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Chaîne de service public - Actualité internationale.

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19.12.2025 à 06:31

Une 'revenante' française rapatriée de Syrie condamnée à 10 ans de prison

FRANCE 24
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Carole Sun, deuxième Française rapatriée des camps du nord-est syrien à être jugée devant la cour d’assises spéciale à Paris, a été condamnée jeudi à dix ans de réclusion pour association de malfaiteurs terroriste, dans un dossier impliquant des cadres notoires de l’organisation État islamique.
Carole Sun, deuxième Française rapatriée des camps du nord-est syrien à être jugée devant la cour d’assises spéciale à Paris, a été condamnée jeudi à dix ans de réclusion pour association de malfaiteurs terroriste, dans un dossier impliquant des cadres notoires de l’organisation État islamique.

19.12.2025 à 06:00

États-Unis : le suspect de la fusillade mortelle à l’université Brown retrouvé mort

FRANCE 24
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Le suspect des tirs qui ont coûté la vie à deux étudiants pendant des examens à l'université Brown s'est donné la mort, ont annoncé jeudi soir les autorités de Providence, cinq jours après l'attaque sur le campus dans l'État du Rhode Island.
Le suspect des tirs qui ont coûté la vie à deux étudiants pendant des examens à l'université Brown s'est donné la mort, ont annoncé jeudi soir les autorités de Providence, cinq jours après l'attaque sur le campus dans l'État du Rhode Island.

