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30.12.2025 à 19:13

CAN-2025: sans convaincre, la Tunisie rejoint le Nigeria en 8e de finale

FRANCE24
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Les Tunisiens rejoignent le Nigeria, leader du groupe déjà qualifié, qui a de son côté signé un troisième succès consécutif en dominant l'Ouganda 3-1, à Fès. En huitièmes de finale, la Tunisie rencontrera samedi à Casablanca le Mali, qui a fini deuxième du groupe A, tandis que le Nigeria affrontera lundi à Fès le troisième du groupe F. La Tanzanie, qui participe à sa quatrième CAN, finit troisième du groupe avec deux points et se retrouve elle aussi qualifiée pour les huitièmes au titre des meilleurs troisièmes. Une première pour les Tanzaniens, qui affronteront le Maroc, pays hôte et favori de la compétition, dimanche à Rabat. Les Tunisiens, qui restaient sur une défaite honorable contre le Nigeria (menés 3-0, ils étaient revenus à 3-2), ont fait pâle figure lundi en semblant se contenter du minimum. Dans une rencontre sans rythme, les joueurs de Sami Trabelsi ont d'abord touché les montants sur un tir d'Ismaël Gharbi avant que le jeune milieu d'Augsbourg (Allemagne), 21 ans, ne règle la mire sur pénalty (43e) à la suite d'un ceinturage dans la surface décelé par la vidéo. A peine revenus des vestiaires, les Tanzaniens ont douché l'assurance des Tunisiens grâce à une frappe rasante de Feisal Salum (48e). Timorés dans le jeu proposé, les Aigles de Carthage poursuivent leur route dans cette 35e Coupe d'Afrique des nations, dont ils ont remporté une édition, en 2004. De leur côté, les "Super Eagles" nigérians, vainqueurs de trois CAN (1980, 1994 et 2013), ont fort bien négocié un match sans enjeu pour eux mais où leurs adversaires ougandais devaient impérativement s'imposer pour voir les 8e. Au sein d'une équipe où beaucoup de titulaires habituels avaient été laissés au repos par le sélectionneur français Eric Chelle, Paul Onuachu s'est distingué en ouvrant la marque dès la 28e minute. Raphael Onyedika a signé ensuite son premier doublé en sélection (62e et 67e) face à des Ougandais réduits à dix à l'heure de jeu après l'exclusion de leur gardien Salim Magoola, pour une main désespérée en dehors de la surface. Rogers Mato a réduit la marque (75e). Insuffisant pour les "Grues" d'Ouganda qui rentrent à la maison.

30.12.2025 à 18:58

CAN 2025 : sans pression, le Nigeria élimine définitivement l'Ouganda

Stéphanie TROUILLARD
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Le Nigeria a enchaîné avec une troisième victoire en autant de rencontres. Les Super Eagles, déjà assurés de terminer premiers de leur groupe, ont battu l'Ouganda, qui n'a pas réalisé d'exploit (1-3). Les Grues sortent de la compétition.
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Le Nigeria a enchaîné avec une troisième victoire en autant de rencontres. Les Super Eagles, déjà assurés de terminer premiers de leur groupe, ont battu l'Ouganda, qui n'a pas réalisé d'exploit (1-3). Les Grues sortent de la compétition.

30.12.2025 à 18:55

CAN 2025 : la Tunisie assure sa place en 8es de finale, la Tanzanie repêchée

Romain HOUEIX
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Dans un match sans rythme et sans folie, la Tunisie et la Tanzanie se sont quittés bonnes amies (1-1). Un résultat qui fait les affaires des deux équipes, les Aigles de Carthage s'assurant la deuxième place du groupe C, les Tanzaniens assurés d'être repêchés en huitièmes de finale en tant que meilleurs troisièmes.
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Dans un match sans rythme et sans folie, la Tunisie et la Tanzanie se sont quittés bonnes amies (1-1). Un résultat qui fait les affaires des deux équipes, les Aigles de Carthage s'assurant la deuxième place du groupe C, les Tanzaniens assurés d'être repêchés en huitièmes de finale en tant que meilleurs troisièmes.

