui avait permis aux Espagnols de vaincre jeudi en quarts de finale la République tchèque de Jiri Lehecka (17e), Jakub Mensik (19e) et Tomas Machac (32e). Mais il a assuré leur retour en finale de la Coupe Davis pour la première fois depuis 2019, l'année de leur sixième - et jusqu'à présent dernier - sacre dans la compétition. Pablo Carreño (89e) avait montré la voie à l'Espagne en battant 6-4, 7-6 (8/6) le N.2 allemand Jan-Lennard Struff (84e) dans le premier simple de la journée. Alexander Zverev, joueur le mieux classé à Bologne en l'absence d'Alcaraz et Sinner, a ensuite remis les deux équipes à égalité en battant 7-6 (7/2), 7-6 (7/5) le Majorquin Jaume Munar (36e). Mais les triples vainqueurs du Saladier d'argent du temps de Boris Becker et Michael Stich devront encore patienter avant d'en décrocher un quatrième. Dimanche, l'Espagne entrera sur le court avec un bilan de six victoires pour sept défaites contre l'Italie en Coupe Davis. Le dernier duel entre la sélection ibère et les triples vainqueurs de la compétition (1976, 2023, 2024) date de 2006. A l'époque, David Ferrer et le capitaine italien Filippo Volandri étaient encore joueurs et avaient tous les deux remporté un match de simple lors de la victoire 4-1 de l'Espagne. "Filippo est un bon ami", a assuré Ferrer. "Je lui souhaite le meilleur, sauf pour demain!"
Texte intégral (620 mots)
Certes, l'absence des N.1 et 2 mondiaux à Bologne, où se dispute cette année la phase finale à huit équipes après plusieurs éditions à Malaga, a fait jaser. Mais elle a aussi permis de souligner la profondeur de l'effectif italien, emmené par Flavio Cobolli (22e mondial) et Matteo Berrettini (56e), et du collectif espagnol, porté par Jaume Munar (36e), Pablo Carreño (89e) et la paire de double Marcel Granollers/Pedro Martinez. C'est d'ailleurs le duo Granollers/Martinez qui a marqué le point décisif pour l'Espagne contre l'Allemagne, en battant 6-2, 3-6, 6-3 la paire allemande composée de Kevin Krawietz et Tim Puetz. "On était persuadés que même sans Carlos (Alcaraz), on pouvait réaliser une belle semaine. Et désormais, on est en finale", s'est satisfait le capitaine espagnol David Ferrer devant la presse. "J'aimerais me concentrer sur les joueurs" espagnols présents à Bologne, a insisté l'ex-3e mondial. Dimanche "pourrait être une journée mémorable pour eux", s'est projeté Ferrer, qui a fait le choix audacieux de se passer du 14e mondial Alejandro Davidovich pour la phase finale. Comme en quarts de finale, la qualification espagnole a été saluée en majuscules par Carlos Alcaraz, qui a publié un vibrant "VAMOOOOOOS!!!!!!" accompagné de trois drapeaux espagnols sur son compte X. "On rentre encore à la maison après la demi-finale", a soupiré de son côté le capitaine allemand Michael Kohlmann après cette deuxième défaite d'affilée aux portes de la finale en Coupe Davis. "En définitive, avec deux simples et un double, le format réduit l'écart entre les pays. Il n'y a aucune place laissée à l'erreur, il faut saisir ses occasions dans chaque match. On n'a pas saisi les nôtres, c'est pour ça qu'on rentre chez nous et que l'Espagne est en finale", a développé le capitaine d'une sélection qui n'a plus disputé de match pour le titre depuis 1993 en Coupe Davis. Contrairement aux Italiens, qualifiés directement pour la phase finale grâce à leur statut d'hôtes du "Final 8", les Espagnols ont dû battre la Suisse puis le Danemark de l'ex-4e mondial Holger Rune (actuel 15e) en qualifications pour gagner leur place à Bologne. Ferrer retrouve son "ami" Volandri Samedi, le double décisif a été nettement moins emballant que celui qui avait permis aux Espagnols de vaincre jeudi en quarts de finale la République tchèque de Jiri Lehecka (17e), Jakub Mensik (19e) et Tomas Machac (32e). Mais il a assuré leur retour en finale de la Coupe Davis pour la première fois depuis 2019, l'année de leur sixième - et jusqu'à présent dernier - sacre dans la compétition. Pablo Carreño (89e) avait montré la voie à l'Espagne en battant 6-4, 7-6 (8/6) le N.2 allemand Jan-Lennard Struff (84e) dans le premier simple de la journée. Alexander Zverev, joueur le mieux classé à Bologne en l'absence d'Alcaraz et Sinner, a ensuite remis les deux équipes à égalité en battant 7-6 (7/2), 7-6 (7/5) le Majorquin Jaume Munar (36e). Mais les triples vainqueurs du Saladier d'argent du temps de Boris Becker et Michael Stich devront encore patienter avant d'en décrocher un quatrième. Dimanche, l'Espagne entrera sur le court avec un bilan de six victoires pour sept défaites contre l'Italie en Coupe Davis. Le dernier duel entre la sélection ibère et les triples vainqueurs de la compétition (1976, 2023, 2024) date de 2006. A l'époque, David Ferrer et le capitaine italien Filippo Volandri étaient encore joueurs et avaient tous les deux remporté un match de simple lors de la victoire 4-1 de l'Espagne. "Filippo est un bon ami", a assuré Ferrer. "Je lui souhaite le meilleur, sauf pour demain!"

