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07.11.2025 à 23:35

La justice sud-africaine juge illégales les pratiques de blocage de l'opération Dudula

Fatimata WANE
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A Durban dans l'est de l'Afrique de Sud nouvelle opération de blocage à l'initiative de plusieurs mouvements xénophobes... À l'approche des élections locales prévues en 2026, ces groupes anti-immigrés s’en prennent désormais à ceux qui viennent se faire soigner dans des établissements publics... À la manœuvre, deux groupuscules : "March and March" et "Opération Dudula" connus pour leurs marches ciblant les étrangers.
A Durban dans l'est de l'Afrique de Sud nouvelle opération de blocage à l'initiative de plusieurs mouvements xénophobes... À l'approche des élections locales prévues en 2026, ces groupes anti-immigrés s’en prennent désormais à ceux qui viennent se faire soigner dans des établissements publics... À la manœuvre, deux groupuscules : "March and March" et "Opération Dudula" connus pour leurs marches ciblant les étrangers.

07.11.2025 à 23:34

Baaba Maal : la légende sénégalaise célèbre ses 40 ans de carrière

FRANCE24
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À l’occasion de ses 40 ans de carrière, Baaba Maal revient sur son parcours exceptionnel et son engagement en faveur de la jeunesse, de l’environnement et de la culture africaine. Depuis Podor jusqu’aux grandes scènes internationales, le fondateur du groupe Daande Lenol continue de faire vibrer l’Afrique avec sa voix unique. Il est l’invité du Journal de l’Afrique sur France 24, et nous parle aussi de son nouveau titre en collaboration avec la star nigériane Flavour.
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À l’occasion de ses 40 ans de carrière, Baaba Maal revient sur son parcours exceptionnel et son engagement en faveur de la jeunesse, de l’environnement et de la culture africaine. Depuis Podor jusqu’aux grandes scènes internationales, le fondateur du groupe Daande Lenol continue de faire vibrer l’Afrique avec sa voix unique. Il est l’invité du Journal de l’Afrique sur France 24, et nous parle aussi de son nouveau titre en collaboration avec la star nigériane Flavour.

07.11.2025 à 23:30

Libération de Cécile Kohler et Jacques Paris : diplomatie ou chantage ?

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Comment faire face à la diplomatie des otages de l'Iran ? La France n’a-t-elle d’autres choix que de systématiquement céder face aux exigences de Téhéran ? Clément Therme répond à la Question qui fâche. 
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Comment faire face à la diplomatie des otages de l'Iran ? La France n’a-t-elle d’autres choix que de systématiquement céder face aux exigences de Téhéran ? Clément Therme répond à la Question qui fâche. 

