La réforme pénitentiaire de 1975, qui acte la mise à l’isolement de certains détenus jugés dangereux, atterrit dans un climat inédit, où la prison est devenue un sujet politique. Dans les années qui suivent, la gauche intellectuelle et certains criminels eux-mêmes, comme Jacques Mesrine, se mobilisent contre les « QHS ».
La réforme pénitentiaire de 1975, qui acte la mise à l’isolement de certains détenus jugés dangereux, atterrit dans un climat inédit, où la prison est devenue un sujet politique. Dans les années qui suivent, la gauche intellectuelle et certains criminels eux-mêmes, comme Jacques Mesrine, se mobilisent contre les « QHS ».