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Chaîne de service public - Actualité internationale.

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02.12.2025 à 13:44

CAN 2025 : Qui est David Pagou, ce proche d'Eto'o désormais sélectionneur du Cameroun ?

Romain HOUEIX
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A trois semaines de la CAN au Maroc, le Cameroun a changé de sélectionneur. Exit le Belge Marc Brys en conflit latent avec la fédération. Il laisse sa place à David Pagou, son adjoint, un entraîneur reconnu au niveau local mais sans référence à l'international.
A trois semaines de la CAN au Maroc, le Cameroun a changé de sélectionneur. Exit le Belge Marc Brys en conflit latent avec la fédération. Il laisse sa place à David Pagou, son adjoint, un entraîneur reconnu au niveau local mais sans référence à l'international.

02.12.2025 à 13:41

A69: l'Etat demande au concessionnaire de justifier des dépassements d'emprise du chantier

FRANCE24
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"Des dépassements de l’emprise du chantier A69 tels que définis par l’autorisation environnementale ont été relevés sur quelques zones, sans qu’il ne soit possible à ce stade de conclure sur leur étendue ni sur leurs impacts supplémentaires", affirment les deux préfets. Jeudi dernier, "La Voie est libre" (LVEL), principal collectif d'opposants à l'A69, avait pointé l'existence d'"a minima 42 hectares d'emprises supplémentaires" qui "ont été artificialisés sur le chantier" de la future autoroute contestée devant relier Toulouse à Castres, des éléments que l'Agence de vérification de Radio France avait indiqué avoir pu confirmer. "La réaction des préfectures montre que ce chantier +exemplaire+ n'est en rien surveillé", a estimé mardi LVEL, estimant que "ces destructions colossales ne sont pas régularisables avec quelques arrangements en préfecture" et qu'elles "nécessitent une nouvelle autorisation environnementale". Si les préfets concèdent que des ajustements sur ce type de projet sont toujours possibles, "ceux-ci doivent être déclarés à l'administration, qui s'attachera à vérifier que ce chantier n’est pas significativement modifié et que les impacts environnementaux sont bien maîtrisés". "Atosca répondra bien entendu à la demande de l'Etat et fournira l'ensemble des éléments utiles pour confirmer la conformité du chantier aux autorisations environnementales déjà obtenues", a indiqué à l'AFP une porte-parole du concessionnaire. Depuis le printemps 2023 et les premiers coups de pioche du chantier qui doit donner naissance à une voie rapide de 53 km, la contestation a pris différentes formes (manifestations, grèves de la faim, occupations d'arbres au coeur de zones à défendre, ou recours juridiques), faisant de l'A69 un emblème national des luttes écologiques contre des projets jugés dépassés à l'heure du changement climatique. Le préfet du Tarn a saisi mardi le directeur général de la concession Atosca, Martial Gerlinger, "pour lui demander, d’ici au 8 décembre, de fournir une revue complète du tracé autoroutier et, le cas échéant, des explications sur les dépassements d’emprise", souligne le communiqué des préfectures. Elles souhaitent que soient listés les "surfaces concernées", "les motifs de ces dépassements", l'"état environnemental initial et actuel de ces terrains", les "actions réalisées, en cours ou envisagées pour leur remise en état ou leur compensation". "Dans chacune des situations qui le justifieront, l’Etat aura recours à l’ensemble des leviers juridiques à sa disposition, qui peuvent notamment aboutir à prescrire des compensations supplémentaires", précisent encore les préfectures.
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"Des dépassements de l’emprise du chantier A69 tels que définis par l’autorisation environnementale ont été relevés sur quelques zones, sans qu’il ne soit possible à ce stade de conclure sur leur étendue ni sur leurs impacts supplémentaires", affirment les deux préfets. Jeudi dernier, "La Voie est libre" (LVEL), principal collectif d'opposants à l'A69, avait pointé l'existence d'"a minima 42 hectares d'emprises supplémentaires" qui "ont été artificialisés sur le chantier" de la future autoroute contestée devant relier Toulouse à Castres, des éléments que l'Agence de vérification de Radio France avait indiqué avoir pu confirmer. "La réaction des préfectures montre que ce chantier +exemplaire+ n'est en rien surveillé", a estimé mardi LVEL, estimant que "ces destructions colossales ne sont pas régularisables avec quelques arrangements en préfecture" et qu'elles "nécessitent une nouvelle autorisation environnementale". Si les préfets concèdent que des ajustements sur ce type de projet sont toujours possibles, "ceux-ci doivent être déclarés à l'administration, qui s'attachera à vérifier que ce chantier n’est pas significativement modifié et que les impacts environnementaux sont bien maîtrisés". "Atosca répondra bien entendu à la demande de l'Etat et fournira l'ensemble des éléments utiles pour confirmer la conformité du chantier aux autorisations environnementales déjà obtenues", a indiqué à l'AFP une porte-parole du concessionnaire. Depuis le printemps 2023 et les premiers coups de pioche du chantier qui doit donner naissance à une voie rapide de 53 km, la contestation a pris différentes formes (manifestations, grèves de la faim, occupations d'arbres au coeur de zones à défendre, ou recours juridiques), faisant de l'A69 un emblème national des luttes écologiques contre des projets jugés dépassés à l'heure du changement climatique. Le préfet du Tarn a saisi mardi le directeur général de la concession Atosca, Martial Gerlinger, "pour lui demander, d’ici au 8 décembre, de fournir une revue complète du tracé autoroutier et, le cas échéant, des explications sur les dépassements d’emprise", souligne le communiqué des préfectures. Elles souhaitent que soient listés les "surfaces concernées", "les motifs de ces dépassements", l'"état environnemental initial et actuel de ces terrains", les "actions réalisées, en cours ou envisagées pour leur remise en état ou leur compensation". "Dans chacune des situations qui le justifieront, l’Etat aura recours à l’ensemble des leviers juridiques à sa disposition, qui peuvent notamment aboutir à prescrire des compensations supplémentaires", précisent encore les préfectures.

