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23.11.2025 à 16:25

Donald Trump fustige l'Ukraine pour son manque de "gratitude" à l'égard des États-Unis

FRANCE 24
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Le président américain, Donald Trump, a accusé, dimanche, les dirigeants ukrainiens de ne faire preuve "d'aucune gratitude" envers les États-Unis alors qu'il tente d'imposer un accord pour mettre fin au conflit avec la Russie. Ce plan est contesté par Kiev et ses alliés européens.
Le président américain, Donald Trump, a accusé, dimanche, les dirigeants ukrainiens de ne faire preuve "d'aucune gratitude" envers les États-Unis alors qu'il tente d'imposer un accord pour mettre fin au conflit avec la Russie. Ce plan est contesté par Kiev et ses alliés européens.

23.11.2025 à 16:09

Roussel (PCF) veut 60.000 policiers et douaniers de plus pour mener la guerre au narcotrafic

FRANCE24
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Le chef des communistes s'exprimait lors d'un grand meeting de son parti à Marseille, une des villes les plus touchées par ce fléau. La veille, une marche blanche y avait eu lieu après l'assassinat de Mehdi Kessaci, frère du militant anti-drogue Amine Kessaci. "Il est possible et même indispensable d'embaucher 60.000 agents de police, enquêteurs, douaniers pour mener ce combat sans merci", a-t-il déclaré, chiffrant sa proposition à 2,5 milliards d'euros "dès maintenant". "Voilà ce que nous exigeons de la République", a-t-il dit. Fabien Roussel a réaffirmé son soutien sans réserve aux forces de l'ordre, se démarquant des positions souvent exprimées par la France insoumise (LFI). "Jamais nous ne dirons +tout le monde déteste la police+; nous, nous les soutenons et nous voulons des gardiens de la paix au service du peuple, pour le peuple et avec le peuple", a-t-il dit. Il a opposé "cette guerre que nous sommes prêts à mener et sans transiger" aux menaces de conflit en Europe récemment brandies par le chef d'Etat major des armées, le général Fabien Mandon. "Jamais nous ne voterons des crédits militaires et les pleins pouvoirs à des dirigeants prêts à envoyer nos enfants se faire tuer pour des guerres qui ne sont pas les nôtres", a lancé Fabien Roussel, renvoyant dos à dos le "nationalisme de Poutine" et "ceux qui voudraient nous faire entrer en guerre contre le peuple russe". Le général Mandon, un proche du président Emmanuel Macron, avait prévenu mardi dernier devant le Congrès des maires que la France devait restaurer sa "force d'âme" et "accepter de perdre ses enfants" en cas de conflit en Europe. Au cours de ce meeting à Marseille, Fabien Roussel a également évoqué les prochaines élections municipales des 15 et 22 mars, et plaidé pour une "union dans la clarté et la confiance" à gauche. Il s'est engagé à ce que les communistes ne conduisent "aucune liste de division contre des maires sortants, socialistes, écologistes ou insoumis".
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Le chef des communistes s'exprimait lors d'un grand meeting de son parti à Marseille, une des villes les plus touchées par ce fléau. La veille, une marche blanche y avait eu lieu après l'assassinat de Mehdi Kessaci, frère du militant anti-drogue Amine Kessaci. "Il est possible et même indispensable d'embaucher 60.000 agents de police, enquêteurs, douaniers pour mener ce combat sans merci", a-t-il déclaré, chiffrant sa proposition à 2,5 milliards d'euros "dès maintenant". "Voilà ce que nous exigeons de la République", a-t-il dit. Fabien Roussel a réaffirmé son soutien sans réserve aux forces de l'ordre, se démarquant des positions souvent exprimées par la France insoumise (LFI). "Jamais nous ne dirons +tout le monde déteste la police+; nous, nous les soutenons et nous voulons des gardiens de la paix au service du peuple, pour le peuple et avec le peuple", a-t-il dit. Il a opposé "cette guerre que nous sommes prêts à mener et sans transiger" aux menaces de conflit en Europe récemment brandies par le chef d'Etat major des armées, le général Fabien Mandon. "Jamais nous ne voterons des crédits militaires et les pleins pouvoirs à des dirigeants prêts à envoyer nos enfants se faire tuer pour des guerres qui ne sont pas les nôtres", a lancé Fabien Roussel, renvoyant dos à dos le "nationalisme de Poutine" et "ceux qui voudraient nous faire entrer en guerre contre le peuple russe". Le général Mandon, un proche du président Emmanuel Macron, avait prévenu mardi dernier devant le Congrès des maires que la France devait restaurer sa "force d'âme" et "accepter de perdre ses enfants" en cas de conflit en Europe. Au cours de ce meeting à Marseille, Fabien Roussel a également évoqué les prochaines élections municipales des 15 et 22 mars, et plaidé pour une "union dans la clarté et la confiance" à gauche. Il s'est engagé à ce que les communistes ne conduisent "aucune liste de division contre des maires sortants, socialistes, écologistes ou insoumis".

