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03.12.2025 à 13:07

CAN 2025, quand le cœur des binationaux balance

Stéphanie TROUILLARD
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Nés à Paris, Madrid ou Bruxelles, ils ont grandi avec deux cultures et deux drapeaux. À l’heure de la CAN 2025, de plus en plus de footballeurs binationaux tournent le dos aux grandes sélections européennes pour rejoindre le pays d’origine de leurs parents.
Nés à Paris, Madrid ou Bruxelles, ils ont grandi avec deux cultures et deux drapeaux. À l’heure de la CAN 2025, de plus en plus de footballeurs binationaux tournent le dos aux grandes sélections européennes pour rejoindre le pays d’origine de leurs parents.

03.12.2025 à 12:59

Guerre en Ukraine: de nouvelles négociations prévues après la rencontre Poutine-Witkoff

FRANCE24
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Ces dernières semaines, Washington cherche à faire adopter un plan de paix par les deux camps après presque quatre ans de combats déclenchés par l'offensive du Kremlin contre l'Ukraine en 2022. Mais la recherche d'un compromis est très difficile, alors que sur le front l'armée russe continue de progresser. Côté ukrainien, le négociateur de Kiev, Roustem Oumerov, doit rencontrer les Européens mercredi à Bruxelles puis commencera avec le chef d'état-major des forces armées, Andriï Gnatov, "les préparatifs d'une réunion avec les émissaires du président Trump aux Etats-Unis", a annoncé le dirigeant Volodymyr Zelensky, sans plus de détails. M. Oumerov, accompagné d'une délégation ukrainienne, avait déjà mené dimanche des pourparlers en Floride sur ce plan de paix. Pour sa part, le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a affirmé mercredi que Moscou était prêt à rencontrer "autant que nécessaire" des responsables américains pour trouver une issue au conflit. Cette intense activité diplomatique n'a pas permis pour l'heure d'atteindre un accord, en particulier sur la question clé des territoires: Moscou veut notamment que Kiev lui cède entièrement la région de Donetsk, dans l'est de l'Ukraine, qui est toujours l'épicentre des combats. L'émissaire américain Steve Witkoff, accompagné du gendre du président américain Donald Trump, Jared Kushner, s'est entretenu mardi pendant près de cinq heures au Kremlin avec Vladimir Poutine à propos de ce plan présenté par Washington il y a deux semaines et depuis retravaillé lors de consultations avec les Ukrainiens. Sur la question des territoires contrôlés par la Russie en Ukraine, qui représentent environ 19% du pays, "aucune solution de compromis n'a encore été choisie", même si "certaines propositions américaines peuvent être discutées", a ensuite déclaré le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov. "Nous avons pu nous mettre d'accord sur certains points (...), d'autres ont suscité des critiques, mais l'essentiel est qu'une discussion constructive ait eu lieu", a-t-il ajouté. Menaces de Poutine Quelques heures avant sa rencontre avec les Américains, Vladimir Poutine a menacé les Européens, les accusant de chercher à "empêcher" les efforts de Washington pour arrêter le conflit. "Nous n'avons pas l'intention de faire la guerre à l'Europe, mais si l'Europe le souhaite et commence, nous sommes prêts dès maintenant", a-t-il lancé aux journalistes, en marge d'un forum économique. Des propos qui tranchent avec ceux du chef de l'Otan, Mark Rutte, qui s'est dit peu avant convaincu que les efforts américains en Ukraine "finiront par rétablir la paix en Europe". Donald Trump a répété mardi que le règlement du conflit en Ukraine était une question complexe. "Ce n'est pas une situation facile, croyez-moi. Quel gâchis", a-t-il dit. Les Européens craignent que l'administration Trump, soupçonnée de complaisance vis-à-vis de Vladimir Poutine, ne sacrifie la souveraineté de l'Ukraine, considérée comme un rempart face à la Russie. Sur le front, les forces russes, plus nombreuses, poursuivent une avancée continue, bien que lente, dans certains secteurs. Elles ont réalisé en novembre leur plus grosse progression depuis un an, selon l'analyse par l'AFP des données fournies par l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW), qui travaille avec le Critical Threats Project (CTP, émanation de l'American Enterprise Institute), deux centres de réflexion américains spécialisés dans l'étude des conflits. Mercredi, elles ont revendiqué la prise du village Tchervoné situé dans la région de Zaporijjia (sud) à seulement quelques kilomètres de Gouliaïpole, une ville ayant notamment une valeur historique et symbolique pour Kiev. Ces dernières semaines, la Russie a mené des avancées dans cette zone, tout en continuant à progresser dans d'autres régions. Lundi, elle a revendiqué la prise de la ville de Pokrovsk dans l'est de l'Ukraine, un carrefour clé pour Kiev, ainsi que celle de Vovtchansk, dans le nord-est. Mais l'Ukraine a affirmé mardi que les combats à Pokrovsk se poursuivaient.