02.12.2025 à 13:30

RD Congo : fin de la 16e épidémie d'Ebola

FRANCE24
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La République démocratique du Congo annonce la fin de l'épidémie d'Ebola, qui a fait au moins 34 morts depuis fin août dans le centre du pays. La RDC a désormais traversé seize épidémies d'Ebola depuis que la maladie a été identifiée pour la première fois en 1976 au Zaïre, ancien nom du pays d'Afrique centrale.
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La République démocratique du Congo annonce la fin de l'épidémie d'Ebola, qui a fait au moins 34 morts depuis fin août dans le centre du pays. La RDC a désormais traversé seize épidémies d'Ebola depuis que la maladie a été identifiée pour la première fois en 1976 au Zaïre, ancien nom du pays d'Afrique centrale.

02.12.2025 à 13:25

Une ville propose "une prime à l'accouchement", 4 syndicats de médecins indignés

FRANCE24
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La maternité de Saint-Amand Montrond (19.000 habitants dans la communauté de communes) est menacée car elle est passée sous le seuil des 300 accouchements par an fixé par la réglementation. En 2025, la prévision est de 226 accouchements. Pour faire remonter l'activité, le maire LR de la ville, Emmanuel Riotte, propose de donner aux mères accouchant sur place 1.000 euros en bon cadeau à dépenser chez les commerçants de la ville, 500 euros étant pris en charge par la municipalité et 500 par la communauté de communes. "Le choix d'une maternité ne doit pas être influencé par la perspective d'une récompense purement financière", estiment les quatre syndicats de médecins, Snphare (anesthésistes réanimateurs, Syngof (gynécologues obstétriciens), Snpeh (pédiatres), Samu Urgences de France (urgentistes). "Une maternité, quand elle est menacée de fermeture, ne l'est pas pour des raisons économiques mais pour des raisons de sécurité", estiment les quatre syndicats. La communauté de communes doit se prononcer mercredi, et le conseil municipal de Saint-Amand jeudi, a indiqué la municipalité à l'AFP. Le maire espère notamment ramener vers la maternité des patientes du département qui se dirigent aujourd'hui vers des maternités plus importantes à Bourges, Montluçon ou Nevers, a-t-on indiqué de même source. Mais pour les quatre syndicats de médecins hospitaliers, avec un rythme d'accouchements comme celui de Saint-Amand, "il n'est pas possible d'avoir une expertise suffisante pour prévenir et pallier des complications aux conséquences potentiellement vitales, qui impliquent généralement plusieurs disciplines à la fois, pour des décisions à prendre dans la minute". D'une manière générale, les syndicats réclament la transformation des petites maternités "en centre de périnatalité de proximité pour le suivi de grossesse et le post-partum", les accouchements étant centralisés dans des salles de naissance très sécurisées, avec une activité importante. La maternité de Saint-Amand compte parmi la vingtaine de maternités en France qui dérogent au seuil minimal de 300 accouchements par an fixé par la réglementation. Dans un rapport de 2024, la Cour des comptes souligne que les établissements de moins 1.000 accouchements par an ont "des difficultés croissantes pour attirer et conserver des personnels qualifiés".