07.11.2025 à 23:03

Ligue 1: Rennes éloigne la crise en s'imposant au Paris FC 1-0

FRANCE24
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Alors que la rencontre se dirigeait vers un match nul plutôt logique, Breel Embolo, rentré en jeu quelques minutes plus tôt à la place de Kader Meïté, a profité d'une contre-attaque rennaise, d'un ballon donné par son capitaine Valentin Rongier, pour prendre de vitesse Otavio et tromper du gauche Obed Nkambadio (1-0, 81e). Une efficacité implacable qui a donc permis à Rennes d'obtenir sa deuxième victoire après le carton infligé à Strasbourg (4-1) à domicile le week-end dernier, d'écarter un peu plus loin encore la crise qui couvait dans la capitale bretonne, et de se positionner enfin dans la première moitié du classement du championnat, à la 8e place, avant les autres rencontres du week-end. Sa victoire, Rennes la doit beaucoup également à son gardien international: pourtant prolifique en attaque cette saison, avec 18 buts inscrits en 11 rencontres, le Paris FC a buté tout au long de la partie sur un grand Brice Samba. L'ambitieux promu, bien contenu dans son camp par un solide pressing rennais, s'est pourtant créé les plus belles occasions de la partie. A la 35e minute notamment, quand son virtuose, Ilan Kebbal, a trouvé, côté droit, son capitaine Maxime Lopez qui en une touche, a placé Pierre Lees-Melou seul face à Samba. Mais le gardien international a repoussé de la jambe la lourde frappe du milieu parisien. Comme ses coéquipiers dans le champ, plus solides dans les duels, Samba a remporté un nouveau face-à-face cette fois face à Jean-Philippe Krasso, lancé à la limite du hors-jeu par Adama Camara (39e). Et lorsqu'il n'a pas pu écarter les offensives adverses tout seul, le portier breton a été sauvé par ses montants, d'abord sur une frappe de Samir Chergui (65e), puis la barre transversale après un tir lointain de Thibault de Smet (76e). En face, avant d'être terrassé par Embolo, Nkambadio avait été plus sollicité, sur les corners de Djaoui Cissé surtout, mais moins mis en danger. L'ancien international espoir s'était notamment illustré en repoussant une frappe puissante de Kader Meïté après une contre-attaque initiée par Mahdi Camara (44e), puis s'était à nouveau déployé pour repousser un coup franc direct de Cissé après une faute de Krasso à trente mètres du but du Paris FC (56e). Il n'a rien pu faire face à l'international suisse, la défaite laissant son équipe à la 11e place du classement avant la trêve internationale.
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Alors que la rencontre se dirigeait vers un match nul plutôt logique, Breel Embolo, rentré en jeu quelques minutes plus tôt à la place de Kader Meïté, a profité d'une contre-attaque rennaise, d'un ballon donné par son capitaine Valentin Rongier, pour prendre de vitesse Otavio et tromper du gauche Obed Nkambadio (1-0, 81e). Une efficacité implacable qui a donc permis à Rennes d'obtenir sa deuxième victoire après le carton infligé à Strasbourg (4-1) à domicile le week-end dernier, d'écarter un peu plus loin encore la crise qui couvait dans la capitale bretonne, et de se positionner enfin dans la première moitié du classement du championnat, à la 8e place, avant les autres rencontres du week-end. Sa victoire, Rennes la doit beaucoup également à son gardien international: pourtant prolifique en attaque cette saison, avec 18 buts inscrits en 11 rencontres, le Paris FC a buté tout au long de la partie sur un grand Brice Samba. L'ambitieux promu, bien contenu dans son camp par un solide pressing rennais, s'est pourtant créé les plus belles occasions de la partie. A la 35e minute notamment, quand son virtuose, Ilan Kebbal, a trouvé, côté droit, son capitaine Maxime Lopez qui en une touche, a placé Pierre Lees-Melou seul face à Samba. Mais le gardien international a repoussé de la jambe la lourde frappe du milieu parisien. Comme ses coéquipiers dans le champ, plus solides dans les duels, Samba a remporté un nouveau face-à-face cette fois face à Jean-Philippe Krasso, lancé à la limite du hors-jeu par Adama Camara (39e). Et lorsqu'il n'a pas pu écarter les offensives adverses tout seul, le portier breton a été sauvé par ses montants, d'abord sur une frappe de Samir Chergui (65e), puis la barre transversale après un tir lointain de Thibault de Smet (76e). En face, avant d'être terrassé par Embolo, Nkambadio avait été plus sollicité, sur les corners de Djaoui Cissé surtout, mais moins mis en danger. L'ancien international espoir s'était notamment illustré en repoussant une frappe puissante de Kader Meïté après une contre-attaque initiée par Mahdi Camara (44e), puis s'était à nouveau déployé pour repousser un coup franc direct de Cissé après une faute de Krasso à trente mètres du but du Paris FC (56e). Il n'a rien pu faire face à l'international suisse, la défaite laissant son équipe à la 11e place du classement avant la trêve internationale.

