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▸ les 15 dernières parutions

04.12.2025 à 07:21

Labellisation des médias : la stratégie risquée de l'Élysée face au camp Bolloré

Barbara GABEL
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Accusé par les médias Bolloré, la droite et l’extrême droite de menacer la liberté d’expression après avoir évoqué une "labellisation des médias", Emmanuel Macron assure ne vouloir aucun label d’État. Mais la polémique enfle et la défense de l’Élysée peine à convaincre ses détracteurs. 
Accusé par les médias Bolloré, la droite et l’extrême droite de menacer la liberté d’expression après avoir évoqué une "labellisation des médias", Emmanuel Macron assure ne vouloir aucun label d’État. Mais la polémique enfle et la défense de l’Élysée peine à convaincre ses détracteurs. 

04.12.2025 à 07:19

Israël annonce avoir identifié la dépouille de l'avant-dernier otage détenu à Gaza

FRANCE 24
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La dépouille d'un ressortissant thaïlandais qui était détenu à Gaza a été identifiée jeudi, a annoncé l'armée israélienne. Il s'agissait de l'avant-dernier otage que le Hamas s'était engagé à restituer dans le cadre de l'accord de trêve.
La dépouille d'un ressortissant thaïlandais qui était détenu à Gaza a été identifiée jeudi, a annoncé l'armée israélienne. Il s'agissait de l'avant-dernier otage que le Hamas s'était engagé à restituer dans le cadre de l'accord de trêve.

04.12.2025 à 06:54

Guerre en Ukraine en direct : Steve Witkoff va rencontrer le négociateur ukrainien Oumerov en Floride

FRANCE 24
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L'émissaire américain de Donald Trump Steve Witkoff, ainsi que le gendre du président Jared Kushner, vont rencontrer le négociateur ukrainien Roustem Oumerov jeudi en Floride, après leur entretien mardi à Moscou avec Vladimir Poutine, a indiqué mercredi un responsable américain sous couvert de l'anonymat. Suivez notre direct.
L'émissaire américain de Donald Trump Steve Witkoff, ainsi que le gendre du président Jared Kushner, vont rencontrer le négociateur ukrainien Roustem Oumerov jeudi en Floride, après leur entretien mardi à Moscou avec Vladimir Poutine, a indiqué mercredi un responsable américain sous couvert de l'anonymat. Suivez notre direct.

04.12.2025 à 06:51

Australie: Meta exclut les moins de 16 ans de ses plateformes, acculé par Canberra