23.11.2025 à 16:01

Ski: Mikaela Shiffrin toujours sans rivale à Gurgl

FRANCE24
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Il s'agit seulement du deuxième slalom de l'hiver mais les mots semblent déjà manquer pour décrire la domination totale de l'Américaine dans la discipline. Après sa démonstration la semaine dernière à Levi en Finlande, où elle s'était imposée avec plus d'une seconde et demi d'avance pour le premier slalom de l'hiver, Mikaela Shiffrin a enfoncé le clou en Autriche. En première manche dimanche, elle avait déjà signé le meilleur temps mais n'avait pas encore tout à fait écrasé la course. Derrière elle, l'Albanaise Lara Colturi n'avait que trois dixièmes de retard et les Suissesses Camille Rast et Wendy Holdener étaient elles aussi sous la demi-seconde. "Je pense que je peux m'améliorer en seconde manche, mais toutes mes concurrentes aussi", estimait alors Shiffrin, soulignant des conditions de neige "étranges", entre une piste glacée sur le haut du tracé puis des neiges plus agressives en bas. "Nerveuse" "Pour être honnête, je suis un peu nerveuse pour la suite", avouait-elle. "Mais j'ai un plan." En seconde manche, tout paraissait encore possible après les prestations de Camille Rast et de Lara Colturi, qui ont effectué des manches solides et semblaient être à la bataille. Mais Mikaela Shiffrin s'est alors élancée et le public autrichien a compris dès les premières courbes qu'il assistait à du grand Shiffrin. Techniquement impeccable, elle a repris du temps à tous les intermédiaires pour signer, chose rare quand on referme le portillon, le meilleur temps de la seconde manche. Les trois petits dixièmes d'avance de la première manche se sont transformés en un matelas de plus d'une seconde à l'arrivée. "Il a fallu pousser fort sur les skis mais c'était vraiment une bonne manche. Ce n'était pas facile, il fallait y aller à fond", a réagi l'Américaine au micro de la Fédération internationale de ski (FIS). Avec Mikaela Shiffrin en tête devant Lara Colturi (+ 1.23) et la championne du monde Camille Rast (+ 1.41), le podium est exactement le même que l'hiver dernier, quand le slalom de Gurgl avait fait son apparition dans le calendrier de la Coupe du monde de ski féminine. A 30 ans, Shiffrin signe sa 103e victoire en Coupe du monde et améliore encore le record absolu de succès sur le circuit qu'elle détient depuis 2023. Il s'agit de sa 66e victoire en slalom, sa discipline de prédilection. Avec sa 4e place lors du géant d'ouverture à Sölden fin octobre puis ses deux victoires à Levi et à Gurgl, elle conserve la tête provisoire du classement général de la Coupe du monde. Lara Colturi, déjà 2e à Levi la semaine dernière, confirme à 19 ans seulement son excellent début de saison. Quant à Camille Rast, la championne du monde retrouve enfin le podium après des mois plombés par des problèmes de hanche. Côté Françaises, Marion Chevrier, 25e de la première manche, a réalisé une belle seconde manche pour remonter à la 15e place (+3.66). Marie Lamure termine 23e (+5.01). La Coupe du monde de ski se poursuit à partir du 27 novembre avec l'étape de Copper Mountain, aux Etats-Unis.