Texte intégral (679 mots)
Ces dernières semaines, Washington cherche à faire adopter un plan de paix par les deux camps après presque quatre ans de combats déclenchés par l'offensive du Kremlin contre l'Ukraine en 2022. Mais la recherche d'un compromis est très difficile, alors que sur le front l'armée russe continue de progresser. Côté ukrainien, le négociateur de Kiev, Roustem Oumerov, doit rencontrer les Européens mercredi à Bruxelles puis commencera avec le chef d'état-major des forces armées, Andriï Gnatov, "les préparatifs d'une réunion avec les émissaires du président Trump aux Etats-Unis", a annoncé le dirigeant Volodymyr Zelensky, sans plus de détails. M. Oumerov, accompagné d'une délégation ukrainienne, avait déjà mené dimanche des pourparlers en Floride sur ce plan de paix. Pour sa part, le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a affirmé mercredi que Moscou était prêt à rencontrer "autant que nécessaire" des responsables américains pour trouver une issue au conflit. Cette intense activité diplomatique n'a pas permis pour l'heure d'atteindre un accord, en particulier sur la question clé des territoires: Moscou veut notamment que Kiev lui cède entièrement la région de Donetsk, dans l'est de l'Ukraine, qui est toujours l'épicentre des combats. L'émissaire américain Steve Witkoff, accompagné du gendre du président américain Donald Trump, Jared Kushner, s'est entretenu mardi pendant près de cinq heures au Kremlin avec Vladimir Poutine à propos de ce plan présenté par Washington il y a deux semaines et depuis retravaillé lors de consultations avec les Ukrainiens. Sur la question des territoires contrôlés par la Russie en Ukraine, qui représentent environ 19% du pays, "aucune solution de compromis n'a encore été choisie", même si "certaines propositions américaines peuvent être discutées", a ensuite déclaré le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov. "Nous avons pu nous mettre d'accord sur certains points (...), d'autres ont suscité des critiques, mais l'essentiel est qu'une discussion constructive ait eu lieu", a-t-il ajouté. Menaces de Poutine Quelques heures avant sa rencontre avec les Américains, Vladimir Poutine a menacé les Européens, les accusant de chercher à "empêcher" les efforts de Washington pour arrêter le conflit. "Nous n'avons pas l'intention de faire la guerre à l'Europe, mais si l'Europe le souhaite et commence, nous sommes prêts dès maintenant", a-t-il lancé aux journalistes, en marge d'un forum économique. Des propos qui tranchent avec ceux du chef de l'Otan, Mark Rutte, qui s'est dit peu avant convaincu que les efforts américains en Ukraine "finiront par rétablir la paix en Europe". Donald Trump a répété mardi que le règlement du conflit en Ukraine était une question complexe. "Ce n'est pas une situation facile, croyez-moi. Quel gâchis", a-t-il dit. Les Européens craignent que l'administration Trump, soupçonnée de complaisance vis-à-vis de Vladimir Poutine, ne sacrifie la souveraineté de l'Ukraine, considérée comme un rempart face à la Russie. Sur le front, les forces russes, plus nombreuses, poursuivent une avancée continue, bien que lente, dans certains secteurs. Elles ont réalisé en novembre leur plus grosse progression depuis un an, selon l'analyse par l'AFP des données fournies par l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW), qui travaille avec le Critical Threats Project (CTP, émanation de l'American Enterprise Institute), deux centres de réflexion américains spécialisés dans l'étude des conflits. Mercredi, elles ont revendiqué la prise du village Tchervoné situé dans la région de Zaporijjia (sud) à seulement quelques kilomètres de Gouliaïpole, une ville ayant notamment une valeur historique et symbolique pour Kiev. Ces dernières semaines, la Russie a mené des avancées dans cette zone, tout en continuant à progresser dans d'autres régions. Lundi, elle a revendiqué la prise de la ville de Pokrovsk dans l'est de l'Ukraine, un carrefour clé pour Kiev, ainsi que celle de Vovtchansk, dans le nord-est. Mais l'Ukraine a affirmé mardi que les combats à Pokrovsk se poursuivaient.