FRANCE24
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"Nous mettons tout en œuvre pour supprimer tous les comptes des utilisateurs que nous estimons être âgés de moins de 16 ans d'ici le 10 décembre, mais la mise en conformité avec la loi sera un processus continu en plusieurs étapes", a déclaré un porte-parole du groupe. Il a précisé que ces mêmes utilisateurs peuvent toujours enregistrer et télécharger leur historique en ligne. Et "avant vos 16 ans, nous vous informerons que vous serez bientôt autorisés à retrouver l'accès à ces plateformes, et vos contenus seront rétablis exactement tels que vous les avez laissés", a-t-il ajouté. Des centaines de milliers de mineurs doivent être touchés par cette mesure, qui touche aussi TikTok, Snapchat ou encore Twitch. Instagram compte à lui seul quelque 350.000 utilisateurs australiens de 13 à 15 ans. Sont toutefois exemptées pour l'heure WhatsApp - messagerie détenue par Meta -, Pinterest ou encore la plateforme de jeux vidéo en ligne Roblox. "Franchement étrange" Meta a demandé à ce que les magasins d'applications (tels que l'App Store d'Apple ou le Google Play Store) soient eux-mêmes tenus responsables de la vérification de l'âge des utilisateurs plutôt que les réseaux sociaux. Ce qui "éviterait aux adolescents d'avoir à vérifier leur âge plusieurs fois sur différentes applications", soutient la société. Le géant du streaming vidéo YouTube a pour sa part qualifié de "précipitée" mercredi l'interdiction imminente des réseaux aux jeunes Australiens, mais assuré que tous les utilisateurs de la tranche d'âge concernée seraient automatiquement exclus le 10 décembre. L'entreprise s'appuiera sur les âges renseignés par les internautes sur leurs comptes Google, servant à se connecter à YouTube. Néanmoins, les mineurs pourront toujours accéder au site sans compte comme n'importe quel utilisateur. Et ils n'auront plus accès à des fonctionnalités comme les "filtres de sécurité" conçus, par exemple, pour empêcher des vidéos non destinées à certains publics d'apparaître. Selon YouTube, l'interdiction décidée par Canberra rendra "les enfants australiens moins en sécurité sur YouTube". Le gouvernement australien a reconnu que l'interdiction serait loin d'être parfaite au début et que certains jeunes Australiens passeraient entre les mailles du filet avant que le système ne soit amélioré. Le Premier ministre australien, Anthony Albanese, a qualifié les réseaux sociaux de "plateformes de pression sociale, vectrices d'anxiété, un outil pour les arnaqueurs et, pire que tout, pour les prédateurs en ligne". Les opérateurs en infraction s'exposeront à des amendes de près de 28 millions d'euros sans "avancées raisonnables" pour se mettre en conformité. Cependant, ce concept n'a pas été clairement expliqué par les autorités. La ministre australienne des Communications Anika Wells a qualifié la position de l'entreprise de "franchement étrange". "Si YouTube nous rappelle à tous qu'il n'est pas sûr et qu'il contient des contenus inappropriés pour les utilisateurs soumis à une restriction d'âge, c'est un problème que YouTube doit résoudre", a-t-elle déclaré. Pour Mme Wells, "cette loi en particulier ne résoudra pas tous les problèmes liés à Internet, mais elle permettra aux enfants de devenir plus facilement une meilleure version d'eux-mêmes".
Texte intégral (541 mots)
"Nous mettons tout en œuvre pour supprimer tous les comptes des utilisateurs que nous estimons être âgés de moins de 16 ans d'ici le 10 décembre, mais la mise en conformité avec la loi sera un processus continu en plusieurs étapes", a déclaré un porte-parole du groupe. Il a précisé que ces mêmes utilisateurs peuvent toujours enregistrer et télécharger leur historique en ligne. Et "avant vos 16 ans, nous vous informerons que vous serez bientôt autorisés à retrouver l'accès à ces plateformes, et vos contenus seront rétablis exactement tels que vous les avez laissés", a-t-il ajouté. Des centaines de milliers de mineurs doivent être touchés par cette mesure, qui touche aussi TikTok, Snapchat ou encore Twitch. Instagram compte à lui seul quelque 350.000 utilisateurs australiens de 13 à 15 ans. Sont toutefois exemptées pour l'heure WhatsApp - messagerie détenue par Meta -, Pinterest ou encore la plateforme de jeux vidéo en ligne Roblox. "Franchement étrange" Meta a demandé à ce que les magasins d'applications (tels que l'App Store d'Apple ou le Google Play Store) soient eux-mêmes tenus responsables de la vérification de l'âge des utilisateurs plutôt que les réseaux sociaux. Ce qui "éviterait aux adolescents d'avoir à vérifier leur âge plusieurs fois sur différentes applications", soutient la société. Le géant du streaming vidéo YouTube a pour sa part qualifié de "précipitée" mercredi l'interdiction imminente des réseaux aux jeunes Australiens, mais assuré que tous les utilisateurs de la tranche d'âge concernée seraient automatiquement exclus le 10 décembre. L'entreprise s'appuiera sur les âges renseignés par les internautes sur leurs comptes Google, servant à se connecter à YouTube. Néanmoins, les mineurs pourront toujours accéder au site sans compte comme n'importe quel utilisateur. Et ils n'auront plus accès à des fonctionnalités comme les "filtres de sécurité" conçus, par exemple, pour empêcher des vidéos non destinées à certains publics d'apparaître. Selon YouTube, l'interdiction décidée par Canberra rendra "les enfants australiens moins en sécurité sur YouTube". Le gouvernement australien a reconnu que l'interdiction serait loin d'être parfaite au début et que certains jeunes Australiens passeraient entre les mailles du filet avant que le système ne soit amélioré. Le Premier ministre australien, Anthony Albanese, a qualifié les réseaux sociaux de "plateformes de pression sociale, vectrices d'anxiété, un outil pour les arnaqueurs et, pire que tout, pour les prédateurs en ligne". Les opérateurs en infraction s'exposeront à des amendes de près de 28 millions d'euros sans "avancées raisonnables" pour se mettre en conformité. Cependant, ce concept n'a pas été clairement expliqué par les autorités. La ministre australienne des Communications Anika Wells a qualifié la position de l'entreprise de "franchement étrange". "Si YouTube nous rappelle à tous qu'il n'est pas sûr et qu'il contient des contenus inappropriés pour les utilisateurs soumis à une restriction d'âge, c'est un problème que YouTube doit résoudre", a-t-elle déclaré. Pour Mme Wells, "cette loi en particulier ne résoudra pas tous les problèmes liés à Internet, mais elle permettra aux enfants de devenir plus facilement une meilleure version d'eux-mêmes".