Texte intégral (535 mots)
Il s'agit seulement du deuxième slalom de l'hiver mais les mots semblent déjà manquer pour décrire la domination totale de l'Américaine dans la discipline. Après sa démonstration la semaine dernière à Levi en Finlande, où elle s'était imposée avec plus d'une seconde et demi d'avance pour le premier slalom de l'hiver, Mikaela Shiffrin a enfoncé le clou en Autriche. En première manche dimanche, elle avait déjà signé le meilleur temps mais n'avait pas encore tout à fait écrasé la course. Derrière elle, l'Albanaise Lara Colturi n'avait que trois dixièmes de retard et les Suissesses Camille Rast et Wendy Holdener étaient elles aussi sous la demi-seconde. "Je pense que je peux m'améliorer en seconde manche, mais toutes mes concurrentes aussi", estimait alors Shiffrin, soulignant des conditions de neige "étranges", entre une piste glacée sur le haut du tracé puis des neiges plus agressives en bas. "Nerveuse" "Pour être honnête, je suis un peu nerveuse pour la suite", avouait-elle. "Mais j'ai un plan." En seconde manche, tout paraissait encore possible après les prestations de Camille Rast et de Lara Colturi, qui ont effectué des manches solides et semblaient être à la bataille. Mais Mikaela Shiffrin s'est alors élancée et le public autrichien a compris dès les premières courbes qu'il assistait à du grand Shiffrin. Techniquement impeccable, elle a repris du temps à tous les intermédiaires pour signer, chose rare quand on referme le portillon, le meilleur temps de la seconde manche. Les trois petits dixièmes d'avance de la première manche se sont transformés en un matelas de plus d'une seconde à l'arrivée. "Il a fallu pousser fort sur les skis mais c'était vraiment une bonne manche. Ce n'était pas facile, il fallait y aller à fond", a réagi l'Américaine au micro de la Fédération internationale de ski (FIS). Avec Mikaela Shiffrin en tête devant Lara Colturi (+ 1.23) et la championne du monde Camille Rast (+ 1.41), le podium est exactement le même que l'hiver dernier, quand le slalom de Gurgl avait fait son apparition dans le calendrier de la Coupe du monde de ski féminine. A 30 ans, Shiffrin signe sa 103e victoire en Coupe du monde et améliore encore le record absolu de succès sur le circuit qu'elle détient depuis 2023. Il s'agit de sa 66e victoire en slalom, sa discipline de prédilection. Avec sa 4e place lors du géant d'ouverture à Sölden fin octobre puis ses deux victoires à Levi et à Gurgl, elle conserve la tête provisoire du classement général de la Coupe du monde. Lara Colturi, déjà 2e à Levi la semaine dernière, confirme à 19 ans seulement son excellent début de saison. Quant à Camille Rast, la championne du monde retrouve enfin le podium après des mois plombés par des problèmes de hanche. Côté Françaises, Marion Chevrier, 25e de la première manche, a réalisé une belle seconde manche pour remonter à la 15e place (+3.66). Marie Lamure termine 23e (+5.01). La Coupe du monde de ski se poursuit à partir du 27 novembre avec l'étape de Copper Mountain, aux Etats-Unis.