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La maternité de Saint-Amand Montrond (19.000 habitants dans la communauté de communes) est menacée car elle est passée sous le seuil des 300 accouchements par an fixé par la réglementation. En 2025, la prévision est de 226 accouchements. Pour faire remonter l'activité, le maire LR de la ville, Emmanuel Riotte, propose de donner aux mères accouchant sur place 1.000 euros en bon cadeau à dépenser chez les commerçants de la ville, 500 euros étant pris en charge par la municipalité et 500 par la communauté de communes. "Le choix d'une maternité ne doit pas être influencé par la perspective d'une récompense purement financière", estiment les quatre syndicats de médecins, Snphare (anesthésistes réanimateurs, Syngof (gynécologues obstétriciens), Snpeh (pédiatres), Samu Urgences de France (urgentistes). "Une maternité, quand elle est menacée de fermeture, ne l'est pas pour des raisons économiques mais pour des raisons de sécurité", estiment les quatre syndicats. La communauté de communes doit se prononcer mercredi, et le conseil municipal de Saint-Amand jeudi, a indiqué la municipalité à l'AFP. Le maire espère notamment ramener vers la maternité des patientes du département qui se dirigent aujourd'hui vers des maternités plus importantes à Bourges, Montluçon ou Nevers, a-t-on indiqué de même source. Mais pour les quatre syndicats de médecins hospitaliers, avec un rythme d'accouchements comme celui de Saint-Amand, "il n'est pas possible d'avoir une expertise suffisante pour prévenir et pallier des complications aux conséquences potentiellement vitales, qui impliquent généralement plusieurs disciplines à la fois, pour des décisions à prendre dans la minute". D'une manière générale, les syndicats réclament la transformation des petites maternités "en centre de périnatalité de proximité pour le suivi de grossesse et le post-partum", les accouchements étant centralisés dans des salles de naissance très sécurisées, avec une activité importante. La maternité de Saint-Amand compte parmi la vingtaine de maternités en France qui dérogent au seuil minimal de 300 accouchements par an fixé par la réglementation. Dans un rapport de 2024, la Cour des comptes souligne que les établissements de moins 1.000 accouchements par an ont "des difficultés croissantes pour attirer et conserver des personnels qualifiés".

02.12.2025 à 13:13

Sécheresse historique en Iran : les Téhéranais filment leur quotidien

FRANCE 2
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Lacs asséchés, coupures d'eau à répétition, eau non-potable... Les habitants de la capitale iranienne Téhéran subissent les conséquences d'une sécheresse dévastatrice. Ils ont accepté de filmer leur quotidien. Pour contrer cette pénurie d'eau, les autorités organisent des prières afin de faire venir la pluie. Le président Massoud Pezeshkian dit même envisager de déplacer Téhéran. Une solution qui ne fait pas l'unanimité. Reportage de nos confrères de France 2, Luc Lacroix et Mortaza Beboudi.
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Lacs asséchés, coupures d'eau à répétition, eau non-potable... Les habitants de la capitale iranienne Téhéran subissent les conséquences d'une sécheresse dévastatrice. Ils ont accepté de filmer leur quotidien. Pour contrer cette pénurie d'eau, les autorités organisent des prières afin de faire venir la pluie. Le président Massoud Pezeshkian dit même envisager de déplacer Téhéran. Une solution qui ne fait pas l'unanimité. Reportage de nos confrères de France 2, Luc Lacroix et Mortaza Beboudi.
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