19.12.2025 à 05:35

Attentat de Bondi: le gouvernement lance un programme de rachats d'armes

FRANCE24
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Des centaines de surfeurs et nageurs se sont massés pour former un cercle géant dans les vagues de cette plage de Sydney emblématique du mode de vie australien, en attendant une journée de recueillement observée dimanche, une semaine après l'attaque. Deux assaillants, Sajid Akram (abattu lors de l'attaque) et son fils Naveed Akram sont accusés d'avoir tué 15 personnes et blessé des dizaines d'autres dimanche lors d'une fête juive, un acte antisémite et motivé par l'idéologie du groupe jihadiste État islamique, selon les autorités. Face au choc, le gouvernement, après avoir annoncé un durcissement de la législation contre l'extrémisme, a annoncé vendredi un programme de rachat des armes à feu en circulation. Faisant référence aux six armes détenues légalement par Sajid Akram, Anthony Albanese a martelé qu'il "n'y a aucune raison pour qu'une personne vivant dans la banlieue de Sydney ait besoin d'autant d'armes à feu". Les autorités promettent d'indemniser les propriétaires d'armes à feu qui rendraient "les armes à feu superflues, récemment interdites et illégales". Il s'agirait de la plus grande opération de rachat d'armes à feu dans le pays-continent depuis celle menée après la tuerie de 1996 sur l'île de Tasmanie (sud). Un homme de 28 ans avait ouvert le feu sur la foule à Port Arthur, un site touristique, tuant 35 personnes. En une année, les autorités australiennes avaient ainsi récupéré 600.000 armes remises par leurs propriétaires. "Faire renaître l'espoir" Le Premier ministre a également annoncé la tenue d'une journée de recueillement dans tout le pays dimanche, appelant la population à allumer des bougies à 18H47 (07H47 GMT), exactement une semaine après le lancement de l'assaut. Ce sera "un moment pour faire une pause, réfléchir et affirmer que la haine et la violence ne définiront jamais qui nous sommes en tant qu'Australiens", a déclaré M. Albanese, qui a précisé qu'une journée de deuil national se tiendrait par ailleurs l'année prochaine. Sur la plage de Bondi, les locaux n'ont pas attendu ces annonces pour se recueillir. "Être ensemble est une façon très importante d'essayer de faire face à ce qui se passe", estime Carole Schlessinger, 58 ans, directrice d'une association caritative, qui se dit "extrêmement en colère", "furieuse" face aux évènements. Boris et Sofia Gurman, un couple de résidents de Bondi abattus dimanche alors qu'ils tentaient de freiner les tireurs, a été inhumé vendredi matin dans un funérarium juif. "Ils ont affronté les derniers instants de leur vie avec courage, altruisme et amour", a assuré le rabbin Yehoram Ulman aux personnes venues rendre hommage. "Ils étaient, dans tous les sens du terme, des héros." État d'alerte Sydney reste en état d'alerte maximale depuis l'attaque. Jeudi soir, un groupe de policiers d'intervention a arrêté sept hommes après un signalement selon lequel un "acte violent était peut-être en préparation", a indiqué la police. Le commissaire de police Mal Lanyon a précisé qu'il n'y avait aucun lien établi avec les auteurs présumés de l'attentat de Bondi. Les enquêteurs cherchent toutefois à déterminer s'ils partageaient les mêmes opinions "islamistes radicales" que les assaillants de l'attaque sur la plage. Naveed Akram, maçon au chômage de 24 ans, est accusé d'actes de terrorisme, de 15 meurtres et de dizaines d'autres crimes. La police australienne enquête pour savoir si le duo père-fils a rencontré des extrémistes islamistes lors d'un voyage aux Philippines quelques semaines avant l'attentat, dans la région de Mindanao (sud) où se trouvent des foyers d'insurrection islamiste.
Texte intégral (613 mots)
Des centaines de surfeurs et nageurs se sont massés pour former un cercle géant dans les vagues de cette plage de Sydney emblématique du mode de vie australien, en attendant une journée de recueillement observée dimanche, une semaine après l'attaque. Deux assaillants, Sajid Akram (abattu lors de l'attaque) et son fils Naveed Akram sont accusés d'avoir tué 15 personnes et blessé des dizaines d'autres dimanche lors d'une fête juive, un acte antisémite et motivé par l'idéologie du groupe jihadiste État islamique, selon les autorités. Face au choc, le gouvernement, après avoir annoncé un durcissement de la législation contre l'extrémisme, a annoncé vendredi un programme de rachat des armes à feu en circulation. Faisant référence aux six armes détenues légalement par Sajid Akram, Anthony Albanese a martelé qu'il "n'y a aucune raison pour qu'une personne vivant dans la banlieue de Sydney ait besoin d'autant d'armes à feu". Les autorités promettent d'indemniser les propriétaires d'armes à feu qui rendraient "les armes à feu superflues, récemment interdites et illégales". Il s'agirait de la plus grande opération de rachat d'armes à feu dans le pays-continent depuis celle menée après la tuerie de 1996 sur l'île de Tasmanie (sud). Un homme de 28 ans avait ouvert le feu sur la foule à Port Arthur, un site touristique, tuant 35 personnes. En une année, les autorités australiennes avaient ainsi récupéré 600.000 armes remises par leurs propriétaires. "Faire renaître l'espoir" Le Premier ministre a également annoncé la tenue d'une journée de recueillement dans tout le pays dimanche, appelant la population à allumer des bougies à 18H47 (07H47 GMT), exactement une semaine après le lancement de l'assaut. Ce sera "un moment pour faire une pause, réfléchir et affirmer que la haine et la violence ne définiront jamais qui nous sommes en tant qu'Australiens", a déclaré M. Albanese, qui a précisé qu'une journée de deuil national se tiendrait par ailleurs l'année prochaine. Sur la plage de Bondi, les locaux n'ont pas attendu ces annonces pour se recueillir. "Être ensemble est une façon très importante d'essayer de faire face à ce qui se passe", estime Carole Schlessinger, 58 ans, directrice d'une association caritative, qui se dit "extrêmement en colère", "furieuse" face aux évènements. Boris et Sofia Gurman, un couple de résidents de Bondi abattus dimanche alors qu'ils tentaient de freiner les tireurs, a été inhumé vendredi matin dans un funérarium juif. "Ils ont affronté les derniers instants de leur vie avec courage, altruisme et amour", a assuré le rabbin Yehoram Ulman aux personnes venues rendre hommage. "Ils étaient, dans tous les sens du terme, des héros." État d'alerte Sydney reste en état d'alerte maximale depuis l'attaque. Jeudi soir, un groupe de policiers d'intervention a arrêté sept hommes après un signalement selon lequel un "acte violent était peut-être en préparation", a indiqué la police. Le commissaire de police Mal Lanyon a précisé qu'il n'y avait aucun lien établi avec les auteurs présumés de l'attentat de Bondi. Les enquêteurs cherchent toutefois à déterminer s'ils partageaient les mêmes opinions "islamistes radicales" que les assaillants de l'attaque sur la plage. Naveed Akram, maçon au chômage de 24 ans, est accusé d'actes de terrorisme, de 15 meurtres et de dizaines d'autres crimes. La police australienne enquête pour savoir si le duo père-fils a rencontré des extrémistes islamistes lors d'un voyage aux Philippines quelques semaines avant l'attentat, dans la région de Mindanao (sud) où se trouvent des foyers d'insurrection islamiste.