07.11.2025 à 23:01

Orban obtient de Trump une exemption des sanctions liées au pétrole russe

FRANCE24
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"Résultat majeur de la rencontre d'aujourd'hui (entre le président américain et le dirigeant hongrois): les Etats-Unis ont accordé à la Hongrie une exemption illimitée des sanctions sur le pétrole et le gaz russe. Nous sommes reconnaissants de cette décision qui garantit la sécurité énergétique de la Hongrie", a écrit sur X le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto. "Nous étudions ça, parce qu'il est très difficile pour lui d'obtenir le pétrole et le gaz d'autres régions. Comme vous le savez, il ne bénéficie pas d'un accès à la mer", avait auparavant déclaré le président américain devant la presse, en recevant cet allié de longue date qui le soutient depuis sa première campagne pour la Maison Blanche, en 2016. Viktor Orban avait indiqué que pendant leur réunion bilatérale, il expliquerait à Donald Trump quelles seraient les "conséquences" pour la Hongrie de "ne plus avoir de gaz et de pétrole russe". Le mois dernier, les Etats-Unis ont imposé des sanctions aux deux plus grands producteurs de pétrole russes - Rosneft et Lukoil - face au refus de la Russie de mettre fin à la guerre en Ukraine. Et ils ont réclamé aux pays comme la Hongrie de se "sevrer" des sources d'énergie russes. "Respecter" la Hongrie Or ce pays d'Europe centrale dépend fortement du pétrole russe. Les sanctions américaines mettent potentiellement en danger Viktor Orban, à quelques mois de la tenue d'élections législatives, que le leader nationaliste, au pouvoir depuis 2010, n'est pas sûr de remporter, selon les sondages. Le dirigeant hongrois avait rendu visite trois fois l'année dernière à Donald Trump, à chaque fois dans sa résidence Mar-a-Lago, en Floride, dont deux fois avant la réélection du milliardaire. Les deux hommes ont à nouveau exposé leurs affinités idéologiques vendredi. Donald Trump a exhorté l'Union européenne à "respecter" la Hongrie et son Premier ministre, qui s'est plaint des sanctions financières imposées par l'UE sur Budapest pour ses politiques migratoires. "Ils devraient respecter la Hongrie et respecter ce dirigeant très, très fortement, parce qu'il a eu raison sur l'immigration", a déclaré Donald Trump, jugeant que les Européens pourraient "s'inspirer" de son invité. Le président américain a lui-même mis en place une brutale politique anti-immigration depuis son retour à la Maison Blanche en janvier. Viktor Orban a de son côté appelé à lancer un "âge d'or" pour la relation entre les Etats-Unis et la Hongrie, reprenant l'une des expressions préférées de Donald Trump. Ukraine "Nous sommes le seul gouvernement en Europe qui se considère comme un gouvernement chrétien moderne. Tous les autres sont progressistes, gauchistes", selon lui. Il a aussi critiqué la politique de l'UE face à la guerre en Ukraine, assurant que "les seuls gouvernements favorables à la paix étaient les Etats-Unis et la petite Hongrie." Rare dirigeant européen proche à la fois du président américain et du président russe, Viktor Orban n'a pas cherché à diversifier massivement ses importations depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022. Donald Trump "a déjà prouvé qu'il était prêt à aider ses alliés idéologiques", en particulier à l'approche d'élections, rappelle à l'AFP Daniel Hegedus, expert de l'Europe centrale et orientale auprès du German Marshall Fund. Washington a par exemple volé au secours financièrement du président argentin Javier Milei, un autre ardent partisan de Donald Trump. Viktor Orban - qui a refusé d'envoyer une aide militaire à l'Ukraine - affronte régulièrement les instances européennes sur des questions de respect de l'État de droit notamment. Hostile à l'immigration et aux droits des personnes LGBT+, il s'est également opposé, à l'OTAN et à l'Union européenne, à une action plus ferme contre la Russie après son invasion militaire de l'Ukraine. L'administration américaine s'est par ailleurs engagée à fermer un média en langue hongroise financé par les États-Unis afin de soutenir le Premier ministre nationaliste.