03.12.2025 à 12:29

Premières discussions directes entre le Liban et Israël pour réduire la tension

FRANCE24
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Cette réunion intervient alors qu'Israël menace d'une escalade au Liban, où il continue de viser le Hezbollah malgré le cessez-le-feu en cours depuis un an, accusant la formation pro-iranienne de se réarmer. Israël a annoncé mercredi l'envoi d'un émissaire pour une rencontre avec des responsables au Liban, présentant cela comme une "première tentative pour établir une base de relations et de coopération économique" entre les deux pays ennemis depuis des décennies. La présidence libanaise a pour sa part annoncé mercredi avoir nommé un ancien diplomate à la tête de la délégation libanaise aux réunions du mécanisme et indiqué qu'Israël avait fait de même. Le comité de surveillance du cessez-le-feu est réuni mercredi au siège des forces de l'ONU à Naqoura, localité libanaise frontalière d'Israël, a indiqué à l'AFP une source proche des participants. Elle a précisé que les délégations du Liban et d'Israël y sont dirigées par des civils, et que l'émissaire américaine pour le Proche-Orient Morgan Ortagus participe à la réunion. Désarmement "crucial" Des militaires représentaient jusqu'à présent le Liban et Israël aux réunions de cet organisme dirigé par les Etats-Unis et qui comprend également la France et l'ONU. La délégation libanaise évitait tout contact direct avec la partie israélienne, selon une source diplomatique qui a requis l'anonymat. La rencontre intervient au lendemain de réunions de Mme Ortagus avec des responsables israéliens, dont le ministre des Affaires étrangères, Gideon Saar, qui a affirmé sur X que "le désarmement du Hezbollah est crucial pour l'avenir du Liban et la sécurité d'Israël". L'émissaire américaine est par la suite attendue au Liban. En novembre, l'émissaire américain Tom Barrack avait estimé que des négociations directes entre le Liban et Israël pourraient être la clé pour réduire la tension. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu "a chargé le directeur par intérim du Conseil de sécurité nationale d'envoyer un représentant de sa part à une réunion avec des responsables gouvernementaux et économiques au Liban", a indiqué un communiqué de son bureau sans plus de précisions. Peu auparavant, la porte-parole de la présidence libanaise, Najat Charafeddine, a avait annoncé dans un communiqué à la télévision que "le président Joseph Aoun a décidé de charger l'ancien ambassadeur Simon Karam de présider la délégation libanaise aux réunions du mécanisme". Elle a précisé que cette décision avait été prise "suite à la demande des Etats-Unis (...) et après avoir été informés qu'Israël acceptait de joindre un membre non militaire à sa délégation". Le président libanais s'était déclaré prêt à des négociations avec Israël, brisant un tabou entre les deux pays toujours en état de guerre. En 1983, après l’invasion israélienne du Liban, les deux pays avaient mené des contacts directs qui avaient abouti à la signature d’un accord prévoyant l’établissement de relations entre eux, mais il n'a jamais été ratifié. "Pas de calme" Depuis plusieurs semaines, la presse israélienne multiplie les articles sur la possible imminence d'une nouvelle campagne militaire israélienne contre le Hezbollah au Liban. Selon la radio-télévision publique israélienne, "Israël se prépare à une escalade majeure au Liban à la lumière du renforcement militaire en cours du Hezbollah", a affirmé la radio-télévision publique israélienne mercredi. "Washington tente d'apaiser les tensions, mais des responsables israéliens affirment qu'une escalade semble inévitable", a-t-elle ajouté. Il n'y aura "pas de calme" au Liban sans sécurité pour Israël, avait déclaré le ministre de la Défense israélien Israël Katz le 26 novembre. "Nous ne permettrons aucune menace contre les habitants du nord (d'Israël), et une pression maximale continuera à être exercée et même s'intensifiera", avait-il dit devant le Parlement israélien, avançant pour preuve "l'élimination" le 23 novembre à Beyrouth du chef militaire du Hezbollah, Haitham Ali Tabatabai. Le chef du Hezbollah, Naïm Qassem, a déclaré le 28 novembre que son mouvement se réservait "le droit de répondre" en temps voulu à cet assassinat.
Texte intégral (725 mots)
Cette réunion intervient alors qu'Israël menace d'une escalade au Liban, où il continue de viser le Hezbollah malgré le cessez-le-feu en cours depuis un an, accusant la formation pro-iranienne de se réarmer. Israël a annoncé mercredi l'envoi d'un émissaire pour une rencontre avec des responsables au Liban, présentant cela comme une "première tentative pour établir une base de relations et de coopération économique" entre les deux pays ennemis depuis des décennies. La présidence libanaise a pour sa part annoncé mercredi avoir nommé un ancien diplomate à la tête de la délégation libanaise aux réunions du mécanisme et indiqué qu'Israël avait fait de même. Le comité de surveillance du cessez-le-feu est réuni mercredi au siège des forces de l'ONU à Naqoura, localité libanaise frontalière d'Israël, a indiqué à l'AFP une source proche des participants. Elle a précisé que les délégations du Liban et d'Israël y sont dirigées par des civils, et que l'émissaire américaine pour le Proche-Orient Morgan Ortagus participe à la réunion. Désarmement "crucial" Des militaires représentaient jusqu'à présent le Liban et Israël aux réunions de cet organisme dirigé par les Etats-Unis et qui comprend également la France et l'ONU. La délégation libanaise évitait tout contact direct avec la partie israélienne, selon une source diplomatique qui a requis l'anonymat. La rencontre intervient au lendemain de réunions de Mme Ortagus avec des responsables israéliens, dont le ministre des Affaires étrangères, Gideon Saar, qui a affirmé sur X que "le désarmement du Hezbollah est crucial pour l'avenir du Liban et la sécurité d'Israël". L'émissaire américaine est par la suite attendue au Liban. En novembre, l'émissaire américain Tom Barrack avait estimé que des négociations directes entre le Liban et Israël pourraient être la clé pour réduire la tension. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu "a chargé le directeur par intérim du Conseil de sécurité nationale d'envoyer un représentant de sa part à une réunion avec des responsables gouvernementaux et économiques au Liban", a indiqué un communiqué de son bureau sans plus de précisions. Peu auparavant, la porte-parole de la présidence libanaise, Najat Charafeddine, a avait annoncé dans un communiqué à la télévision que "le président Joseph Aoun a décidé de charger l'ancien ambassadeur Simon Karam de présider la délégation libanaise aux réunions du mécanisme". Elle a précisé que cette décision avait été prise "suite à la demande des Etats-Unis (...) et après avoir été informés qu'Israël acceptait de joindre un membre non militaire à sa délégation". Le président libanais s'était déclaré prêt à des négociations avec Israël, brisant un tabou entre les deux pays toujours en état de guerre. En 1983, après l’invasion israélienne du Liban, les deux pays avaient mené des contacts directs qui avaient abouti à la signature d’un accord prévoyant l’établissement de relations entre eux, mais il n'a jamais été ratifié. "Pas de calme" Depuis plusieurs semaines, la presse israélienne multiplie les articles sur la possible imminence d'une nouvelle campagne militaire israélienne contre le Hezbollah au Liban. Selon la radio-télévision publique israélienne, "Israël se prépare à une escalade majeure au Liban à la lumière du renforcement militaire en cours du Hezbollah", a affirmé la radio-télévision publique israélienne mercredi. "Washington tente d'apaiser les tensions, mais des responsables israéliens affirment qu'une escalade semble inévitable", a-t-elle ajouté. Il n'y aura "pas de calme" au Liban sans sécurité pour Israël, avait déclaré le ministre de la Défense israélien Israël Katz le 26 novembre. "Nous ne permettrons aucune menace contre les habitants du nord (d'Israël), et une pression maximale continuera à être exercée et même s'intensifiera", avait-il dit devant le Parlement israélien, avançant pour preuve "l'élimination" le 23 novembre à Beyrouth du chef militaire du Hezbollah, Haitham Ali Tabatabai. Le chef du Hezbollah, Naïm Qassem, a déclaré le 28 novembre que son mouvement se réservait "le droit de répondre" en temps voulu à cet assassinat.