30.12.2025 à 18:51

En Allemagne, un Nouvel An à l'aéroport pour fuir les feux d'artifice

FRANCE24
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Son exil volontaire l'amènera mercredi à l'aéroport de Francfort, à quelques kilomètres de son domicile, où cette réalisatrice dans le cinéma de 56 ans a réservé une chambre d'hôtel pour passer une nuit "détendue et au calme" avec son canidé, raconte-elle à l'AFP. Comme les hôpitaux ou les maisons de retraite, les abords des aéroports sont en effet une zone d'interdiction des explosifs, ce qui en fait un havre de paix pour les animaux en proie au stress des détonations, éclats lumineux et odeurs de fumée. Anja Gerauer se souvient du premier réveillon allemand de sa chienne, qui "a aboyé toute la nuit et tremblé sous le lit. Je ne referai pas ça, je craignais qu'elle fasse une crise cardiaque". Joy "n'est pas seule", souligne sa propriétaire : l'hôtel où elle prévoit de dépenser environ 200 euros la nuit a réservé une centaine de chambres sur 300 pour des clients accompagnés de chiens, a indiqué l'établissement à l'AFP. Le Sheraton, établissement voisin, a flairé l'affaire : son site internet invite les clients avec chien à y passer un réveillon "sans stress". Cinq décès accidentels Option plus économique, certains viennent même "s'installer sur les bancs" des terminaux avec leurs bêtes, indique l'aéroport de Düsseldorf (ouest) à l'AFP. Autorisé mercredi et jeudi, le recours aux pétards et fusées, en vente légale depuis lundi, s'annonce massif : entre janvier et septembre, plus de 42.000 tonnes de feux d'artifice ont été importées en Allemagne, soit 62% de plus par rapport à l'année précédente, selon les statistiques officielles. Des chiffres qui n'incluent pas les importations illégales, jugées particulièrement accidentogènes, de la perte de vision et des dommages auditifs aux amputations. L'opposition aux engins pyrotechniques, d'où qu'ils proviennent, s'est renforcée après la mort accidentelle de cinq personnes dans le pays au dernier Nouvel An, et 300 interpellations à Berlin, où 30 policiers avaient été blessés. Toujours dans la capitale, l'explosion d'un engin pyrotechnique avait endommagé les ouvertures d'une quarantaine de logements d'un même bloc. Les touristes étrangers y sont souvent surpris par l'atmosphère de chaos créée par l'intensité des détonations sourdes, fumées âcres et sirènes d'ambulance. "Nuit d'horreur" "Tout le monde est au bout de ses forces" avec ces pétards "anxiogènes, beaucoup trop bruyants et dangereux", s'émeut Christine Ryck, croisée devant un magasin de feux d'artifice. Cette Berlinoise de 65 ans peut témoigner d'une enfance où fusées et cierges magiques faisaient déjà partie du spectacle, mais ces engins n'étaient alors "pas dangereux". Initiée début janvier par la division berlinoise du syndicat policier Gewerkschaft der Polizei (GdP), une pétition pour une interdiction nationale des feux d'artifice se rapproche désormais des 3 millions de signatures en ligne. Mais le chancelier Friedrich Merz, investi en mai, est resté sourd à cet appel, et les interdictions restent très limitées localement : la porte de Brandebourg et quelques autres lieux de rassemblement à Berlin, ou les centres historiques des villes anciennes... Pas de quoi satisfaire les opposants, qui redoutent une nouvelle "nuit d'horreur" d'une ampleur "inédite", a averti Jürgen Resch, directeur général de l'ONG environnementale Deutsche Umwelthilfe (DUH). L'ordre des médecins et la fédération des hôpitaux ont rejoint le concert de critiques, ces derniers recensant 100 blessés graves - total en "hausse brutale" - liés aux feux d'artifice lors du dernier réveillon. Tradition Des accidents graves "pratiquement exclusivement liés aux feux d'artifice illégaux", tandis que ceux légaux sont "strictement contrôlés et fortement limités en taille et en effet", a répondu à l'AFP Christoph Kröpl, le directeur générale de la Fédération allemande de pyrotechnie et des feux d'artifice artistiques (bvpk). Avec 12,7 millions d'acheteurs au dernier Nouvel An, les feux d'artifice restent un loisir très populaire et "une magnifique tradition en Allemagne", souligne de son côté la Fédération de l'industrie pyrotechnique (VPI). Vivre cette "expérience" en famille et entre amis, en "faisant attention" et sans "exagérer" : c'est l'intention d'Erdogan, un Berlinois de 54 ans, rencontré par l'AFP à la sortie d'un magasin berlinois. "J'ai été jeune, je comprends aussi": Emren, son fils de 12 ans, fusées sous le bras, doit "aussi pouvoir goûter un peu à cela", estime le père.