23.11.2025 à 15:47

Vers l'instauration d'un service militaire volontaire en France

FRANCE24
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La date de jeudi est envisagée pour des annonces présidentielles, sans que cela soit confirmé officiellement, selon des sources concordantes. "Dans le monde où nous vivons fait d'incertitudes, d'une montée des tensions, si nous voulons véritablement être en sécurité, il faut dissuader l'autre de venir (…) La France doit continuer d'être une nation forte avec une armée forte mais avec aussi une capacité de sursaut collectif", a affirmé samedi le chef de l'Etat, en marge du G20 à Johannesburg, en Afrique du Sud. Si les pays scandinaves ou les Baltes, voisins du géant russe, ont maintenu ou rétabli ces dernières années le service militaire obligatoire, la France a elle suspendu la conscription en 1997, sous la présidence de Jacques Chirac. "De nombreux voisins en Europe sont en train de réintroduire un service national", a fait valoir samedi sur France 5 le chef d'état-major des armées, le général Fabien Mandon, estimant que cela faisait partie d'"éléments qui sont à observer dans notre pays". Emmanuel Macron avait introduit cette idée de service volontaire le 13 juillet, devant un parterre de hauts gradés. Face à une Europe "mise en danger" par la "menace durable" de la Russie, "il faut une nation capable de tenir, d'être mobilisée", avait-il estimé. Outre des "efforts sur notre réserve", il faut aussi "donner à la jeunesse un nouveau cadre pour servir, selon d'autres modalités, au sein de nos armées", avait-il souligné en promettant des "décisions en ce sens à l'automne". Interrogé par l'AFP, le ministère des Armées n'a pas souhaité s'exprimer sur les contours de ce service et sa durée, tout comme son coût. Il y a des "travaux en ce sens", a simplement indiqué Alice Rufo, ministre déléguée aux Armées dimanche sur France Info. "Les arbitrages n'ont pas été rendus", a précisé à l'AFP une source proche du dossier. Jusqu'à 50.000 jeunes par an Différents scénarios envisagent un volume de 10.000 à 50.000 personnes par an, selon plusieurs sources proches du dossier. D'après plusieurs médias français, la durée envisagée de ce service volontaire serait de 10 mois et serait rémunéré à hauteur de plusieurs centaines d'euros. Selon la Revue nationale stratégique 2025, un document qui résume les ambitions de la France en matière de politique de défense et de sécurité, la mise en place d'un service militaire volontaire "rénové" viserait à "renforcer la cohésion nationale" et à "créer un réservoir de personnes mobilisables en cas de crise". Les armées françaises comptent environ 200.000 militaires d'active et 47.000 réservistes, et doivent passer à respectivement 210.000 et 80.000 personnes en 2030. La mobilisation sur la base du volontariat d'une partie d'une classe d'âge pourrait servir à répondre aux besoins d'"acquérir la masse" nécessaire pour tenir dans la durée en cas de conflit, estimait cet été le général Pierre Schill, chef d'état-major de l'armée de Terre. L'idée est saluée par une partie de la classe politique française. "Tout ce qui peut participer à l'esprit de défense, à la résilience nationale et à exprimer le sentiment patriotique qui sommeille dans la population est positif", a commenté dans la Tribune dimanche le président de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat, Cédric Perrin (Les Républicains). A l'extrême droite, le président du Rassemblement national (RN) Jordan Bardella s'est dit mercredi sur X "favorable" au rétablissement d'un service sous les drapeaux "en commençant par un service militaire ouvert aux volontaires". Patrick Kanner, le président du groupe socialiste au Sénat, reste plus circonspect. "Je suis très prudent en la matière (...) Je crois à l'armée de métier aujourd'hui. Après, si les jeunes veulent s'engager pour la nation, naturellement, j'y suis favorable", a-t-il confié dimanche à France 3. Les arbitrages attendus promettent aussi de concerner l'avenir incertain du service national universel (SNU) destiné aux mineurs de 15 à 17 ans. Ce service civil, lancé en 2019 et dont les crédits ont été depuis rabotés, n'a jamais trouvé son rythme de croisière. Il consistait essentiellement en un stage de cohésion de deux semaines.
Texte intégral (718 mots)
