L’arrêté avait été pris par le maire, Gilles Platret (ex-LR), après les « émeutes urbaines », selon ses mots, qui ont suivi la victoire du PSG en ligue des champions samedi. Le tribunal administratif de Dijon a estimé qu’il s’agissait d’une « grave atteinte à la liberté d’expression ».
L’arrêté avait été pris par le maire, Gilles Platret (ex-LR), après les « émeutes urbaines », selon ses mots, qui ont suivi la victoire du PSG en ligue des champions samedi. Le tribunal administratif de Dijon a estimé qu’il s’agissait d’une « grave atteinte à la liberté d’expression ».