Texte intégral (743 mots)
Son exil volontaire l'amènera mercredi à l'aéroport de Francfort, à quelques kilomètres de son domicile, où cette réalisatrice dans le cinéma de 56 ans a réservé une chambre d'hôtel pour passer une nuit "détendue et au calme" avec son canidé, raconte-elle à l'AFP. Comme les hôpitaux ou les maisons de retraite, les abords des aéroports sont en effet une zone d'interdiction des explosifs, ce qui en fait un havre de paix pour les animaux en proie au stress des détonations, éclats lumineux et odeurs de fumée. Anja Gerauer se souvient du premier réveillon allemand de sa chienne, qui "a aboyé toute la nuit et tremblé sous le lit. Je ne referai pas ça, je craignais qu'elle fasse une crise cardiaque". Joy "n'est pas seule", souligne sa propriétaire : l'hôtel où elle prévoit de dépenser environ 200 euros la nuit a réservé une centaine de chambres sur 300 pour des clients accompagnés de chiens, a indiqué l'établissement à l'AFP. Le Sheraton, établissement voisin, a flairé l'affaire : son site internet invite les clients avec chien à y passer un réveillon "sans stress". Cinq décès accidentels Option plus économique, certains viennent même "s'installer sur les bancs" des terminaux avec leurs bêtes, indique l'aéroport de Düsseldorf (ouest) à l'AFP. Autorisé mercredi et jeudi, le recours aux pétards et fusées, en vente légale depuis lundi, s'annonce massif : entre janvier et septembre, plus de 42.000 tonnes de feux d'artifice ont été importées en Allemagne, soit 62% de plus par rapport à l'année précédente, selon les statistiques officielles. Des chiffres qui n'incluent pas les importations illégales, jugées particulièrement accidentogènes, de la perte de vision et des dommages auditifs aux amputations. L'opposition aux engins pyrotechniques, d'où qu'ils proviennent, s'est renforcée après la mort accidentelle de cinq personnes dans le pays au dernier Nouvel An, et 300 interpellations à Berlin, où 30 policiers avaient été blessés. Toujours dans la capitale, l'explosion d'un engin pyrotechnique avait endommagé les ouvertures d'une quarantaine de logements d'un même bloc. Les touristes étrangers y sont souvent surpris par l'atmosphère de chaos créée par l'intensité des détonations sourdes, fumées âcres et sirènes d'ambulance. "Nuit d'horreur" "Tout le monde est au bout de ses forces" avec ces pétards "anxiogènes, beaucoup trop bruyants et dangereux", s'émeut Christine Ryck, croisée devant un magasin de feux d'artifice. Cette Berlinoise de 65 ans peut témoigner d'une enfance où fusées et cierges magiques faisaient déjà partie du spectacle, mais ces engins n'étaient alors "pas dangereux". Initiée début janvier par la division berlinoise du syndicat policier Gewerkschaft der Polizei (GdP), une pétition pour une interdiction nationale des feux d'artifice se rapproche désormais des 3 millions de signatures en ligne. Mais le chancelier Friedrich Merz, investi en mai, est resté sourd à cet appel, et les interdictions restent très limitées localement : la porte de Brandebourg et quelques autres lieux de rassemblement à Berlin, ou les centres historiques des villes anciennes... Pas de quoi satisfaire les opposants, qui redoutent une nouvelle "nuit d'horreur" d'une ampleur "inédite", a averti Jürgen Resch, directeur général de l'ONG environnementale Deutsche Umwelthilfe (DUH). L'ordre des médecins et la fédération des hôpitaux ont rejoint le concert de critiques, ces derniers recensant 100 blessés graves - total en "hausse brutale" - liés aux feux d'artifice lors du dernier réveillon. Tradition Des accidents graves "pratiquement exclusivement liés aux feux d'artifice illégaux", tandis que ceux légaux sont "strictement contrôlés et fortement limités en taille et en effet", a répondu à l'AFP Christoph Kröpl, le directeur générale de la Fédération allemande de pyrotechnie et des feux d'artifice artistiques (bvpk). Avec 12,7 millions d'acheteurs au dernier Nouvel An, les feux d'artifice restent un loisir très populaire et "une magnifique tradition en Allemagne", souligne de son côté la Fédération de l'industrie pyrotechnique (VPI). Vivre cette "expérience" en famille et entre amis, en "faisant attention" et sans "exagérer" : c'est l'intention d'Erdogan, un Berlinois de 54 ans, rencontré par l'AFP à la sortie d'un magasin berlinois. "J'ai été jeune, je comprends aussi": Emren, son fils de 12 ans, fusées sous le bras, doit "aussi pouvoir goûter un peu à cela", estime le père.