04.12.2025 à 06:49

L'Eurovision se penche sur la participation d'Israël après des appels au boycott

FRANCE24
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Plusieurs pays - l'Espagne, l'Irlande, la Slovénie, l'Islande et les Pays-Bas - ont menacé ces derniers mois de ne pas envoyer de représentant au concours à Vienne en mai prochain si Israël était autorisé à participer. D'autres pays, comme la Belgique, la Suède et la Finlande, ont également indiqué qu'ils songeaient à un boycott. Les organisateurs du télé-crochet le plus suivi au monde avaient prévu de réunir les diffuseurs début novembre pour voter, lors d'une réunion extraordinaire, sur la participation d'Israël. Mais quelques jours après l'annonce de l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le mouvement palestinien Hamas, l'UER avait finalement annoncé, le 13 octobre, qu'elle reportait la discussion à son assemblée générale ordinaire, les 4 et 5 décembre. Depuis, l'UER a annoncé, le 21 novembre, avoir modifié ses règles de vote pour le concours et vouloir renforcer ses efforts pour "détecter et prévenir toute activité de vote frauduleuse ou coordonnée", alors que le soutien public massif attribué aux candidats israéliens ces dernières années a suscité la controverse. Les diffuseurs vont donc décider, lors de l'assemblée générale, s'ils jugent ces mesures suffisantes ou s'ils souhaitent malgré tout voter sur la participation d'Israël. Le groupe audiovisuel public autrichien ORF a dit espérer qu'un compromis serait trouvé, afin que l'Autriche puisse accueillir le "plus de participants possibles" autour de "règles communes nouvelles" répondant aux inquiétudes. Appels au boycott Mais plusieurs diffuseurs ont récemment indiqué que les mesures prises par l'UER n'étaient pas suffisantes. Ainsi, la chaine de télévision islandaise RUV a décidé la semaine dernière qu'elle allait demander l'exclusion d'Israël, avant de se prononcer sur sa propre participation au concours. La télévision publique espagnole RTVE a elle réaffirmé son intention de boycotter le concours si Israël y participe. Les mesures prises par l'UER "constituent un progrès" mais elles "ne suffisent pas", a récemment déclaré le président de RTVE, José Pablo López. "Israël a utilisé le concours à des fins politiques, a tenté d'influencer le résultat et n'a pas été sanctionné pour ce comportement", a-t-il souligné. La chaîne publique slovène RTVSLO ne prévoit pas non plus, en l'état, de concourir, selon son budget adopté la semaine dernière. Mais "si un vote a lieu lors de l'assemblée générale" et qu'Israël est exclu, "alors nous proposerons (...) de participer", a déclaré la directrice de RTVSLO, Natasa Gorscak. Cette année, la chanteuse israélienne Yuval Raphael, survivante de l'attaque du 7 octobre 2023, était arrivée deuxième au concours, portée par le vote du public. Plusieurs diffuseurs du concours avaient demandé que la lumière soit faite sur le détail des votes. En 2024 aussi, les jurys nationaux avaient largement snobé Israël. Mais le vote du public avait donné un spectaculaire coup de pouce à la candidate israélienne, Eden Golan, la catapultant à la cinquième place. L'Eurovision est régulièrement le théâtre d'oppositions géopolitiques. La Russie a été exclue à la suite de l'invasion de l'Ukraine en 2022. Le Bélarus l'avait été un an plus tôt après la réélection contestée du président Alexandre Loukachenko. burs-apo/ag/mr/ega