La date de jeudi est envisagée pour des annonces présidentielles, sans que cela soit confirmé officiellement, selon des sources concordantes. "Dans le monde où nous vivons fait d'incertitudes, d'une montée des tensions, si nous voulons véritablement être en sécurité, il faut dissuader l'autre de venir (…) La France doit continuer d'être une nation forte avec une armée forte mais avec aussi une capacité de sursaut collectif", a affirmé samedi le chef de l'Etat, en marge du G20 à Johannesburg, en Afrique du Sud. Si les pays scandinaves ou les Baltes, voisins du géant russe, ont maintenu ou rétabli ces dernières années le service militaire obligatoire, la France a elle suspendu la conscription en 1997, sous la présidence de Jacques Chirac. "De nombreux voisins en Europe sont en train de réintroduire un service national", a fait valoir samedi sur France 5 le chef d'état-major des armées, le général Fabien Mandon, estimant que cela faisait partie d'"éléments qui sont à observer dans notre pays". Emmanuel Macron avait introduit cette idée de service volontaire le 13 juillet, devant un parterre de hauts gradés. Face à une Europe "mise en danger" par la "menace durable" de la Russie, "il faut une nation capable de tenir, d'être mobilisée", avait-il estimé. Outre des "efforts sur notre réserve", il faut aussi "donner à la jeunesse un nouveau cadre pour servir, selon d'autres modalités, au sein de nos armées", avait-il souligné en promettant des "décisions en ce sens à l'automne". Interrogé par l'AFP, le ministère des Armées n'a pas souhaité s'exprimer sur les contours de ce service et sa durée, tout comme son coût. Il y a des "travaux en ce sens", a simplement indiqué Alice Rufo, ministre déléguée aux Armées dimanche sur France Info. "Les arbitrages n'ont pas été rendus", a précisé à l'AFP une source proche du dossier. Jusqu'à 50.000 jeunes par an Différents scénarios envisagent un volume de 10.000 à 50.000 personnes par an, selon plusieurs sources proches du dossier. D'après plusieurs médias français, la durée envisagée de ce service volontaire serait de 10 mois et serait rémunéré à hauteur de plusieurs centaines d'euros. Selon la Revue nationale stratégique 2025, un document qui résume les ambitions de la France en matière de politique de défense et de sécurité, la mise en place d'un service militaire volontaire "rénové" viserait à "renforcer la cohésion nationale" et à "créer un réservoir de personnes mobilisables en cas de crise". Les armées françaises comptent environ 200.000 militaires d'active et 47.000 réservistes, et doivent passer à respectivement 210.000 et 80.000 personnes en 2030. La mobilisation sur la base du volontariat d'une partie d'une classe d'âge pourrait servir à répondre aux besoins d'"acquérir la masse" nécessaire pour tenir dans la durée en cas de conflit, estimait cet été le général Pierre Schill, chef d'état-major de l'armée de Terre. L'idée est saluée par une partie de la classe politique française. "Tout ce qui peut participer à l'esprit de défense, à la résilience nationale et à exprimer le sentiment patriotique qui sommeille dans la population est positif", a commenté dans la Tribune dimanche le président de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat, Cédric Perrin (Les Républicains). A l'extrême droite, le président du Rassemblement national (RN) Jordan Bardella s'est dit mercredi sur X "favorable" au rétablissement d'un service sous les drapeaux "en commençant par un service militaire ouvert aux volontaires". Patrick Kanner, le président du groupe socialiste au Sénat, reste plus circonspect. "Je suis très prudent en la matière (...) Je crois à l'armée de métier aujourd'hui. Après, si les jeunes veulent s'engager pour la nation, naturellement, j'y suis favorable", a-t-il confié dimanche à France 3. Les arbitrages attendus promettent aussi de concerner l'avenir incertain du service national universel (SNU) destiné aux mineurs de 15 à 17 ans. Ce service civil, lancé en 2019 et dont les crédits ont été depuis rabotés, n'a jamais trouvé son rythme de croisière. Il consistait essentiellement en un stage de cohésion de deux semaines.

23.11.2025 à 15:01

Après une frappe meurtrière à Beyrouth, Israël dit avoir visé un haut cadre du Hezbollah

FRANCE 24
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Israël a annoncé avoir mené, dimanche, une frappe sur la banlieue sud de Beyrouth visant "le chef d'état-major" du Hezbollah pro-iranien. Cette attaque a fait au moins un mort et 21 blessés, selon un premier bilan du ministère libanais de la Santé.
Texte intégral (718 mots)
Israël a annoncé avoir mené, dimanche, une frappe sur la banlieue sud de Beyrouth visant "le chef d'état-major" du Hezbollah pro-iranien. Cette attaque a fait au moins un mort et 21 blessés, selon un premier bilan du ministère libanais de la Santé.
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