22.11.2025 à 19:33

Top 14: les doublures toulousaines s'amusent, pas d'effet Labit à Perpignan

FRANCE24
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Avec une vingtaine d'absents recensés, le champion de France pouvait craindre son court déplacement chez le promu. Mais le doute éventuel n'a pas duré très longtemps tant les remplaçants habituels des rouge et noir ont survolé les débats (49-7) avec des doublés réussis pour Teddy Thomas, Dimitri Delibes et Mathis Lebel. Pigiste de luxe éphémère, l'ouvreur Valentin Delpy, prêté cette saison à Colomiers en Pro D2, a livré une copie très propre avec un 100 % au pied (14 points inscrits), une bonne animation et deux passes décisives. Seul bémol lors de cette démonstration occitane, la sortie sur blessure de Jack Willis, touché au bras et douteux pour le début de la campagne européenne. Cette lourde défaite des Montalbanais n'est comptablement pas dommageable dans la lutte qu'ils livrent avec Perpignan. Après avoir décroché leur premier point au Hameau lors de la dernière journée, synonyme d'espoir, les Catalans, désormais managés par Laurent Laurent Labit avec le vétéran argentin Benjamin Urdapilleta en guest-star inattendue, ont une nouvelle fois cédé. Sur la pelouse inhabituelle de Béziers, plus proche de Montpellier que de Perpignan, l'USAP a concédé un revers symbolique (28-0), sans le moindre point inscrit, en perdant de nouveau sa poutre Pesolo Tuilagi, touché au genou. Orgies offensives sur synthétique Grâce à son succès bonifié, acquis grâce à la puissance de ses avants, le MHR recolle au peloton des candidats à la qualification. Lyon, spécialiste des montagnes russes, a retrouvé un peu de mordant pour remporter un derby de Rhône-Alpes-Auvergne débridé avec dix essais inscrits face à un Clermont bien trop fébrile défensivement (43-24). Les coéquipiers du dynamiteur Baptiste Couilloud restaient sur trois revers de suite et la pression était palpable lors de chaque temps forts des Jaunards qui ont inscrit quatre essais. Mais cela s'est avéré insuffisant face aux crocs du LOU, qui a franchi six fois la ligne asémiste. Le choc ciel et blanc a tourné en faveur du Racing 92, de retour dans son Arena fétiche de Nanterre, qui a disposé d'un Bayonne décimé par les blessures avec là aussi un festival offensif (47-27). L'Aviron, sous-tension en coulisses ces dernières semaines quant à l'avenir de son manager Grégory Patat, a longtemps fait la course en tête grâce à une entame de feu et trois essais inscrits lors des 20 premières minutes avant de baisser de pied et d'exploser après l'heure de jeu. Castres rebondit Le crachin maritime n'a pas souri aux Rochelais, En danger sans ses internationaux sur le pont ce week-end ou revenus blessés de sélections (Nolann Le Garrec et Paul Boudehent). Ils ont été surpris par un Castres accrocheur, vaillant et solidaire (19-17) surtout lorsque les Tarnais se sont retrouvés l'espace de quatre minutes à 12 contre 15 en ne craquant qu'une fois sur un essai de Dillane Ultane, transformé par Antoine Hastoy qui a donné l'avantage à son équipe pour la première fois (17-16). Mais le CO, qui avait beaucoup à se faire pardonner après sa défaite à domicile face à Bordeaux-Bègles début novembre, est allé chercher la pénalité de la gagne réussie par l'ex-Rochelais Pierre Popelin pour repasser devant et a fini en supériorité numérique après le carton jaune adressé à Thomas Lavault, coupable d'une poussette volontaire sur... l'arbitre. En ouverture vendredi, Pau a fait valoir ses qualités aériennes à Bordeaux-Bègles pour s'imposer d'une courte tête (34-33), une victoire précieuse qui confirme son très bon début de saison et son statut de solide candidat à la qualification. Dimanche soir, Toulon, privé notamment des réservistes tricolores Baptiste Serin et Gaël Dréan, a la possibilité de recoller avec Toulouse en tête du classement s'il s'impose avec le bonus offensif au Stade Français.
