Les ressortissants de sept pays africains sont interdits d’accès au territoire américain, selon une logique basée sur la proportion de « visa overstay » mais qui souffre d’incohérences. Amnesty International y voit une mesure « discriminatoire, raciste et carrément cruelle ».
Selon une source au fait des pourparlers, le « dernier cycle de négociations » à Doha a vu le gouvernement congolais et le groupe armé « s’engager sur les questions essentielles qui sous-tendent le conflit ».
L’extraction du narcotrafiquant, prévue par le parquet de Paris afin qu’il se rende à un interrogatoire judiciaire, inquiète les agents pénitentiaires. Deux avaient été tués en 2024 au cours de son évasion sanglante.