Texte intégral (676 mots)
"Résultat majeur de la rencontre d'aujourd'hui (entre le président américain et le dirigeant hongrois): les Etats-Unis ont accordé à la Hongrie une exemption illimitée des sanctions sur le pétrole et le gaz russe. Nous sommes reconnaissants de cette décision qui garantit la sécurité énergétique de la Hongrie", a écrit sur X le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto. "Nous étudions ça, parce qu'il est très difficile pour lui d'obtenir le pétrole et le gaz d'autres régions. Comme vous le savez, il ne bénéficie pas d'un accès à la mer", avait auparavant déclaré le président américain devant la presse, en recevant cet allié de longue date qui le soutient depuis sa première campagne pour la Maison Blanche, en 2016. Viktor Orban avait indiqué que pendant leur réunion bilatérale, il expliquerait à Donald Trump quelles seraient les "conséquences" pour la Hongrie de "ne plus avoir de gaz et de pétrole russe". Le mois dernier, les Etats-Unis ont imposé des sanctions aux deux plus grands producteurs de pétrole russes - Rosneft et Lukoil - face au refus de la Russie de mettre fin à la guerre en Ukraine. Et ils ont réclamé aux pays comme la Hongrie de se "sevrer" des sources d'énergie russes. "Respecter" la Hongrie Or ce pays d'Europe centrale dépend fortement du pétrole russe. Les sanctions américaines mettent potentiellement en danger Viktor Orban, à quelques mois de la tenue d'élections législatives, que le leader nationaliste, au pouvoir depuis 2010, n'est pas sûr de remporter, selon les sondages. Le dirigeant hongrois avait rendu visite trois fois l'année dernière à Donald Trump, à chaque fois dans sa résidence Mar-a-Lago, en Floride, dont deux fois avant la réélection du milliardaire. Les deux hommes ont à nouveau exposé leurs affinités idéologiques vendredi. Donald Trump a exhorté l'Union européenne à "respecter" la Hongrie et son Premier ministre, qui s'est plaint des sanctions financières imposées par l'UE sur Budapest pour ses politiques migratoires. "Ils devraient respecter la Hongrie et respecter ce dirigeant très, très fortement, parce qu'il a eu raison sur l'immigration", a déclaré Donald Trump, jugeant que les Européens pourraient "s'inspirer" de son invité. Le président américain a lui-même mis en place une brutale politique anti-immigration depuis son retour à la Maison Blanche en janvier. Viktor Orban a de son côté appelé à lancer un "âge d'or" pour la relation entre les Etats-Unis et la Hongrie, reprenant l'une des expressions préférées de Donald Trump. Ukraine "Nous sommes le seul gouvernement en Europe qui se considère comme un gouvernement chrétien moderne. Tous les autres sont progressistes, gauchistes", selon lui. Il a aussi critiqué la politique de l'UE face à la guerre en Ukraine, assurant que "les seuls gouvernements favorables à la paix étaient les Etats-Unis et la petite Hongrie." Rare dirigeant européen proche à la fois du président américain et du président russe, Viktor Orban n'a pas cherché à diversifier massivement ses importations depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022. Donald Trump "a déjà prouvé qu'il était prêt à aider ses alliés idéologiques", en particulier à l'approche d'élections, rappelle à l'AFP Daniel Hegedus, expert de l'Europe centrale et orientale auprès du German Marshall Fund. Washington a par exemple volé au secours financièrement du président argentin Javier Milei, un autre ardent partisan de Donald Trump. Viktor Orban - qui a refusé d'envoyer une aide militaire à l'Ukraine - affronte régulièrement les instances européennes sur des questions de respect de l'État de droit notamment. Hostile à l'immigration et aux droits des personnes LGBT+, il s'est également opposé, à l'OTAN et à l'Union européenne, à une action plus ferme contre la Russie après son invasion militaire de l'Ukraine. L'administration américaine s'est par ailleurs engagée à fermer un média en langue hongroise financé par les États-Unis afin de soutenir le Premier ministre nationaliste.
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