Texte intégral (657 mots)
Avec une vingtaine d'absents recensés, le champion de France pouvait craindre son court déplacement chez le promu. Mais le doute éventuel n'a pas duré très longtemps tant les remplaçants habituels des rouge et noir ont survolé les débats (49-7) avec des doublés réussis pour Teddy Thomas, Dimitri Delibes et Mathis Lebel. Pigiste de luxe éphémère, l'ouvreur Valentin Delpy, prêté cette saison à Colomiers en Pro D2, a livré une copie très propre avec un 100 % au pied (14 points inscrits), une bonne animation et deux passes décisives. Seul bémol lors de cette démonstration occitane, la sortie sur blessure de Jack Willis, touché au bras et douteux pour le début de la campagne européenne. Cette lourde défaite des Montalbanais n'est comptablement pas dommageable dans la lutte qu'ils livrent avec Perpignan. Après avoir décroché leur premier point au Hameau lors de la dernière journée, synonyme d'espoir, les Catalans, désormais managés par Laurent Laurent Labit avec le vétéran argentin Benjamin Urdapilleta en guest-star inattendue, ont une nouvelle fois cédé. Sur la pelouse inhabituelle de Béziers, plus proche de Montpellier que de Perpignan, l'USAP a concédé un revers symbolique (28-0), sans le moindre point inscrit, en perdant de nouveau sa poutre Pesolo Tuilagi, touché au genou. Orgies offensives sur synthétique Grâce à son succès bonifié, acquis grâce à la puissance de ses avants, le MHR recolle au peloton des candidats à la qualification. Lyon, spécialiste des montagnes russes, a retrouvé un peu de mordant pour remporter un derby de Rhône-Alpes-Auvergne débridé avec dix essais inscrits face à un Clermont bien trop fébrile défensivement (43-24). Les coéquipiers du dynamiteur Baptiste Couilloud restaient sur trois revers de suite et la pression était palpable lors de chaque temps forts des Jaunards qui ont inscrit quatre essais. Mais cela s'est avéré insuffisant face aux crocs du LOU, qui a franchi six fois la ligne asémiste. Le choc ciel et blanc a tourné en faveur du Racing 92, de retour dans son Arena fétiche de Nanterre, qui a disposé d'un Bayonne décimé par les blessures avec là aussi un festival offensif (47-27). L'Aviron, sous-tension en coulisses ces dernières semaines quant à l'avenir de son manager Grégory Patat, a longtemps fait la course en tête grâce à une entame de feu et trois essais inscrits lors des 20 premières minutes avant de baisser de pied et d'exploser après l'heure de jeu. Castres rebondit Le crachin maritime n'a pas souri aux Rochelais, En danger sans ses internationaux sur le pont ce week-end ou revenus blessés de sélections (Nolann Le Garrec et Paul Boudehent). Ils ont été surpris par un Castres accrocheur, vaillant et solidaire (19-17) surtout lorsque les Tarnais se sont retrouvés l'espace de quatre minutes à 12 contre 15 en ne craquant qu'une fois sur un essai de Dillane Ultane, transformé par Antoine Hastoy qui a donné l'avantage à son équipe pour la première fois (17-16). Mais le CO, qui avait beaucoup à se faire pardonner après sa défaite à domicile face à Bordeaux-Bègles début novembre, est allé chercher la pénalité de la gagne réussie par l'ex-Rochelais Pierre Popelin pour repasser devant et a fini en supériorité numérique après le carton jaune adressé à Thomas Lavault, coupable d'une poussette volontaire sur... l'arbitre. En ouverture vendredi, Pau a fait valoir ses qualités aériennes à Bordeaux-Bègles pour s'imposer d'une courte tête (34-33), une victoire précieuse qui confirme son très bon début de saison et son statut de solide candidat à la qualification. Dimanche soir, Toulon, privé notamment des réservistes tricolores Baptiste Serin et Gaël Dréan, a la possibilité de recoller avec Toulouse en tête du classement s'il s'impose avec le bonus offensif au Stade Français.
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