03.12.2025 à 12:09

Coupe du monde de rugby 2027 : la composition des poules

David GORMEZANO
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La 11e édition de la Coupe du monde masculine de rugby aura lieu en Australie, du 1ᵉʳ octobre au 3 novembre 2027. Pour la première fois, la compétition verra s'affronter 24 équipes réparties en six groupes avec l'introduction de huitièmes de finale. Le XV de France a hérité d'un groupe favorable, tandis que Nouvelle-Zélande et le pays hôte, l'Australie, s'affronteront dès les poules. France 24 fait le point sur le tirage au sort.
Texte intégral (725 mots)
La 11e édition de la Coupe du monde masculine de rugby aura lieu en Australie, du 1ᵉʳ octobre au 3 novembre 2027. Pour la première fois, la compétition verra s'affronter 24 équipes réparties en six groupes avec l'introduction de huitièmes de finale. Le XV de France a hérité d'un groupe favorable, tandis que Nouvelle-Zélande et le pays hôte, l'Australie, s'affronteront dès les poules. France 24 fait le point sur le tirage au sort.

03.12.2025 à 11:56

Plan de paix pour l'Ukraine : "aucun compromis" sur les territoires occupés par la Russie

FRANCE24
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"Aucun compromis" n'a été trouvé mardi sur l'épineuse question des territoires occupés par la Russie en Ukraine après une rencontre à Moscou entre le président Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff, qui lui présentait le plan de Washington pour mettre fin à près de quatre ans de guerre en Ukraine. Les précisions de Gulliver Cragg, correspondant France 24 à Kiev.
Texte intégral (725 mots)
"Aucun compromis" n'a été trouvé mardi sur l'épineuse question des territoires occupés par la Russie en Ukraine après une rencontre à Moscou entre le président Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff, qui lui présentait le plan de Washington pour mettre fin à près de quatre ans de guerre en Ukraine. Les précisions de Gulliver Cragg, correspondant France 24 à Kiev.
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