19.12.2025 à 04:30

Le chef du gang vénézuélien Tren de Aragua inculpé pour terrorisme par la justice américaine

FRANCE 24
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La justice américaine a annoncé jeudi l’inculpation de plus de 70 personnes soupçonnées d'appartenir au gang d’origine vénézuélienne Tren de Aragua, dont son chef présumé, 'Niño Guerrero', accusé d'avoir dirigé une organisation qualifiée de terroriste par Washington.
Texte intégral (613 mots)
La justice américaine a annoncé jeudi l’inculpation de plus de 70 personnes soupçonnées d'appartenir au gang d’origine vénézuélienne Tren de Aragua, dont son chef présumé, 'Niño Guerrero', accusé d'avoir dirigé une organisation qualifiée de terroriste par Washington.

19.12.2025 à 04:01

Agriculture: les départs en vacances menacés par les colères paysannes

FRANCE24
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Le Premier ministre Sébastien Lecornu doit recevoir séparément à partir de 08H30 à Matignon les représentants des quatre principales organisations agricoles, en commençant par les Jeunes Agriculteurs, suivis de la FNSEA, puis la Coordination rurale, jusqu'à la Confédération paysanne vers midi. Depuis plusieurs jours, des foyers de contestation émergent, essentiellement dans le sud-ouest, s'opposant aux abattages systématiques des troupeaux de bovins où sont détectés des cas de dermatose nodulaire contagieuse (DNC). La fronde, menée principalement par la Coordination rurale et la Confédération paysanne, est matérialisée par des dépôts de pneus, paille, palettes, fumier et déchets plastiques sur les autoroutes ou devant des bâtiments de l'État, ainsi que par le blocage de certaines routes secondaires. Jeudi, le ministère de l'Intérieur a dénombré 110 actions en cours mobilisant quelque 5.000 personnes, contre 80 actions mercredi, 75 mardi, 45 lundi et 27 dimanche. Le ministre des Transports Philippe Tabarot a plaidé, sur Europe 1 et CNews, contre "un blocage plus dur" afin de ne pas entraver davantage la circulation des véhicules et des marchandises à l'approche du dernier week-end avant Noël, "ô combien important pour notre pays économiquement". "Pas de signature définitive" "Vendredi, déjà classé +orange+ par Bison futé pour les départs en vacances, peut s'annoncer encore plus compliqué avec de nouvelles actions prévues", a néanmoins prévenu jeudi soir le gestionnaire d'autoroutes Vinci. Le gouvernement entend juguler la maladie et la crise en vaccinant très rapidement "75% du cheptel dans 95% des fermes" soit 750.000 bovins, pour tenter de parvenir à une immunité collective dès février. L'objectif est ainsi d'éviter d'avoir recours à une vaccination générale qui ferait perdre à la France son statut "indemne d'épidémie" et lui interdirait toute exportation de viande bovine. Jeudi, 400.000 doses de vaccin supplémentaires ont été acheminées des Pays-Bas vers Toulouse. Mais les calendriers se bousculent et les crises agricoles s'additionnent. Jeudi aussi, quelque 10.000 agriculteurs européens, dont un gros contingent venu du nord de la France en tracteur, essentiellement membres des Jeunes Agriculteurs et de la FNSEA, ont manifesté à Bruxelles contre la signature de l'accord entre l'UE et les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay). Négocié depuis plus de 25 ans, ce traité de libre-échange permettrait à l'UE d'exporter davantage de véhicules, machines, vins et spiritueux dans ces quatre pays. Dans le sens inverse, il faciliterait l'entrée en Europe de viande, sucre, riz, miel et soja sud-américains, ce qui alarme les filières concernées. "Citoyens de seconde zone" La Commission semblait au départ déterminée à arracher d'ici vendredi un feu vert des Vingt-Sept à la majorité qualifiée sur cet accord, mais le soutien de l'Italie à la France, opposée à la signature, a finalement conduit jeudi soir la présidente de la commission Ursula von der Leyen à en annoncer le report à janvier. La FNSEA a immédiatement réagi en estimant que ce n'était "pas suffisant", appelant ses adhérents à rester "mobilisés". Deuxième sujet de mécontentement, le "mécanisme d'ajustement carbone aux frontières" (MACF) que l'Europe souhaite mettre en place pour lutter notamment contre les importations d'engrais moins vertueux sur le plan environnemental et climatique que les produits européens. "Ce mécanisme prévoit l'instauration d'une taxe sur l'azote, entre 50 et 100 euros la tonne (...) et nos trésoreries ne pourront pas le supporter", a affirmé Arnaud Rousseau, le président de la FNSEA. Enfin, troisième sujet de mécontentement: "une baisse de 22% du budget de la politique agricole commune" à prévoir. "Nous avons besoin de revenus, nous ne sommes pas des citoyens de seconde zone, l'Europe a aussi besoin d'une vision pour son agriculture", a résumé M. Rousseau.