Texte intégral (563 mots)
Plusieurs pays - l'Espagne, l'Irlande, la Slovénie, l'Islande et les Pays-Bas - ont menacé ces derniers mois de ne pas envoyer de représentant au concours à Vienne en mai prochain si Israël était autorisé à participer. D'autres pays, comme la Belgique, la Suède et la Finlande, ont également indiqué qu'ils songeaient à un boycott. Les organisateurs du télé-crochet le plus suivi au monde avaient prévu de réunir les diffuseurs début novembre pour voter, lors d'une réunion extraordinaire, sur la participation d'Israël. Mais quelques jours après l'annonce de l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le mouvement palestinien Hamas, l'UER avait finalement annoncé, le 13 octobre, qu'elle reportait la discussion à son assemblée générale ordinaire, les 4 et 5 décembre. Depuis, l'UER a annoncé, le 21 novembre, avoir modifié ses règles de vote pour le concours et vouloir renforcer ses efforts pour "détecter et prévenir toute activité de vote frauduleuse ou coordonnée", alors que le soutien public massif attribué aux candidats israéliens ces dernières années a suscité la controverse. Les diffuseurs vont donc décider, lors de l'assemblée générale, s'ils jugent ces mesures suffisantes ou s'ils souhaitent malgré tout voter sur la participation d'Israël. Le groupe audiovisuel public autrichien ORF a dit espérer qu'un compromis serait trouvé, afin que l'Autriche puisse accueillir le "plus de participants possibles" autour de "règles communes nouvelles" répondant aux inquiétudes. Appels au boycott Mais plusieurs diffuseurs ont récemment indiqué que les mesures prises par l'UER n'étaient pas suffisantes. Ainsi, la chaine de télévision islandaise RUV a décidé la semaine dernière qu'elle allait demander l'exclusion d'Israël, avant de se prononcer sur sa propre participation au concours. La télévision publique espagnole RTVE a elle réaffirmé son intention de boycotter le concours si Israël y participe. Les mesures prises par l'UER "constituent un progrès" mais elles "ne suffisent pas", a récemment déclaré le président de RTVE, José Pablo López. "Israël a utilisé le concours à des fins politiques, a tenté d'influencer le résultat et n'a pas été sanctionné pour ce comportement", a-t-il souligné. La chaîne publique slovène RTVSLO ne prévoit pas non plus, en l'état, de concourir, selon son budget adopté la semaine dernière. Mais "si un vote a lieu lors de l'assemblée générale" et qu'Israël est exclu, "alors nous proposerons (...) de participer", a déclaré la directrice de RTVSLO, Natasa Gorscak. Cette année, la chanteuse israélienne Yuval Raphael, survivante de l'attaque du 7 octobre 2023, était arrivée deuxième au concours, portée par le vote du public. Plusieurs diffuseurs du concours avaient demandé que la lumière soit faite sur le détail des votes. En 2024 aussi, les jurys nationaux avaient largement snobé Israël. Mais le vote du public avait donné un spectaculaire coup de pouce à la candidate israélienne, Eden Golan, la catapultant à la cinquième place. L'Eurovision est régulièrement le théâtre d'oppositions géopolitiques. La Russie a été exclue à la suite de l'invasion de l'Ukraine en 2022. Le Bélarus l'avait été un an plus tôt après la réélection contestée du président Alexandre Loukachenko. burs-apo/ag/mr/ega
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