30.12.2025 à 18:47

La Bourse de Paris termine en hausse dans une séance sans catalyseur

FRANCE24
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L'indice vedette CAC 40 a avancé de 56,13 points pour s'établir à 8.168,15 points à la clôture. La veille, le CAC 40 avait terminé en timide hausse de 0,10% à 8.112,02 points. Le CAC 40 s'inscrit pour l'instant en hausse de plus de 10% depuis le début de l'année, une meilleure performance qu'en 2024, année durant laquelle il avait reculé de 2,15%. L'indice vedette parisien reste cependant largement en retard en comparaison de ses voisins européens. Le Dax de la Bourse de Francfort et le FTSE 100 à Londres affichent tous deux une progression de plus de 20%, tandis que Milan (+30%) et Madrid (+50%) enregistrent des gains jusqu'à cinq fois supérieurs à la place parisienne. Le CAC 40 a signé sa dernière séance pleine de l'année, celle du 31 décembre étant écourtée, avec une clôture à 14H00, heure de Paris. A l'agenda du jour, les investisseurs attendent le compte-rendu ("minutes") de la dernière réunion de la banque centrale américaine (Fed), qui pourrait donner de nouvelles indications sur la trajectoire monétaire privilégiée par la Réserve fédérale dans les prochains mois, après trois réductions de taux consécutives en 2025. "La question centrale sera de voir dans quelle mesure les membres de la Fed pourraient passer d'une à deux baisses de taux en 2026", explique Kathleen Brooks, directrice de la recherche chez XTB. "L'une des plus grandes menaces potentielles pour les indices boursiers en 2026 serait peut-être la fin des baisses de taux — voire des hausses — dans les grandes économies", poursuit-elle, un facteur défavorable aux actions, souligne-t-elle. Au tableau des valeurs, aucune actualité d'entreprise n'a animé la cote parisienne mardi. Société Générale signe la plus forte progression de la séance, en hausse de 2,12% à 69,40 euros.
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L'indice vedette CAC 40 a avancé de 56,13 points pour s'établir à 8.168,15 points à la clôture. La veille, le CAC 40 avait terminé en timide hausse de 0,10% à 8.112,02 points. Le CAC 40 s'inscrit pour l'instant en hausse de plus de 10% depuis le début de l'année, une meilleure performance qu'en 2024, année durant laquelle il avait reculé de 2,15%. L'indice vedette parisien reste cependant largement en retard en comparaison de ses voisins européens. Le Dax de la Bourse de Francfort et le FTSE 100 à Londres affichent tous deux une progression de plus de 20%, tandis que Milan (+30%) et Madrid (+50%) enregistrent des gains jusqu'à cinq fois supérieurs à la place parisienne. Le CAC 40 a signé sa dernière séance pleine de l'année, celle du 31 décembre étant écourtée, avec une clôture à 14H00, heure de Paris. A l'agenda du jour, les investisseurs attendent le compte-rendu ("minutes") de la dernière réunion de la banque centrale américaine (Fed), qui pourrait donner de nouvelles indications sur la trajectoire monétaire privilégiée par la Réserve fédérale dans les prochains mois, après trois réductions de taux consécutives en 2025. "La question centrale sera de voir dans quelle mesure les membres de la Fed pourraient passer d'une à deux baisses de taux en 2026", explique Kathleen Brooks, directrice de la recherche chez XTB. "L'une des plus grandes menaces potentielles pour les indices boursiers en 2026 serait peut-être la fin des baisses de taux — voire des hausses — dans les grandes économies", poursuit-elle, un facteur défavorable aux actions, souligne-t-elle. Au tableau des valeurs, aucune actualité d'entreprise n'a animé la cote parisienne mardi. Société Générale signe la plus forte progression de la séance, en hausse de 2,12% à 69,40 euros.
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