Texte intégral (632 mots)
Le Premier ministre Sébastien Lecornu doit recevoir séparément à partir de 08H30 à Matignon les représentants des quatre principales organisations agricoles, en commençant par les Jeunes Agriculteurs, suivis de la FNSEA, puis la Coordination rurale, jusqu'à la Confédération paysanne vers midi. Depuis plusieurs jours, des foyers de contestation émergent, essentiellement dans le sud-ouest, s'opposant aux abattages systématiques des troupeaux de bovins où sont détectés des cas de dermatose nodulaire contagieuse (DNC). La fronde, menée principalement par la Coordination rurale et la Confédération paysanne, est matérialisée par des dépôts de pneus, paille, palettes, fumier et déchets plastiques sur les autoroutes ou devant des bâtiments de l'État, ainsi que par le blocage de certaines routes secondaires. Jeudi, le ministère de l'Intérieur a dénombré 110 actions en cours mobilisant quelque 5.000 personnes, contre 80 actions mercredi, 75 mardi, 45 lundi et 27 dimanche. Le ministre des Transports Philippe Tabarot a plaidé, sur Europe 1 et CNews, contre "un blocage plus dur" afin de ne pas entraver davantage la circulation des véhicules et des marchandises à l'approche du dernier week-end avant Noël, "ô combien important pour notre pays économiquement". "Pas de signature définitive" "Vendredi, déjà classé +orange+ par Bison futé pour les départs en vacances, peut s'annoncer encore plus compliqué avec de nouvelles actions prévues", a néanmoins prévenu jeudi soir le gestionnaire d'autoroutes Vinci. Le gouvernement entend juguler la maladie et la crise en vaccinant très rapidement "75% du cheptel dans 95% des fermes" soit 750.000 bovins, pour tenter de parvenir à une immunité collective dès février. L'objectif est ainsi d'éviter d'avoir recours à une vaccination générale qui ferait perdre à la France son statut "indemne d'épidémie" et lui interdirait toute exportation de viande bovine. Jeudi, 400.000 doses de vaccin supplémentaires ont été acheminées des Pays-Bas vers Toulouse. Mais les calendriers se bousculent et les crises agricoles s'additionnent. Jeudi aussi, quelque 10.000 agriculteurs européens, dont un gros contingent venu du nord de la France en tracteur, essentiellement membres des Jeunes Agriculteurs et de la FNSEA, ont manifesté à Bruxelles contre la signature de l'accord entre l'UE et les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay). Négocié depuis plus de 25 ans, ce traité de libre-échange permettrait à l'UE d'exporter davantage de véhicules, machines, vins et spiritueux dans ces quatre pays. Dans le sens inverse, il faciliterait l'entrée en Europe de viande, sucre, riz, miel et soja sud-américains, ce qui alarme les filières concernées. "Citoyens de seconde zone" La Commission semblait au départ déterminée à arracher d'ici vendredi un feu vert des Vingt-Sept à la majorité qualifiée sur cet accord, mais le soutien de l'Italie à la France, opposée à la signature, a finalement conduit jeudi soir la présidente de la commission Ursula von der Leyen à en annoncer le report à janvier. La FNSEA a immédiatement réagi en estimant que ce n'était "pas suffisant", appelant ses adhérents à rester "mobilisés". Deuxième sujet de mécontentement, le "mécanisme d'ajustement carbone aux frontières" (MACF) que l'Europe souhaite mettre en place pour lutter notamment contre les importations d'engrais moins vertueux sur le plan environnemental et climatique que les produits européens. "Ce mécanisme prévoit l'instauration d'une taxe sur l'azote, entre 50 et 100 euros la tonne (...) et nos trésoreries ne pourront pas le supporter", a affirmé Arnaud Rousseau, le président de la FNSEA. Enfin, troisième sujet de mécontentement: "une baisse de 22% du budget de la politique agricole commune" à prévoir. "Nous avons besoin de revenus, nous ne sommes pas des citoyens de seconde zone, l'Europe a aussi besoin d'une vision pour son agriculture", a résumé M. Rousseau.
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